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Ghighi19
55 abonnés
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3,5
Publiée le 7 mai 2021
Bien sûr c est difficile de ne pas apprécier ce film devenu légendaire. Aujourd'hui il passe encore très bien mais on peut aussi se rendre compte que Marilyne Monroe n est pas toujours très juste et Jack Lemmon en fait parfois quand même beaucoup. Le charme opère toujours après tout personne n est parfait.
Film culte avec Marilyn Monroe et Tony Curtis qui fait une superbe double performance. Personnellement je n'ai rien trouvé d'incroyable malgré un humour efficace, le scénario reste classique. Un bon film mais pas celui que je conseillerais pour ceux qui découvrent le ciné près 70s, qui est repoussant pour la plupart alors qu'il contient des pépites !
Pendant la prohibition deux musiciens sont témoins d’un crime de la mafia et pour échapper à une bande de tueurs se travestissent et se font engager dans un orchestre féminin. Voilà la trame de certains l’aiment chaud, classique de la comédie américaine. Personnellement, j’ai trouvé cela amusant à défaut d’être drôle. Heureusement il y a Jack Lemmon et Tony Curtis qui se donnent à fond car il faut bien dire que cela a beaucoup vieilli. Surtout le personnage de Maryline Monroe, qui est une caricature de bimbo écervelée et qu’on veut laissé comme tel. Heureusement le film garde un côté léger qui ne le rend pas désagréable.
Certainement le film le plus vue de la grande filmographie du grand Billy Wilder. C'est également l'un des plus grande comédie. On attend tous a la fin la phrases mythique "no body is perfect"... La comedie est ryhtmé, il n'y a aucun temps mort, on rit souvent de ces drole de dames. Le trio d'acteur est parfait mais également les second role. Très bon moment.
Une comédie culte à la fois drôle et pétillante dans laquelle Billy Wilder parodie les films de gangsters tout en se livrant à un jeu audacieux pour l'époque, sur les genres masculins et féminins, portée par un casting génial.
Classique de la comédie américaine, "Some like it hot" n'est peut-être pas le meilleur film du genre de Wilder mais il déploie une mécanique irrésistible et parfaitement huilée. Il y a certes des péripéties que l'on voit venir à l'avance mais cette relative prévisibilité n'atténue en aucun cas le plaisir de voir des éléments disposés d'emblée (l'ouverture avec les mafieux), laissés de côté puis repris sur la fin, tant les situations sont exécutées avec gourmandise. C'est bien la force du film de faire de son principal régime une excentricité nivelée sur plusieurs niveaux (les acteurs, les costumes, les dialogues) afin d'éviter une sensation de maîtrise – celle-ci aurait pu se faire ressentir par un scénario trop bien ficelé. L’excentricité passe ici par un travestissement troublant dans la mesure où le passage au féminin n'est pas un moyen définitif de se fondre dans un décor (une troupe de danseuses) ; le déguisement n'est qu'une surface qui laisse toujours transparaître pour le spectateur et jamais pour les personnages – le ressort comique est inscrit dans cette idée – le désir masculin, à tel point que cette façade devient insupportable pour le personnage de Tony Curtis, décidé à jouer encore un autre rôle (celui d'un homme) pour conquérir Sugar (Marilyn Monroe). Ces jeux de transformations identitaires ne pourraient être qu'une illusion, ils prennent finalement deux orientations surprenantes dans une scène finale que l'on dévoilera pas mais que l'on pourrait résumer ainsi : soit le travestissement est crédible et la véritable nature du personnage reste cachée, soit on avoue qui on est vraiment (on admet donc un gigantesque mensonge) sans qu'il n'y ait aucune conséquence. Il faut avouer qu'il y a, outre la jubilation provoquée par l'originalité de certaines scènes et un déroulement mené tambour battant, un immense soulagement devant une issue profondément amorale. Cette fin, transparente vis-à-vis du regard de Wilder sur ses personnages et son sujet, place directement "Some like it hot" au rang de film culte.
Un classique du cinéma hollywoodien, qui va à cent à l'heure, avec des scènes cultes biens construites comme la fête improvisée dans le train. L'humour n'a pas vieilli et les scènes burlesques s'enchaînent ne laissant jamais le film paraître long. Le trio Curtis/Monroe/Lemmon portent le film avec leurs énergies, on sent qu'ils s'amusent, la réalisation est parfaite avec un scénario qui enchaînent les quiproquos et des rebondissements en tout genre. Par contre je trouve l'histoire banale, comme souvent on voit un homme devenir amoureux d'une belle femme et va tout faire pour la séduire, celle-ci étant brisée par ses précédentes aventures avec les hommes, décide donc de trouver un millionnaire... la fin est prévisible.
Cette comédie vintage prend son temps pour imposer son rythme enlevé et nous emporter pleinement dans son burlesque outrancier – à noter l’un des meilleurs gags de fin du cinéma comique. On finit donc bel et bien pleinement emportés.
Encore drôle malgré le poids des ans. Dommage que ce soit en noir et blanc. Pour le reste, beaucoup de rythme, un humour qui tient la route, un trio d'acteurs très bons. Marylin Monroe est au top, avec notamment une scène de chanson dont la notoriété dépasse celle du film.
Ah la la « Cartains l’aiment chaud » est selon moi l’une des meilleures comédies de tous les temps! Le film est culte en raison de ses répliques en particulier sa dernière: « personne n’est parfait! » Et le célèbre: « pou pou pidou » de Marylin Monroe. L’actrice a d’ailleurs eu des problèmes de mémoire sur le tournage au point que pour une simple réplique où elle demande où se trouve où est le bourbon, le réalisateur Billy Wilder a été obligé d’écrire la réplique dans l’un des tiroirs pendant qu’elle joue. Le film a un bon rythme et nous fait voyager. Il faut comprendre que le titre du film parle du jazz et du SEXE Je vous le conseille fortement
Ça a 50 ans, c’est rythmé, parfaitement dirigé et joué, les dialogues et le scénario sont un régal, c’est plein de fantaisie et d’invention, ça n’a pas pris une ride. Bref un chef d’œuvre.
Je comprends vraiment pourquoi ce film est culte surtout la toute dernière phrase, cela m'a marqué et je me suis dis c'est fou l'ambiance qui s'y dégage, rien n'est de trop et Marylin Monroe est superbe mais alors que dire du duo Wilder et Curtis!! Il a même été classé par le American Film Institute comme le film américain le plus drôle du XXème siècle. Un film qui ne se démodera jamais selon moi , j'ai adoré.
La comédie américaine à son sommet ! Billy Wilder signe effectivement un pur chef-d’œuvre du genre et une œuvre qui résiste incroyable bien aux années. L’humour est omniprésent et fait mouche à chaque fois et le casting est excellent (Tony Curtis, Jack Lemmon, Marilyn Monroe dans un film en noir et blanc alors que son contrat stipulait à la base que tous ses films devaient être en couleurs, Joe E. Brown...).Vaguement inspiré de Fanfare d’amour signé par Richard Pottier en 1935, le scénario de Certains l’aiment chaud est d’une grande efficacité, arrive à installer des sous-entendus scabreuxspoiler: (la flèche de l’ascenseur qui monte et qui descend) sans perdre son élégance et surtout à instaurer sur le ton de l’humour les thématiques du travestissement et de l’homosexualitéspoiler: (Joe et Jerry ont des dettes en communs comme s’ils étaient un couple ; Jerry déguisé en Daphné tombe amoureux d’Osgood Fielding III ; Joe qui embrasse Sugar, ou Alouette si on regarde le film en V.F., alors qu’il porte les vêtements de Joséphine…) . À tous ses éléments, s’ajoutent également une réalisation magnifique (est-ce surprenant de la part de Billy Wilder ?), un noir et blanc sublime, une reconstitution plaisante du Chicago de la prohibition, des clins d’oeil aux films que cette dernière inspiraspoiler: (George Raft qui dit à un homme lançant arrêt une pièce de monnaie "Alors, tu m’imites ?" en référence à Scarface, Edward G. Robinson Jr. dans un type de rôles que son père a tenu pendant des années…) , une Marilyn Monroe au sommet de sa beauté et de son sex-appealspoiler: (comment ne pas remarquer la robe extrêmement suggestive qu’elle porte pendant les scènes de concert ?) , des chansons génialesspoiler: (Running wild, I wanna be loved by you et I’m Through with love) et la phrase de fin la plus célèbre de l’histoire du cinéma. À noter également, que la version française, pour une fois, est signée par un grand écrivain, à savoir Raymond Queneau. Un joyau de la comédie à voir et à revoir sans fin.
Un moment de grâce ... humour génialissime (Jack Lemmon est grandiose) et mise en scène talentueusement dirigée (un bravo aussi pour la bande son et la musique). Il y a dans ce film (qui date de 1959, c'est à souligner) une belle inventivité comique et, ce qui est remarquable, il n'y a pas de temps mort : tout s'enchaîne à merveille. Un superbe film.