Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
CNews
par La rédaction
Une chronique familiale touchante et bouleversante.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
De cet univers glacé ressort la chaleur de sentiments puissants éprouvés par deux êtres dont le regard est orienté dans une même direction. Visuellement splendide, "Aga" est une leçon d’amour.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
L’enjeu essentiel de ce docu-fiction immémorial étant l’intrusion graduelle de la modernité dans un monde préservé. Prélude à un très beau final sans paroles dans une mine de diamants. Seule fausse note dans cette aventure picturale et humaine : l’emploi lacrymal de l’Adagietto de Mahler, devenu un cliché avec Mort à Venise de Visconti.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un long-métrage contemplatif, ultra-stylisé dont on devine les conditions extrêmes de tournage, et dont l’émotion finale... nous cueille à froid.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une beauté visuelle fascinante.
Positif
par Denitza Bantcheva
Le cadrage témoigne d’un vrai sens pictural et d’un don pour l’épure particulièrement remarquables de la part d’un réalisateur bulgare.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Chaque plan du cinéaste bulgare Milko Lazarov rend compte de ce monde extraordinaire où chaque geste compte. Ce prix accordé au temps raconte avec authenticité le mode de vie de ces gens dont l’accomplissement, par le miracle de la fiction, captive.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Samuel Douhaire
Le progrès menace la cohésion d’une famille iakoute isolée au cœur d’un immense désert de glace. Un conte touché par la grâce.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Dans un décor à la blancheur sereine, on assiste entre mélancolie et résignation à la lente et inéluctable disparition d’un mode de vie désormais révolu.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
Univers fascinant, presque hypnotique, qui fait écho, presque un siècle plus tard, au "Nanouk" de Flaherty (1922). On assiste ici à la fin d'une ère, avec émotion.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Un film lumineux et poignant sur un couple âgé du grand nord sibérien qui refuse de rompre avec ses traditions et tente de renouer avec leur fille partie depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
"Aga" nous attache pour toujours à ses personnages qui vivent dans ce monde brutal comme les derniers des hommes.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
La lenteur de ce film contemplatif et avare en péripéties peut dérouter, mais sa photographie est splendide et la minutieuse exploration culturelle du peuple iakoute habitué aux conditions extrêmes, fascinante.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
À partir d’un scénario a priori extrêmement simple, le Bulgare Milko Lazarov réalise un récit splendide sur l’amour et l’abandon.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Malgré ce maquillage trop appuyé d’artifices, "Aga" réussit à raconter son crépusculaire sujet : l’écrasement de l’ancien monde par le nouveau.
Première
par François Rieux
Si le style documentaire évoquant forcément Nanouk, l’Esquimau et la quasi-absence de dialogues pourront en freiner plus d’un, cette histoire familiale tragique prend tout son sens dans son acte final inattendu et déchirant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
D’une indéniable beauté plastique, Aga n’en demeure pas moins limité par son parti pris ultracontemplatif et son refus de la trivialité, qui transforment ses personnages en pures icônes.
CNews
Une chronique familiale touchante et bouleversante.
Franceinfo Culture
De cet univers glacé ressort la chaleur de sentiments puissants éprouvés par deux êtres dont le regard est orienté dans une même direction. Visuellement splendide, "Aga" est une leçon d’amour.
L'Humanité
L’enjeu essentiel de ce docu-fiction immémorial étant l’intrusion graduelle de la modernité dans un monde préservé. Prélude à un très beau final sans paroles dans une mine de diamants. Seule fausse note dans cette aventure picturale et humaine : l’emploi lacrymal de l’Adagietto de Mahler, devenu un cliché avec Mort à Venise de Visconti.
La Voix du Nord
Un long-métrage contemplatif, ultra-stylisé dont on devine les conditions extrêmes de tournage, et dont l’émotion finale... nous cueille à froid.
Le Dauphiné Libéré
Une beauté visuelle fascinante.
Positif
Le cadrage témoigne d’un vrai sens pictural et d’un don pour l’épure particulièrement remarquables de la part d’un réalisateur bulgare.
Sud Ouest
Chaque plan du cinéaste bulgare Milko Lazarov rend compte de ce monde extraordinaire où chaque geste compte. Ce prix accordé au temps raconte avec authenticité le mode de vie de ces gens dont l’accomplissement, par le miracle de la fiction, captive.
Télérama
Le progrès menace la cohésion d’une famille iakoute isolée au cœur d’un immense désert de glace. Un conte touché par la grâce.
aVoir-aLire.com
Dans un décor à la blancheur sereine, on assiste entre mélancolie et résignation à la lente et inéluctable disparition d’un mode de vie désormais révolu.
L'Obs
Univers fascinant, presque hypnotique, qui fait écho, presque un siècle plus tard, au "Nanouk" de Flaherty (1922). On assiste ici à la fin d'une ère, avec émotion.
La Croix
Un film lumineux et poignant sur un couple âgé du grand nord sibérien qui refuse de rompre avec ses traditions et tente de renouer avec leur fille partie depuis longtemps.
La Septième Obsession
"Aga" nous attache pour toujours à ses personnages qui vivent dans ce monde brutal comme les derniers des hommes.
Le Journal du Dimanche
La lenteur de ce film contemplatif et avare en péripéties peut dérouter, mais sa photographie est splendide et la minutieuse exploration culturelle du peuple iakoute habitué aux conditions extrêmes, fascinante.
Les Fiches du Cinéma
À partir d’un scénario a priori extrêmement simple, le Bulgare Milko Lazarov réalise un récit splendide sur l’amour et l’abandon.
Les Inrockuptibles
Malgré ce maquillage trop appuyé d’artifices, "Aga" réussit à raconter son crépusculaire sujet : l’écrasement de l’ancien monde par le nouveau.
Première
Si le style documentaire évoquant forcément Nanouk, l’Esquimau et la quasi-absence de dialogues pourront en freiner plus d’un, cette histoire familiale tragique prend tout son sens dans son acte final inattendu et déchirant.
Le Monde
D’une indéniable beauté plastique, Aga n’en demeure pas moins limité par son parti pris ultracontemplatif et son refus de la trivialité, qui transforment ses personnages en pures icônes.