Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Lav Diaz regarde bourreaux et victimes avec la même humanité, le même dispositif esthétique, parce qu’il dénonce un système plutôt que les individus, et parce qu’il est cinéaste plutôt qu’idéologue.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Poignante et somptueuse thrène pour un pays ébranlé, la tragédie cosmique de "La Saison du diable" nous permet d'habiter, malgré tout, un monde en deuil et donne à bouffer à nos âmes épuisées.
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Le film fait du piétinement physique et musical un leitmotiv déconcertant, en regard de son ambition urgente et généreuse. Car c’est aussi à travers lui qu’il gagne son beau principe de résistance : une obstination mélancolique et une manière d’être inconsolable, contre tous les révisionnismes.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une tragédie obsessionnelle et universelle, digne héritière de celles de Shakespeare dans sa manière poétique et rageuse de mêler le réaliste, le surréaliste et le fantastique. Du cinéma comme on n'ose plus en faire, hélas, dantesque et hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Une forme magistrale permettant au récit de s’affranchir de son contexte historique pour filmer au plus près l’effroyable universalité du mal, politique comme humain, au travail.
Le Figaro
par La Rédaction
Au-delà du contexte philippin, ce film de près de 4 heures, film-fleuve, film-forêt, est une allégorie prodigieuse du règne du mal, de sa folie grimaçante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Une œuvre contestataire d’une grande puissance touchant à l’universel.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le cinéaste Lav Diaz évoque la répression des années 1970 aux Philippines dans une fiction chantée captivante.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Tragédie hantée par les fantômes des victimes de la loi martiale instaurée par Ferdinand Marcos, le nouveau film de Lav Diaz est une œuvre âpre dans sa forme comme sur le fond, sorte de rêve fascinant et délirant comme les légendes de la forêt philippine.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Un opéra rock radical qui détourne les codes du genre pour s’ériger en une œuvre d’art envoûtante, puissamment politique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par La rédaction
La perspective contrariée de son dispositif visuel semble être le motif central du film : celui d’un mal profondément enraciné dans le cœur de l’espace (et de l’image).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Luc Chessel
[...] moins le film absolument conceptuel qu’on pourrait croire, mais l’opéra radicalement didactique dont on a peut-être besoin, là-bas ou ici, partout où les formes sont obligées, par l’histoire, de devenir des formes de résistance à la tyrannie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Pierre Murat
Ces films étaient si subtils qu’on est surpris de voir Diaz — même poussé par l’urgence — réaliser ce happening vieillot qui évoque fâcheusement le cinéma soviétique des années 1950 et le Living Theatre des années 1970. Restent, évidemment, ses plans magnifiques, et son art de transformer le temps en suspense. C’est déjà bien…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Eric Vernay
Hélas, le film semble aussi interminable que cette ère encore controversée aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
Lav Diaz regarde bourreaux et victimes avec la même humanité, le même dispositif esthétique, parce qu’il dénonce un système plutôt que les individus, et parce qu’il est cinéaste plutôt qu’idéologue.
Positif
Poignante et somptueuse thrène pour un pays ébranlé, la tragédie cosmique de "La Saison du diable" nous permet d'habiter, malgré tout, un monde en deuil et donne à bouffer à nos âmes épuisées.
Cahiers du Cinéma
Le film fait du piétinement physique et musical un leitmotiv déconcertant, en regard de son ambition urgente et généreuse. Car c’est aussi à travers lui qu’il gagne son beau principe de résistance : une obstination mélancolique et une manière d’être inconsolable, contre tous les révisionnismes.
L'Obs
Une tragédie obsessionnelle et universelle, digne héritière de celles de Shakespeare dans sa manière poétique et rageuse de mêler le réaliste, le surréaliste et le fantastique. Du cinéma comme on n'ose plus en faire, hélas, dantesque et hypnotique.
La Septième Obsession
Une forme magistrale permettant au récit de s’affranchir de son contexte historique pour filmer au plus près l’effroyable universalité du mal, politique comme humain, au travail.
Le Figaro
Au-delà du contexte philippin, ce film de près de 4 heures, film-fleuve, film-forêt, est une allégorie prodigieuse du règne du mal, de sa folie grimaçante.
Le Journal du Dimanche
Une œuvre contestataire d’une grande puissance touchant à l’universel.
Le Monde
Le cinéaste Lav Diaz évoque la répression des années 1970 aux Philippines dans une fiction chantée captivante.
Les Fiches du Cinéma
Tragédie hantée par les fantômes des victimes de la loi martiale instaurée par Ferdinand Marcos, le nouveau film de Lav Diaz est une œuvre âpre dans sa forme comme sur le fond, sorte de rêve fascinant et délirant comme les légendes de la forêt philippine.
aVoir-aLire.com
Un opéra rock radical qui détourne les codes du genre pour s’ériger en une œuvre d’art envoûtante, puissamment politique.
Critikat.com
La perspective contrariée de son dispositif visuel semble être le motif central du film : celui d’un mal profondément enraciné dans le cœur de l’espace (et de l’image).
Libération
[...] moins le film absolument conceptuel qu’on pourrait croire, mais l’opéra radicalement didactique dont on a peut-être besoin, là-bas ou ici, partout où les formes sont obligées, par l’histoire, de devenir des formes de résistance à la tyrannie.
Télérama
Ces films étaient si subtils qu’on est surpris de voir Diaz — même poussé par l’urgence — réaliser ce happening vieillot qui évoque fâcheusement le cinéma soviétique des années 1950 et le Living Theatre des années 1970. Restent, évidemment, ses plans magnifiques, et son art de transformer le temps en suspense. C’est déjà bien…
Première
Hélas, le film semble aussi interminable que cette ère encore controversée aujourd’hui.