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Le réalisateur qui pousse la dérision jusqu'à s'inscrire lui-même au nombre des victimes du tueur, signe un film inclassable, thriller baroque truffé de scènes gore, parodie de cinéma de genre, mélodrame délirant, film noir avec des embardées d'onirisme psychédélique, comédie sombre où la critique amère se déguise en bouffonnerie absurde.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le film est parfois surchargé, imparfait, mais si Haghighi semble se lâcher un peu trop, jusqu’au mauvais goût, c’est précisément pour jouer avec ce qui lui semble le plus menacé. [...] le lâcher-prise, la provocation punk, l’immaturité assumée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Traité sur le mode de la farce, ce scénario donne un film moins sulfureux que prévu : le débat sur les libertés dans le cinéma iranien n’est que prétexte à l’intrigue criminelle. Heureusement, il y a l’incroyable abattage de l’acteur principal, d’un surréalisme réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dans son envie de ruer dans les brancards en jouant sur les effets de rupture (...), Haghighi, de façon aussi étonnante que décevante, se prend les pieds dans le tapis de ces mêmes effets, accouchant d'un déroulé filmique brouillon et jamais vraiment impliquant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
A Téhéran, un serial-killer assassine des cinéastes. On semble vouloir démontrer que l’Iran est un pays moderne où l’on peut ironiser sur la figure de l’artiste. Bien tenté, mais la démonstration tourne court, ravivant une conception un peu datée de l’auteur de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La greffe entre les genres hétérogènes (pochade, slasher, onirisme) ne prend jamais véritablement : l'hybridation crée un faux rythme, que l'abattage du comédien principal ne parvient pas à compenser - et annule par ses outrances.
Culturopoing.com
Thriller parodique et déjanté, le dernier film de Mani Haghighi détone dans le paysage cinématographique iranien.
Le Figaro
Le réalisateur qui pousse la dérision jusqu'à s'inscrire lui-même au nombre des victimes du tueur, signe un film inclassable, thriller baroque truffé de scènes gore, parodie de cinéma de genre, mélodrame délirant, film noir avec des embardées d'onirisme psychédélique, comédie sombre où la critique amère se déguise en bouffonnerie absurde.
Le Monde
Une comédie gargantuesque et démesurée aux allures de thriller, qui n’en est pas moins une satire féroce de la censure dans le cinéma iranien.
Libération
Le film est parfois surchargé, imparfait, mais si Haghighi semble se lâcher un peu trop, jusqu’au mauvais goût, c’est précisément pour jouer avec ce qui lui semble le plus menacé. [...] le lâcher-prise, la provocation punk, l’immaturité assumée.
Première
Le sarcasme est brutal, la provocation cinglante, et on ne regardera plus le cinéma iranien du même œil.
L'Obs
"Pig" ne ressemble à rien ni à personne et mérite d'être découvert. Du cinéma de martien.
Le Journal du Dimanche
C’est un Iran rarement visité, à la fois familier et inconnu, que dépeint le cinéaste dans un film transgressif, aussi jouissif que déroutant.
Les Inrockuptibles
Malgré une fin un peu raide et amphigourique, "Pig" est au cinéma iranien ce que Bosch est à la peinture flamande : un surréaliste contrepoint.
Télérama
Traité sur le mode de la farce, ce scénario donne un film moins sulfureux que prévu : le débat sur les libertés dans le cinéma iranien n’est que prétexte à l’intrigue criminelle. Heureusement, il y a l’incroyable abattage de l’acteur principal, d’un surréalisme réjouissant.
Critikat.com
Dans son envie de ruer dans les brancards en jouant sur les effets de rupture (...), Haghighi, de façon aussi étonnante que décevante, se prend les pieds dans le tapis de ces mêmes effets, accouchant d'un déroulé filmique brouillon et jamais vraiment impliquant.
L'Humanité
A Téhéran, un serial-killer assassine des cinéastes. On semble vouloir démontrer que l’Iran est un pays moderne où l’on peut ironiser sur la figure de l’artiste. Bien tenté, mais la démonstration tourne court, ravivant une conception un peu datée de l’auteur de cinéma.
Les Fiches du Cinéma
Mani Haghighi signe un conte cruellement (mais pas franchement) drôle qui troque bien vite sa subversion contre un cynisme narquois bon teint.
Positif
La greffe entre les genres hétérogènes (pochade, slasher, onirisme) ne prend jamais véritablement : l'hybridation crée un faux rythme, que l'abattage du comédien principal ne parvient pas à compenser - et annule par ses outrances.