Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Express
par Antoine Le Fur
Édifiant dans son propos, Le Grain et l'Ivraie se révèle aussi percutant d'un point de vue cinématographique.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Fernando Solanas nous entraîne dans un grand périple terrestre. Il interroge les habitants, convoque témoins et experts. Dans ce film d’action politique divisé en dix chapitres, il déconstruit chaque fois les processus d’intégration économique d’un système qui induit les répercussions néfastes de l’usage des semences transgéniques, des fumigations de pesticides interdits.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Révoltant (insoutenables images de bébés malformés à cause des pesticides), l’état des lieux est révélateur de la vulnérabilité des puissances émergentes comme l’Argentine.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Cécile Rouden
Dans ce voyage au cœur des villages sacrifiés, le cinéaste met aussi en avant les solutions écologiques développées par des agriculteurs conscients de leur responsabilité sociale, traçant ainsi le chemin de ce que pourrait être une autre Argentine.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Positif
par Hubert Niogret
Mais ici nul lyrisme, nul entrechoquement des images venues d'ailleurs, simplement la violence des faits, la brutalité des conséquences, la force d'un plaidoyer pour un changement nécessaire.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Le panorama est très noir, mais le dernier chapitre, «alternatives écologiques», lui apporte une note d’espoir. La résistance à la toute-puissance des multinationales s’organise peu à peu.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Heureusement, Fernando Solanas ne peut s’empêcher de faire du cinéma. Lorsqu’il filme le rio Parana sillonné de cargos emportant le soja vers l’Extrême-Orient, quand il flâne dans les bourgades endormies (ou désertées) à des centaines de kilomètres de Buenos Aires, l’image prend le pas, sans pour autant brouiller le discours.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Jérémie Couston
Salutaire, désespérant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
À 83 ans, Solanas briguerait-il un nouveau mandat de sénateur ? On pourrait le croire à voir ce film qui ressemble aussi à un film de campagne et s’achève par un appel aux urnes.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Fernando Solanas s’insurge contre le modèle agricole argentin : déforestation, monoculture du soja et usage intensif des agrotoxiques. Malgré la qualité de certains intervenants, il livre une réflexion convenue portée par une image disgracieuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Express
Édifiant dans son propos, Le Grain et l'Ivraie se révèle aussi percutant d'un point de vue cinématographique.
L'Humanité
Fernando Solanas nous entraîne dans un grand périple terrestre. Il interroge les habitants, convoque témoins et experts. Dans ce film d’action politique divisé en dix chapitres, il déconstruit chaque fois les processus d’intégration économique d’un système qui induit les répercussions néfastes de l’usage des semences transgéniques, des fumigations de pesticides interdits.
L'Obs
Révoltant (insoutenables images de bébés malformés à cause des pesticides), l’état des lieux est révélateur de la vulnérabilité des puissances émergentes comme l’Argentine.
La Croix
Dans ce voyage au cœur des villages sacrifiés, le cinéaste met aussi en avant les solutions écologiques développées par des agriculteurs conscients de leur responsabilité sociale, traçant ainsi le chemin de ce que pourrait être une autre Argentine.
Positif
Mais ici nul lyrisme, nul entrechoquement des images venues d'ailleurs, simplement la violence des faits, la brutalité des conséquences, la force d'un plaidoyer pour un changement nécessaire.
Le Figaro
Le panorama est très noir, mais le dernier chapitre, «alternatives écologiques», lui apporte une note d’espoir. La résistance à la toute-puissance des multinationales s’organise peu à peu.
Le Monde
Heureusement, Fernando Solanas ne peut s’empêcher de faire du cinéma. Lorsqu’il filme le rio Parana sillonné de cargos emportant le soja vers l’Extrême-Orient, quand il flâne dans les bourgades endormies (ou désertées) à des centaines de kilomètres de Buenos Aires, l’image prend le pas, sans pour autant brouiller le discours.
Télérama
Salutaire, désespérant.
Cahiers du Cinéma
À 83 ans, Solanas briguerait-il un nouveau mandat de sénateur ? On pourrait le croire à voir ce film qui ressemble aussi à un film de campagne et s’achève par un appel aux urnes.
Les Fiches du Cinéma
Fernando Solanas s’insurge contre le modèle agricole argentin : déforestation, monoculture du soja et usage intensif des agrotoxiques. Malgré la qualité de certains intervenants, il livre une réflexion convenue portée par une image disgracieuse.