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    Certains l'aiment chaud
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    361 critiques spectateurs

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    babidi
    babidi

    4 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 janvier 2017
    Un film a marque d une pierre blanche dans la carrière de Mr Wilder
    Un trio genial de part son jeu et son charisme
    meme Mr Jack Lemon tire son epingle du jeu dans un second rôle indispensable
    Merci encore pour ce Grand moment de cinema
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 janvier 2017
    La comédie la plus drôle d'Hollywood.
    Le thème du travestissement des deux hommes qui fuient la mafia en se cachant dans un orchestre de jeunes filles est exploité à son maximum sans tomber dans la vulgarité, équilibre pourtant difficile.
    Marilyn Monroe est exquise et ne surjoue pas les nunuches.

    À noter: les dialogues de la VF sont très bons, au moins autant que les originaux, car traduits par Raymond Queneau.
    CH1218
    CH1218

    164 abonnés 2 779 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 janvier 2017
    Témoin d’une fusillade sanglante, un saxophoniste et un contrebassiste rejoignent un orchestre féminin en partance pour la Floride pour échapper à une figure de la pègre de Chicago. C'est drôle, enlevé, rythmé, gonflé, indémodable. Avec l’impayable Jack Lemmon, le séduisant Tony Curtis et la bombe Marilyn Monroe, sous l’oeil avisé de la caméra du grand Billy Wilder, « Certains l’Aiment Chaud » est LA comédie hollywoodienne par excellence.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 31 décembre 2016
    Monument du cinéma , assez drôle dans l'ensemble , avec de bon acteurs et une super fin ! Bravo au cinéma Hollywoodien d'antan !
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    113 abonnés 1 585 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 novembre 2016
    Un grand classique du cinéma de l’âge d’or d’Hollywood ; les raisons de voir ou de revoir ce film sont légions. Tout d’abord l’homme aux manettes, Billy Wilder est une référence du cinéma américain des 40’s et 50’s qui a exploré des genres très différents : la comédie, le film noir, le suspense, le film romantique,… Et là, il va utiliser tout son savoir-faire en nous ballotant du film de gangster à la romance au burlesque et à la « screwball comedy » durant les deux heures du film. Jack Lemmon et Tony Curtis jouent une partition irréprochable de « Laurel et Hardy » moderne avec le premier dans le rôle du soumis, peureux, hésitant et le second dans le rôle de l’aventureux, séducteur, menteur et dominateur. Ce duo très burlesque est le centre névralgique du film autour duquel tourne une belle « tête de linotte » qu’ils aimeraient séduire, chose difficile du fait de leur travestissement. Billy Wilder inventera le double travestissement de Tony Curtis pour parvenir à faire naître une idylle entre les deux. Parenthèse, le scénario de Wilder est vif et riche en scènes comiques ; mais chacune d’entre elles doivent servir l’histoire et ne pas être un pansement comique sur une jambe de bois. Donc tout à son importance. Revenons à la belle ingénue : Marilyn Monroe. Rien que pour elle et sa petite poignée de films tournés avant son décès à 36 ans, il mérite le détour. Et pour son célèbre « pooh pooh pi doo » ; véritable référence du patrimoine cinématographique mondial.
    Outre une histoire bien goupillée, Wilder se complet à contourner au maximum le code Hays en vigueur à l’époque. Son film est subversif et malin : sous-entendus sexuels (la buche dans la cheminée,…) portés par des dialogues brillants ; toutes les configurations de couples apparaissent durant le film ; les scènes aux allusions sexuelles (trombone à coulisse, scène de la couchette aux accents de partouze,…) ; jusqu’au final où le milliardaire amoureux d’un Jack Lemmon travesti lui propose le mariage avant et même après avoir découvert le pot aux roses ou plutôt le poteau rose. Et de clore alors le film sur « nobody’s perfect »… Fallait l’oser dans l’Amérique puritaine des 50’s. Et puis, en filigrane, Wilder condamne l’Amérique de l’argent, défend la lutte des classes et prône un message féministe. Et là, en travestissant des hommes et en les soumettant aux désirs d’autres hommes ; il trouve des scènes croustillantes mais bien balancées aussi. De même lorsque Marilyn décrit la difficulté d’être une jolie fille désirée et jetée par tant d’hommes ne recherchant qu’un bon moment alors qu’elle cherche l’amour.
    A voir donc ou revoir.
    Stephenballade
    Stephenballade

    364 abonnés 1 236 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 novembre 2016
    C’est vrai que c’est chaud. Pas dans le sens érotique du terme. C’est plutôt la situation qui l’est. Que voulez-vous ? Il y en a qui ont le don de se mettre continuellement en fâcheuses postures que personne ne se risquerait à leur envier. C’est le cas des deux compères Joe (Tony Curtis) et Jerry (Jack Lemmon), amis inséparables quelles que soient les circonstances. La ville de Chicago était reconnue pour être la capitale de la criminalité pendant la prohibition, et c’est justement là que se dessine le point de départ de la situation rocambolesque dans laquelle vont se retrouver nos deux larrons. Charleston, alcool, gangsters, tenues excentriques mais ô combien sexy pour certaines, Billy Wilder a mis en images avec une grande maîtrise son propre scénario (co-écrit avec I.A.L. Diamond) pour nous offrir un véritable festival de cabotinages savoureux. En terme de cabotinages, il n’y a pas à dire, Tony Curtis, et surtout Jack Lemmon (à qui je donne ma mention spéciale) s’en sont donnés à cœur joie, continuant de plus belle lorsque la splendide Marilyn Monroe les rejoint. Et quand je dis que c’est un festival, le mot est pesé. Mimiques, expressions corporelles, démarches ridicules, répliques hilarantes, un brin de caricatures : tout y est pour offrir un spectacle truculent au spectateur. En bonus, nous avons le charme irrésistible de Marilyn : un minois qui ne s’oublie pas, une paire de jambes attirant irrémédiablement les yeux (nous faisant regretter que les bas-couture ne soient faits si rares de nos jours), un corps de rêve magnifié par ses tenues. Et en plus, elle participe à ces fameux cabotinages, tout en alternant avec des moments en mode plus… cruche. C’est à se demander comment j’ai pu ne pas connaître ce film plus tôt tant la qualité artistique, l’immersion dans l’époque (costumes, musique et véhicules), et les qualités techniques sont bonnes. J’ai même adoré les plans glissant d’un sujet à un autre de la part du cinéaste, qui se permet même de donner un aspect cartoon à son film lors de la folle course-poursuite dans l’hôtel. "Certains l’aiment chaud" est un film audacieux qui bouscule certains tabous de l’époque avec beaucoup d’humour, et qui se termine sur la réplique la plus culte de toutes les répliques cultes. Malgré son millésime 1959, "Certains l’aiment chaud" a traversé un demi-siècle sans prendre une ride, et je veux bien manger mon ordinateur si il ne traverse pas un autre demi-siècle avec autant de fraîcheur. Une comédie trépidante à posséder absolument dans sa vidéothèque, ne serait-ce que pour la prestation de très haute-volée de Jack Lemmon, mais aussi celle de Tony Curtis (celui-là même qui faisait la paire avec Roger Moore pour la série "Amicalement vôtre") et de Marilyn Monroe. En résumé : 2 heures de pur bonheur. Un seul regret : l’absence d’un bêtisier, car à voir nous trois trublions, nous devinons aisément qu’ils se sont beaucoup amusés à donner vie à ce scénario, et il parait inconcevable de penser qu’il n’y a pas toute une collection de scènes tombées dans le "chutier"… entre les scènes ratées (Marilyn Monroe oubliait toutes ses répliques) et les fous rires… Mais bon, c’est ainsi : donc pas de bonus gratuit au générique de fin. Tant pis. On ne leur en voudra pas, hein ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 octobre 2016
    Un des premiers films de ma vie, et que de fou rires en famille devant ce film culte !
    Le scénario tarabiscoté y est pour beaucoup mais les excellents acteurs aussi !
    Jonathan M
    Jonathan M

    116 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 octobre 2016
    Petit bijou de comédie. Tony Curtis & Jack Lemmon font les frais d'un road trip californien. Double masque, ils jouent l'hilarité en se travestissant. Billy Wilder se fait plaisir. Mais comment ne pas perdre la tête face à Miss Monroe. Poitrine généreusement aguicheuse, voix ensorcelante, elle nous fais même oublier qu'elle joue une petite midinette avec naïveté de compétition. Qu'importe, Poupoupidou tout simplement.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    620 abonnés 2 715 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 octobre 2016
    Une comédie pétillante, aux vannes certes aujourd'hui éculées, mais si bien mises en scène qu'elles demeurent très divertissante. Certains l'aiment chaud demeure une comédie intelligente, qui joue avec les clichés et les préjugés des classes sociales, du genre sexuel et d'autres particularismes.

    https://m.facebook.com/La-7eme-critique-393816544123997/
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    366 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 octobre 2016
    Ça me laisse froid, faute sans doute à la VF qui m’a très souvent agacé (pas eu le choix, merci France TV), et les effets comiques ne restent que dans la rythmique de la mise en scène et non dans la situation, enfin trop peu, perso ça ne m’a jamais fait rire, l’impression d’un potentiel humoristique gâché et/ou quasiment jamais réellement exploité (quitte à être potache), sans doute faut-il recontextualiser (et encore) mais je m’attendais à être surpris justement, ce qui n’a pas été le cas. Après oui il y a du charisme dans ce trio d’acteurs, notamment l’entente Curtis-Lemmon, le charme de Monroe opère également, mais même dans le fond je ne retire pas grand chose de cette histoire, froid donc, disons tiédasse.
    Chris46
    Chris46

    473 abonnés 978 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 octobre 2016
    " certains l'aiment chaud " grand classique du 7e art . C'est l'histoire de deux musiciens de jazz au chômage nommer Joe ( Tony Curtis ) et Jerry ( Jack Lemmon ) qui vont assister involontairement à un massacre peperpétrer par une bande de gangsters . Pour échapper aux gangster ils décident de se déguiser en femme et d'intégrer un orchestre féminin . Ils tombent alors amoureux d'une ravissante blonde nommer Alouette ( Marilyn Monroe ) une chanteuse de l'orchestre qui veut épouser un milliardaire ...
    " certains l'aiment chaud " est un grand classique du 7e art signé Billy wilder qui connu un grand succès à sa sortie . L'histoire est très sympa celle de deux type qui vont devoir se travestir en femme pour échapper à des gangsters et intégrer un orchestre féminin . Cette situation va donner lieux à tout un tas de situations cocasses ( la scène dans le train ) et de dialogues savoureux et irrésistibles . Un film qui mélange avec brio plusieurs genre comme la comédie , le film de gangster , la comédie musicale avec une touche de romance . Un bon mélange des genres qui fait de ce film un film assez unique .
    Le film est porter par un trio d'acteurs exeptionnels . Tony Curtis et Jack lemon sont excellent dans le rôle de ses musiciens qui vont être obliger de se travestir en femmes pour échapper à des gangsters . Ils sont irresistibles quand ils tente de se faire passer pour des femmes avec les quiproquos qui vont suivre . Le duo Curtis / lemon fonctionne à merveille . Ils vont tomber sous le charme d'une chanteuse qui rêve de changer de vie en voulant épouser un milliardaire . Elle est incarner à merveille par la magnifique Marilyn Monroe qui illumine le film . La scène mythique ou elle chante " po po pidou " est gravé dans les mémoires .
    Même si le film à viellit il contient le charme des films des années 50 . Un grand classique du 7e art à ne pas louper .
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 octobre 2016
    On connaît pas cœur la réplique qui clôt ce chef-d'œuvre : « Personne n'est parfait.» Et cet phrase retrace parfaitement bien la philosophie de Billy Wilder. Certains l'aiment chaud est impressionnant, grâce à un casting trois étoiles. Marilyn qui embrasse Tony Curtis en lui mettant de la buée plein les yeux. Mais l'acteur dont on se souvient avec de l'enthousiasme, c'est évidemment Jack Lemon. En dansant avec Osgood, son riche milliardaire du tango jusqu'à pas d'heure. Et le film parle aussi de l'homosexualité : Joe (ou Joséphine), au début, n'aime pas son milliardaire, mais il (elle) va commencer à l'apprécié(e). Et même, l'aimer. Chicago, 1929. Deux musiciens sont poursuivis par des gangsters pour avoir assister à un règlement de comptes. Ils se travestissent en femme, maquillés et pomponnés dans un orchestre féminin. Ils vont bientôt croiser la route de la belle Sugar (Marilyn Monroe), une fille qui joue du ukulélé et qui boit en cachette. Elle aime les saxophonistes et les riches milliardaires à lunettes et chante « I want to be loved by you, pooh pooh pee dooh.» Le scénario est magique et a une audace implacable. C'est l'une des premières fois au cinéma, où l'on parle de travestis. De différent sexe. La preuve : « Les femmes, dit Joe à son meilleur ami, sont un sexe tout à fait différent.» Dommage, les critiques n'ont pas toujours était bonnes, et le film n'a pas trop eu de récompenses. Par exemple, il a été nommé six fois aux Oscars et le film est reparti (qu') avec l'Oscar des meilleurs décors et costumes. Le film que signe Billy Wilder reste un modèle de mise en scène et de style.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    166 abonnés 2 429 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 septembre 2016
    Certains l'aiment chaud est un must-see.
    L'histoire est très fun et très original. On ne s'ennuie pas une seule seconde.
    Marilyn Monroe tient ici le rôle de sa vie (avec Sept Ans de Réflexion). Rares sont les actrices (surtout dans les années 50) qui peuvent se vanter d'un tel sex-appeal. Il est impossible de ne pas succomber à son charme. Tony Curtis est très bon dans le personnage peut-être le plus sobre du duo Curtis – Lemmon. Jack Lemmon est hilarant, chacune de ces lignes de dialogues fait mouche.
    La musique jazzy est assez fun.
    Certaines scènes sont cultes, tout comme certaines répliques (notamment le fameux « Personne n'est parfait »).
    On rit, et c'est bien la preuve que l'humour n'a pas d'âge, puisque certaines comédies des années 50 marchent toujours aussi bien.
    Audrey L
    Audrey L

    567 abonnés 2 426 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 octobre 2016
    Ce comédie burlesque en noir et blanc est loin d'avoir pris une ride et fait tout autant rigoler à chaque visionnage ! Petits et grands rient souvent aux éclats face à des courses-poursuites toujours plus enlevées et cocasses, mais aussi grâce à l'interprétation des acteurs qui sont tout simplement excellents dans leur rôle : Jack Lemmon et Tony Curtis sont Joe et Jerry, saxophoniste et bassiste miséreux, qui sont témoins d'un règlement de compte de mafieux et doivent se travestir pour fuir au sein d'un orchestre féminin, et la ravissante Marilyn Monroe est Alouette, chanteuse et joueuse de ukulélé alcoolique et à la recherche de milliardaires célibataires... Tout y est savoureux, tendre et plein de rebondissements rocambolesques (même si, d'après les archives de l'époque, Curtis et Monroe ne s'aimaient pas du tout, ils font preuve d'un grand professionnalisme et jouent merveilleusement bien aux amoureux). Les chansons sont envoûtantes dès qu'elles sont fredonnées par la belle du film, et les décors de cartes postales ne peuvent faire que fantasmer ou s'évader le spectateur. Le travestissement est bien sûr source de la plupart des gags décalés (la "soirée" des misses dans le compartiment couchette de Jerry qui veut se rapprocher d'Alouette est très drôle car on entend simultanément la voix féminine des garçons et leur vraie voix, décalage saisissant qui nous rappelle bien là la trame burlesque du film). Anecdote amusante : étant dans l'incapacité de doubler la voix féminine de Curtis, Roger Carel a été secondé par Roger Rudel. On entend donc deux doubleurs différents dans ce genre de séquence (encore plus incroyable car il faut être très attentif pour le remarquer). Le personnage du milliardaire qui s'entiche de Jerry grimé en Daphné est hilarant et réserve l'un des dialogues les plus comiques jamais entendus pour un final en apothéose de rire et de tendresse. Un vrai chef-d'œuvre, bijoux d'intemporalité qui fera toujours rire et fondre les cœurs...
    ned123
    ned123

    129 abonnés 1 663 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 janvier 2016
    J'ai vu un film... en mode jubilatoire. Pensez donc... Retrouver Tony Curtis, Jack Lemmon et Marilyn Monroe dans un film de Billy Wilder... Quelle maestria de comédie et de douceur... Des dialogues ciselés (avec des allusions bien coquines...), et des situations cocasses avec des personnages excessifs à outrance, mais s'arrêtant avant la caricature... Marilyn Monroe irradie de son sex-appeal, en portant -ou pas finalement) des robes quasi-transparentes. Les dialogues sont savoureux et la dernière phrase du film en est le total reflet... Ce film est un des grands classiques du cinéma américain, et mine de rien se révèle assez transgressif pour l'époque... Des hommes habillés en femme pour échapper à des gangsters qui ont commis un crime juste devant eux... Quel plaisir de voir et de revoir cette comédie. Un quasi chef d'oeuvre...
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