Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Le réel et le surnaturel se superposent dans un même plan, ce qui rend le film extrêmement déstabilisant et provoque des sueurs froides que l'on n'avait pas ressenties depuis des lustres (...). "Hérédité" est le grand film d'épouvante que l'on attendait, ne dénigrant jamais le genre dans lequel il s'inscrit, et qui, de surcroît, nous renvoie à nos propres démons.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Mad Movies
par Laurent Duroche
Comme si on n'était déjà pas royal au bar avec une telle richesse scénaristique, il se trouve que le jeune Aster a tout autant réfléchi sa mise en scène et ses effets horrifiques. Imaginez le Shyamalan de "Sixième Sens" qui aurait bouffé du Friedkin au petit-déjeuner.
Ouest France
par Pierre Lunn
Attention, claque ! Pour son premier film, Ari Aster signe un classique instantané de l'angoisse avec une Toni Colette au sommet de son art.
Première
par Gérard Delorme
L’écriture des personnages, le rythme délibéré, le timing parfait, la puissance graphique des moments forts, la direction d’acteurs (excellents, à commencer par Toni Collette), tout est pensé et exécuté avec une efficacité exceptionnelle. À tel point qu’on a envie d’y retourner illico.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Quand les traumas paranoïaques de Polanski épousent l’habilité de la nouvelle garde du cinéma surnaturel, le résultat est épatant d’effroi et de maîtrise. Hérédité relève d’un cinéma monstrueux et déviant, de ceux font date. Terreur psychologique et graphique garantie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur maintient ainsi l’ambiguïté entre manifestations occultes et folie furieuse avec maestria pour distiller l’angoisse.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un rollercoaster où les influences d’Ari Aster (Polanski et Roeg, principalement) se font certes trop visibles mais où ses images font preuve d’une véritable force dramatique.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Simon Riaux
Autopsie des névroses familiales, piège à mâchoires horrifique et dédale mythologique sans issue, "Hérédité" est une des propositions de cinéma les plus terrifiantes de ces dernières années.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ari Aster frappe très fort avec ce film d’horreur malade, qui installe le malaise et l’angoisse, refuse les conventions, choisit la radicalité, innove en permanence.
Paris Match
par Clément Mathieu
Cette belle maîtrise esthétique, doublée d’un travail sophistiqué sur les effets sonores (le claquement de langue…), est une grande force du film, mais le plus impressionnant reste la prestation de son actrice principale.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Frédéric Strauss
Culte, déjà ? Ce film d’horreur réalisé par un jeune cinéaste américain est comparé rien de moins qu’à "L’Exorciste" (1973). Et c’est mérité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Thomas Sotinel
Comme si l’effort que nécessitait son numéro de funambule entre exploration psychique et surnaturel l’avait épuisé, Ari Aster (...) résout les petits problèmes familiaux dans un bain de sang et une avalanche de figures (...) sorties d’un entrepôt de ressorts dramatiques qui n’aurait jamais dû être rouvert.
Le Parisien
par Michel Valentin
Il faut attendre la seconde moitié du film pour voir enfin l’actrice principale - très bonne Toni Collette - et se dire que quelque chose ne tourne pas rond, et donc l’action s’accélérer un peu. Le tout pour finalement délivrer une conclusion d’un fantastique hélas trop traditionnel...
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Le cinéaste surdoué maîtrise son récit avec une précision glaciale et un sens du rythme remarquable, qui prend à rebours toutes les ficelles du genre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
Si l'effroi des premiers instants tend à s'étioler, l'ambiguïté des personnages et la brutalité de certaines séquences sont d'une réelle efficacité.
Critikat.com
par Corentin Lê
L’immense limite du film réside là où l’incursion de l’horreur dans la réalité n’est amenée que par la ruse formaliste, trop insistante pour effrayer ou pour semer le trouble.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ari Aster, dont c'est le premier long-métrage, nous tient en haleine avec un certain talent et nous laisse espérer que le fin mot de l'histoire justifiera les afféteries et les dérapages grotesques de son "film d'horreur d'auteur" qui oscille entre premier degré et autoparodie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La rédaction
Toni Collette et Gabriel Byrne jouent à se faire peur dans ce premier film guère plus intéressant que la franchise "Ouija". Gros effets, petite frayeur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film de genre hésitant trop, sans jamais choisir, entre angoisse et horreur...
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Culturopoing.com
Le réel et le surnaturel se superposent dans un même plan, ce qui rend le film extrêmement déstabilisant et provoque des sueurs froides que l'on n'avait pas ressenties depuis des lustres (...). "Hérédité" est le grand film d'épouvante que l'on attendait, ne dénigrant jamais le genre dans lequel il s'inscrit, et qui, de surcroît, nous renvoie à nos propres démons.
Mad Movies
Comme si on n'était déjà pas royal au bar avec une telle richesse scénaristique, il se trouve que le jeune Aster a tout autant réfléchi sa mise en scène et ses effets horrifiques. Imaginez le Shyamalan de "Sixième Sens" qui aurait bouffé du Friedkin au petit-déjeuner.
Ouest France
Attention, claque ! Pour son premier film, Ari Aster signe un classique instantané de l'angoisse avec une Toni Colette au sommet de son art.
Première
L’écriture des personnages, le rythme délibéré, le timing parfait, la puissance graphique des moments forts, la direction d’acteurs (excellents, à commencer par Toni Collette), tout est pensé et exécuté avec une efficacité exceptionnelle. À tel point qu’on a envie d’y retourner illico.
aVoir-aLire.com
Quand les traumas paranoïaques de Polanski épousent l’habilité de la nouvelle garde du cinéma surnaturel, le résultat est épatant d’effroi et de maîtrise. Hérédité relève d’un cinéma monstrueux et déviant, de ceux font date. Terreur psychologique et graphique garantie.
20 Minutes
Le réalisateur maintient ainsi l’ambiguïté entre manifestations occultes et folie furieuse avec maestria pour distiller l’angoisse.
CinemaTeaser
Un rollercoaster où les influences d’Ari Aster (Polanski et Roeg, principalement) se font certes trop visibles mais où ses images font preuve d’une véritable force dramatique.
Ecran Large
Autopsie des névroses familiales, piège à mâchoires horrifique et dédale mythologique sans issue, "Hérédité" est une des propositions de cinéma les plus terrifiantes de ces dernières années.
Le Journal du Dimanche
Ari Aster frappe très fort avec ce film d’horreur malade, qui installe le malaise et l’angoisse, refuse les conventions, choisit la radicalité, innove en permanence.
Paris Match
Cette belle maîtrise esthétique, doublée d’un travail sophistiqué sur les effets sonores (le claquement de langue…), est une grande force du film, mais le plus impressionnant reste la prestation de son actrice principale.
Télérama
Culte, déjà ? Ce film d’horreur réalisé par un jeune cinéaste américain est comparé rien de moins qu’à "L’Exorciste" (1973). Et c’est mérité.
Le Monde
Comme si l’effort que nécessitait son numéro de funambule entre exploration psychique et surnaturel l’avait épuisé, Ari Aster (...) résout les petits problèmes familiaux dans un bain de sang et une avalanche de figures (...) sorties d’un entrepôt de ressorts dramatiques qui n’aurait jamais dû être rouvert.
Le Parisien
Il faut attendre la seconde moitié du film pour voir enfin l’actrice principale - très bonne Toni Collette - et se dire que quelque chose ne tourne pas rond, et donc l’action s’accélérer un peu. Le tout pour finalement délivrer une conclusion d’un fantastique hélas trop traditionnel...
Les Inrockuptibles
Le cinéaste surdoué maîtrise son récit avec une précision glaciale et un sens du rythme remarquable, qui prend à rebours toutes les ficelles du genre.
Télé Loisirs
Si l'effroi des premiers instants tend à s'étioler, l'ambiguïté des personnages et la brutalité de certaines séquences sont d'une réelle efficacité.
Critikat.com
L’immense limite du film réside là où l’incursion de l’horreur dans la réalité n’est amenée que par la ruse formaliste, trop insistante pour effrayer ou pour semer le trouble.
L'Obs
Ari Aster, dont c'est le premier long-métrage, nous tient en haleine avec un certain talent et nous laisse espérer que le fin mot de l'histoire justifiera les afféteries et les dérapages grotesques de son "film d'horreur d'auteur" qui oscille entre premier degré et autoparodie.
Le Figaro
Toni Collette et Gabriel Byrne jouent à se faire peur dans ce premier film guère plus intéressant que la franchise "Ouija". Gros effets, petite frayeur.
Les Fiches du Cinéma
Un film de genre hésitant trop, sans jamais choisir, entre angoisse et horreur...