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    Le Lac aux oies sauvages
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    149 critiques spectateurs

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    t.lr'nt
    t.lr'nt

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2020
    Je n’ai pas compris le film.
    Bien qu’il y ait de très belles images : jeux de lumières, de couleurs... le scénario est se complique la tâche avec des scènes violentes ou sales un peu sorties de nulle part.
    yannsocial
    yannsocial

    5 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2020
    Des images magnifiques à la lumière et aux tonalités très travaillées. Dommage que le scénario ne soit pas toujours à la hauteur.
    Antoine G
    Antoine G

    10 abonnés 51 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2020
    Ce film , outre sa magistrale mise en scène, nous donne, à sa façon, des nouvelles de la Chine . Loin de Shanghai, tout du moins de ses grattes ciel, les bas fonds laissent penser que le miracle chinois se nourrit lui aussi du crime organisé et de la déchéance de nombreux chinois
    Ric Mansion
    Ric Mansion

    18 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 janvier 2020
    Décidément le cinéma chinois n'a plus rien a envier au film noir américain . Ambiances nocturnes sur fond d 'humidité et de moiteur , on participe a un road movie au milieu d 'un gang de motocycliste spécialise dans le vol d deux roues . L'intrigue qui met en scène un méchant repenti et une prostituée qui veut se racheter n'est pas très claire mais peu importe . On se trouve dans un labyrinthe d’arrière cour d'immeubles ou l'on respire les odeurs de cuisines, la moiteur du climat , la promiscuité d'un peuple abandonné a son sort ou seule la survie est le moteur de ces vies brisées
    Georges de Padova
    Georges de Padova

    5 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 janvier 2020
    Halletant et fracassant, ambiance moite où l'on partage l'angoisse d'un héros qui survit au coeur d'un territoire sauvage peuplé de voyous.

    La gravité est agrémentée de scènes graphiquement magnifiques et d'autres beaucoup plus caucasses.

    Un cocktail très jouissif à apprécier à la lueur des clair-obscur des néons saturés et brumes enfumées.
    garnierix
    garnierix

    231 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2020
    “Polar époustouflant“, “virtuosité sidérante“, lit-on. Ce n’est quand même pas le film du siècle. Le Lac aux Oies Sauvages est un beau film, et même un bon film, du genre « art et essai », qui ne plaira pas à tout le monde. C’est surtout un beau film : l’esthétique et la sensualité des sons et des images ravissent du début à la fin, que ce soit dans la pluie, la boue, la pauvreté, le sang ––les scènes de violence (dont certaines à base de parapluie ou de corde à sauter) sont d’une originalité, pour le coup “époustouflante“ ––les scènes intimes aussi (comme la finale sur une barque). De plus, pour l’occidental, le film se passe en Chine (attention, ce n’est pas un documentaire animalier!) : les expressions chinoises des visages changent des simagrées faciales américaines. Cela fait partie des attraits du film, avec ce magnifique art de filmer de l’auteur (Diao Yi Nan). Quant au côté « thriller » du film… On devine l’histoire ; on ne la suit pas vraiment : au bout d’un moment, on ne s’y intéresse plus. On peut y voir un joli récit sur le sacrifice ou la rédemption, mais ça reste un récit de faits divers, dans un milieu interlope à la chinoise, sur fond de bikers, de dealers, de prostituées (joliment appelées “baigneuses“, “bathing beauty” en anglais). C’est la mise en scène qui fascine ––ces impressions surréalistes, ces scènes inattendues, c’est fellinien. Ce film est un bijou ensorcelé : on voudrait être trempé sous cette pluie, être affamé devant cette soupe chinoise, être sur cette piste de danse, etc. On en a plein les yeux et pleins les oreilles. L’acteur principal, Hu Ge, star de la TV chinoise paraît-il, est remarquable, personnage mâle et pâle, confidentiel, aux expressions mesurées mais aux accès ultra violents ––ça rappelle Ryan Gosling, et dans une moindre mesure Robert Mitchum. On reste donc sous le charme de ce film, au détail plutôt incompréhensible, sans message majeur, presque froid, mais magique, comme l’inénarrable image qu’on garde du tube disco « Rasputin » (d’il y a quarante ans), dansé par une armée studieuse de jeunes en baskets lumineuses, avant qu’il ne se retrouvent dans une chasse à l’homme. ––Et c’est impossible (ou impensable) de voir en VF ce film tourné dans un dialecte local : même les chinois (qui parlent le mandarin) doivent le voir sous-titré. C’est l’immersion totale. A.G.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 11 janvier 2020
    Passable comme film chinois. Mais je suis étonné que la musique de générique de fin est une adaptation de la chanson indonesienne qui s'appelle BENGAWAN SOLO. Pourquoi..? Y a-t-il une raison ? Bambang (Indonesien).
    vidalger
    vidalger

    321 abonnés 1 250 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 janvier 2020
    Il faut se laisser porter doucement par une intrigue, au début mystérieuse et déroutante, dans un climat quasi ininterrompu de pluie, dans un décor d'immeubles décrépits, d'arrière-cours mal éclairées, de marchés lugubres, pour découvrir peu à peu deux personnages attachants - un voyou courageux et une prostituée - qui tissent une histoire captivante au suspens bien entretenu. Alors bien sûr, on a déjà vu tout ça, notamment dans le cinéma américain des belles années, bien sûr on se perd parfois à discerner le bon du méchant, le flic de la balance, mais peu importe tant la beauté formelle du film - magnifiques images de la nuit sur le lac notamment - enveloppe l'histoire dans un somptueux onirisme mêlant scènes d'action - très - violente à un début d'histoire sentimentale à laquelle on voudrait croire. A mon sens, meilleur et moins hermétique que "Black Coal" (mais on est content d'avoir retrouvé la belle Gwei Lun Mei) et probablement pas davantage sponsorisé par l'office chinois du tourisme !
    Alvin LeFaiseur
    Alvin LeFaiseur

    1 abonné 13 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 janvier 2020
    Une grande beauté esthétique et maîtrise de la forme, du récit, de la photographie, du montage, du (faux) rythme, de la bande-son. Exceptionnel pour un premier film. Des interprètes touchants et justes. Une image de la Chine loin des clichés touristiques, ce qui n'est pas sans intérêt.
    orlandolove
    orlandolove

    135 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2020
    Le réalisateur déploie une mise en scène très chorégraphiée et hautement cinématographique qui délivre de très belles séquences. Le cadre de l'action, une zone de non-droit assez passionnante, est aussi pour beaucoup pour la réussite du film. Un petit manque pour s'attacher aux personnages empêche ce film noir d'atteindre des sommets.
    marmottedu77
    marmottedu77

    11 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 janvier 2020
    Une première scène tout près d’une gare, des formes qui se cherchent dans la nuit, et tentent, une dernière fois, de déjouer les pièges qui rôdent autour d’eux. En une scène, le décor est planté et dessine les concours de la partie de cache-cache à venir. La caméra de Diai Yinan est virtuose, les images sont d’une grande beauté. Il montre les bas-fonds de la société chinoise dans une course poursuite haletante. Il y a dans ce film un côté film noir hollywoodien des années 50, pimenté à la sauce chinoise. Un chef de bande, visage sombre et mélancolique, brun ténébreux s’il en est, joue une dernière fois avec sa vie, aidé par une prostituée dont on ne comprend pas trop l’abnégation. Le style ne fait cependant pas oublié un scénario assez pauvre. L’histoire est au service de l’image, et non l’inverse.
    Jmartine
    Jmartine

    167 abonnés 673 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 janvier 2020
    Encore un choix par défaut, conséquence des difficultés de transports…de Diao Yinan, j’avais vu et moyennement aimé Black Coal, pourtant récompensé par un Ours d’Or à Berlin, et déjà d’une ambiance totalement glauque, triste, froide, déprimante. Un scénario qui s'étirait en longueur et qui manquait de vraisemblance...Avec un titre aussi poétique que Le lac aux oies sauvages, je m’attendais à quelque chose de moins glauque et j’ai plutôt été déçu…et pourtant ce film fait partie de la sélection de Télérama des 16 films les plus marquants de l’année 2019…j’ai trouvé le scénario extrêmement confus, alambiqué, difficilement crédible cette traque de ce délinquant assassin par mégarde de deux policiers qui cherche désespérément à retrouver sa femme pour que celle-ci qu’il a perdu de vue depuis des années puisse bénéficier de la prime attachée à sa tête mise à prix pour 300 000 yuans…on assiste à une traque essentiellement nocturne , dans une atmosphère poisseuse où certains protagonistes jouent double ou triple jeu...Certes c’est un film révélateur des parts d’ombre et du malaise de la société chinoise notamment des laissés pour compte de l’usine du monde… ces quartiers miteux, ces marges, coupe-gorge peuplés de voyous, de prostituées et de toxicomanes…..Comme dans Black Coal, c’est un film noir, aux couleurs criardes , avec force néons qui se mirent dans les flaques, jeux d’ombres et de lumières expressionnistes, éclairages sophistiqués, giclées de violences à la Tarentino, avec force hémoglobine, esthétique qui cherche à en mettre plein les yeux pour faire oublier une intrigue policière finalement assez pauvre et servie par des personnages sans grand relief……
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    688 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 janvier 2020
    C’est l’éclatement du point de vue, redoublé par une construction en labyrinthe constituée, en réalité, de deux flashbacks principaux qui se suivent et finissent par aboutir au même point narratif – un procédé similaire était déjà employé, par exemple, dans l’introduction de La La Land –, qui donne à ce Lac aux Oies sauvages son aspect le plus factice, voire ridicule par instants, où l’enchaînement des séquences ne semble instauré que pour perdre le spectateur dans un dédale de rues et de nuits qui, à cause de ce saut de puce permanent, échoue à embarquer un regard qui devrait être captivé non par l’artificialité du montage, mais bien par sa propre incapacité à s’orienter, à trouver ses repères parmi des personnages spectraux, d’incessantes courses-poursuites à moto, des échanges langagiers dont nous ne percevons que des fragments épars et obscurs. Le réalisateur adopte un rythme en dents de scie qui ne retranscrit ni le lyrisme noir d’une déambulation ni la paranoïa d’un fugitif que mafieux et policiers traquent sans relâche. Bien au contraire, nous avons l’impression d’assister à une rixe au loin depuis une fenêtre dans laquelle l’action viendrait se colorer de mille et un reflets déformants et approximatifs, conservatoire kaléidoscopique d’une vision d’artiste qui pioche à gauche à droite, agrémentant de poses grandiloquentes et de prestations parfois peu convaincantes sa mixture à la manière de cette soupe de nouilles qui intervient en fin de film. Néanmoins, ces fragilités congénitales ne doivent pas cacher une première partie très efficace qui, une fois passée la laborieuse rencontre des deux protagonistes principaux sous une pluie battante avec formules mystérieuses et jeux de cache-cache entre les murs de béton, compose une rudesse poétique, met en image cette puissance tragique propre au genre du polar : la compétition de motos est virtuose, tout comme le glissement brutal d’une œuvre axée sur l’opposition entre deux groupes (ou gangs) à celle d’une lente agonie solitaire. En ramenant la survie à ce qu’elle a de plus primale et paranoïaque, en transformant les visages de ses personnages en masques de duplicité potentiels, Le Lac aux oies sauvages capte une humanité revenue à l’état sauvage, dimension accentuée par une scène de traque dans un zoo aussi déconcertante que pertinente. Enfin, la grande qualité du long-métrage réside dans son travail du son : le réalisateur réussit à nous immerger dans une ambiance urbaine faite de coups de pistolet, de cris, de pétarades motocyclistes et surtout de pluie, de cette pluie qui n’arrête de couler sur l’écran qu’au détour de brèves scènes de plage à la puissance visuelle aussitôt décuplée. Trop expéditif et pourtant trop long par moments, Le Lac des oies sauvages est traversé de fulgurances qu’il ne sait comment agencer, ou plutôt qu’il choisit de désorganiser en pensant là accroître leur potentiel énergétique. L’œuvre aurait gagné à resserrer son intrigue autour de la seule focalisation de Zhou Ne-Nong, ou à penser une véritable répartition des points de vue plus en phase avec la mécanique de l’action tragique. En résulte une ébauche de chef-d’œuvre qui s’éparpille trop et se contente souvent de reflets, là où il pouvait viser le cœur (ou les cœurs) de ce cauchemar éveillé.
    frederic T.
    frederic T.

    16 abonnés 167 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 janvier 2020
    Diao Yinan réalise un thriller en recyclant dans le contexte de la Chine contemporaine sombre et poisseuse, gangrénée par l’argent, la violence et la fascination du pouvoir, tous les codes du film noir américain des années 50s..
    On pense évidemment à Orson Wells pour la pluie, la nuit, les ombres, le noir qui enveloppe tous les lieux où Liu, messagère mystérieuse, retrouve Zhou, chef de gang en fuite. Entre les 2 se noue une relation ambiguë empreinte d’attirance, de manipulation et de défiance.....
    Pour autant l’intrigue devient presque secondaire, parfois nébuleuse toute entière au service d’une mise en scène sophistiquée (cadrage, jeux de couleurs ou de lumières, pose des acteurs,...) au risque de nous perdre dans une surenchère d’images léchées, de plans très sophistiqués mais tout compte fait un peu vains....
    NC N
    NC N

    4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 janvier 2020
    Quel navet. Mon dieu ! Niveau d'acteur et d'action digne d'un mauvais Bruce Lee à la différence que la photo est belle. Fuyez.
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