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Grâce à un remarquable travail de reconstitution, Peter Jackson donne un nouveau visage, plus humain, à la Première Guerre mondiale. Les images sont saisissantes, les commentaires poignants et le documentaire une réussite à tous les niveaux.
Le résultat est stupéfiant : rarement l’horreur des tranchées n’a été restituée de cette façon. Un travail de titan pour une immersion totale et une émotion immense.
Dans "Pour les soldats tombés", la technologie se met au service, non pas de la destruction et de la mort, mais de l'émotion et de la transmission. Elle travaille à la construction d'une mémoire sans cesse renouvelées par le progrès.
Plus honnête que ce que l’Histoire voudrait admettre, Pour les soldats tombés est tout aussi émouvant que nécessaire… mais il est surtout techniquement impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Si l’hommage rendu aux soldats motive principalement le projet, jusqu’à réduire son écriture à un déroulé linéaire, la colorisation du film s'inscrit toutefois au sein d’une réelle démarche picturale.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
S’il a le mérite de montrer l’état d’esprit de la troupe côté britannique (engagement volontaire, patriotisme, respect de l’adversaire), l’absence de tous repères géographiques ou chronologiques ne permet malheureusement pas de restituer l’expérience de la guerre dans la durée.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
C’est donc un récit, forcément orienté, mais littéralement bouleversant, qui rend hommage à l’expérience de ces fantassins plongés dans l’enfer de la Grande Guerre. Le mélange des affiches de propagande (permettant un clin d’oeil savant à King Kong) et des images retravaillées donnent un aspect inédit à 14-18.
La critique complète est disponible sur le site Première
C’est bien simple : on s’y croirait ! Pourtant, à mesure que le film égrène ses archives repeintes en vert-jaune sépia, le spectateur est pris d’un malaise croissant. Comme si le projet immersif de Peter Jackson devenait étouffant.
Réalisé à partir d’images d’archives de la Grande Guerre remontées, colorisées et sensationnalisées, le docu de Peter Jackson tourne au recyclage indigne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Point
C’est un film bouleversant sur la guerre.
Les Fiches du Cinéma
Grâce à un remarquable travail de reconstitution, Peter Jackson donne un nouveau visage, plus humain, à la Première Guerre mondiale. Les images sont saisissantes, les commentaires poignants et le documentaire une réussite à tous les niveaux.
L'Obs
Le procédé est discutable, l'expérience, étrange, le document, exceptionnel.
Le Figaro
Le réalisateur néo-zélandais livre, en couleurs, un film au réalisme terrifiant sur la guerre 14-18.
Le Journal du Dimanche
Le résultat est stupéfiant : rarement l’horreur des tranchées n’a été restituée de cette façon. Un travail de titan pour une immersion totale et une émotion immense.
Le Parisien
Un documentaire parfois éprouvant, mais exceptionnel.
Positif
Dans "Pour les soldats tombés", la technologie se met au service, non pas de la destruction et de la mort, mais de l'émotion et de la transmission. Elle travaille à la construction d'une mémoire sans cesse renouvelées par le progrès.
Rolling Stone
Plus honnête que ce que l’Histoire voudrait admettre, Pour les soldats tombés est tout aussi émouvant que nécessaire… mais il est surtout techniquement impressionnant.
Télérama
Le réalisateur du Seigneur des Anneaux dépoussière les archives de 14-18. Un grand film de guerre.
Critikat.com
Si l’hommage rendu aux soldats motive principalement le projet, jusqu’à réduire son écriture à un déroulé linéaire, la colorisation du film s'inscrit toutefois au sein d’une réelle démarche picturale.
La Croix
S’il a le mérite de montrer l’état d’esprit de la troupe côté britannique (engagement volontaire, patriotisme, respect de l’adversaire), l’absence de tous repères géographiques ou chronologiques ne permet malheureusement pas de restituer l’expérience de la guerre dans la durée.
Première
C’est donc un récit, forcément orienté, mais littéralement bouleversant, qui rend hommage à l’expérience de ces fantassins plongés dans l’enfer de la Grande Guerre. Le mélange des affiches de propagande (permettant un clin d’oeil savant à King Kong) et des images retravaillées donnent un aspect inédit à 14-18.
Les Inrockuptibles
C’est bien simple : on s’y croirait ! Pourtant, à mesure que le film égrène ses archives repeintes en vert-jaune sépia, le spectateur est pris d’un malaise croissant. Comme si le projet immersif de Peter Jackson devenait étouffant.
Libération
Réalisé à partir d’images d’archives de la Grande Guerre remontées, colorisées et sensationnalisées, le docu de Peter Jackson tourne au recyclage indigne.