Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Guillaume Canet livre une nouvelle ode à l’amitié portée par des acteurs au top.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par La Rédaction
On retrouve avec plaisir la bande des Petits mouchoirs, dont les personnages ont mûri, changé et évolué, ce qui donne à cette suite réussie une saveur différente, même si l'écrin reste le même.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Des retrouvailles touchantes.
La Voix du Nord
par Lucie Vidal
Un cadre exceptionnel, une bande-son excellente, des potes en vacances… c’est simple, on sort de là avec une grosse envie d’huîtres et de vin blanc.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le retour, réussi, de Guillaume Canet et de sa fine équipe, pour une suite des “Petits mouchoirs” pas si facile à faire, et plutôt bien faite, et où, même si on est loin de la densité sociale et humaine de la comédie à l’italienne, le plaisir reste généreux à partager.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Une comédie savoureuse sur l’amitié et le temps qui passe.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
La suite des Petits Mouchoirs, toujours réalisée par Guillaume Canet, se révèle être encore une belle histoire, mêlant amis, amours et emmerdes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Thierry Chèze
Une suite encore plus amère et grinçante.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Thierry Cheze
Plus noire, plus amère et par là même plus passionnante que Les Petits Mouchoirs, une suite éclatante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par Florence Roman
Les acteurs sont formidables, François Cluzet et Marion Cotillard en tête.
Télé Loisirs
par Emilie Meunier
Ce retour au Cap-Ferret signe des retrouvailles fortes en émotions. Ils nous avaient manqué !
L'Express
par Eric Libiot
Mais on est tout de même là dans un film qui raconte peu le monde, ou alors un tout petit monde. Cela dit, il y a un paradoxe : le récit est plus fluide que dans le premier volet et les comédiens sont tous aux petits oignons [...].
La Croix
par La Rédaction
Le film questionne la force des liens amicaux à l’épreuve du temps et, malgré la rudesse du propos, apporte avec une émouvante tendresse une réponse contenue dans le titre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Cette suite tant attendue s’avère (un peu) moins pleurnicharde mais aussi sympathique que le bien nommé premier volet. Malgré quelques excès dramatiques et sa longueur, elle offre de bons moments d’humanité qui donnent envie de partir en vacances avec ses personnages.
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Au bout de deux heures, on ne sait plus où on en est. Canet non plus, qui ne sait jamais finir un film. On lui pardonne parce qu'il vise souvent juste.
Les Fiches du Cinéma
par Florian Fessenmeyer
Une conclusion légère et amusante qui nous fait tomber amoureux de son casting, une seconde fois.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Catherine Castro
Un film choral plutôt réussi [...].
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Certains moments sont plaisants, et Laurent Lafitte arracherait des rires à un mort. L’ennui est que ces personnages n’existent jamais vraiment, tant ils sont sommairement dessinés, à coups de traits de caractère grossiers.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Nous finirons ensemble, histoire d’une amitié mise à l’épreuve, du temps, ne retrouve pas la légèreté du premier, et pire, nous plonge, éprouvés, dans la même méchante dépression que Cluzet. Sortez les petits mouchoirs.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le talent et la complicité des acteurs donnent du mordant à quelques scènes. Pour le reste, on navigue entre du Sautet de sitcom, un humour balourd et des intermèdes musicaux parrainés par l'office du tourisme.
LCI
par Jérôme Vermelin
En équilibre précaire entre le drame et la comédie, "Nous finirons ensemble" manque sa cible malgré la sympathie qu’on éprouve pour les protagonistes du premier film. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Guillaume Canet a concocté une suite dispensable aux « Petits Mouchoirs ».
Libération
par Didier Péron
Ce vivarium néobourgeois peu ragoûtant que trahissent des préoccupations incessantes de propriété, d’argent, vaguement interrompues par des hoquets liquoreux de sentimentalité pleurnicharde (la peur d’être «un raté»), Canet ne veut ni le pulvériser sous forme de farce (à l’italienne, façon "les Nouveaux Monstres") ni l’examiner sérieusement par la chronique de mœurs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Sophie Avon
"Nous finirons ensemble", de Guillaume Canet, peine à trouver le ton juste entre comédie et chronique d’une bande de potes.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par A. V.
Le charme du premier s'est fané. L'atmosphère est pesante, triste.
Bande à part
par Jo Fishley
Les retrouvailles de la bande des Petits Mouchoirs tournent mal. Vacances pourries, entre coup de flip, coup de sang, coup de froid. On est finis !
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Impression de gâtisme qui gagne chaque plan de cette informe pâté.
Ecran Large
par Simon Riaux
La suite des "Petits Mouchoirs" voudrait croquer des personnages attachants car imparfaits, mais sa mise en scène déficiente transforme "Nous finirons ensemble" en pensum bourgeois et daté. Il suffira de projeter le film à un contingent solide de Gilets Jaunes un samedi matin pour en finir avec la Macronie avant l'apéro.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le « mystère Canet » serait-il un avatar du « cas Claude Lelouch », ce réalisateur qui déborde d’idées mais qui se montre incapable de jeter les mauvaises et de garder les (rares) bonnes ?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Nedjma Van Egmond
La surcharge étouffe définitivement tout embryon de possible idylle.
Télérama
par Louis Guichard
Neuf ans après, Guillaume Canet réunit sa troupe des Petits Mouchoirs. Mais rien ne justifie cette suite, succession de sketches sans charme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Les situations et les dialogues n’ont plus grand-chose d’émouvant et encore moins de drôle. On peut même les qualifier de lourdauds et on se souvient de l’expression "beauf élitiste" qu’on avait pu entendre il y a neuf ans.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
Guillaume Canet livre une nouvelle ode à l’amitié portée par des acteurs au top.
Closer
On retrouve avec plaisir la bande des Petits mouchoirs, dont les personnages ont mûri, changé et évolué, ce qui donne à cette suite réussie une saveur différente, même si l'écrin reste le même.
Femme Actuelle
Des retrouvailles touchantes.
La Voix du Nord
Un cadre exceptionnel, une bande-son excellente, des potes en vacances… c’est simple, on sort de là avec une grosse envie d’huîtres et de vin blanc.
Le Dauphiné Libéré
Le retour, réussi, de Guillaume Canet et de sa fine équipe, pour une suite des “Petits mouchoirs” pas si facile à faire, et plutôt bien faite, et où, même si on est loin de la densité sociale et humaine de la comédie à l’italienne, le plaisir reste généreux à partager.
Le Figaro
Une comédie savoureuse sur l’amitié et le temps qui passe.
Le Parisien
La suite des Petits Mouchoirs, toujours réalisée par Guillaume Canet, se révèle être encore une belle histoire, mêlant amis, amours et emmerdes.
Ouest France
Une suite encore plus amère et grinçante.
Première
Plus noire, plus amère et par là même plus passionnante que Les Petits Mouchoirs, une suite éclatante.
Public
Les acteurs sont formidables, François Cluzet et Marion Cotillard en tête.
Télé Loisirs
Ce retour au Cap-Ferret signe des retrouvailles fortes en émotions. Ils nous avaient manqué !
L'Express
Mais on est tout de même là dans un film qui raconte peu le monde, ou alors un tout petit monde. Cela dit, il y a un paradoxe : le récit est plus fluide que dans le premier volet et les comédiens sont tous aux petits oignons [...].
La Croix
Le film questionne la force des liens amicaux à l’épreuve du temps et, malgré la rudesse du propos, apporte avec une émouvante tendresse une réponse contenue dans le titre.
Le Journal du Dimanche
Cette suite tant attendue s’avère (un peu) moins pleurnicharde mais aussi sympathique que le bien nommé premier volet. Malgré quelques excès dramatiques et sa longueur, elle offre de bons moments d’humanité qui donnent envie de partir en vacances avec ses personnages.
Le Point
Au bout de deux heures, on ne sait plus où on en est. Canet non plus, qui ne sait jamais finir un film. On lui pardonne parce qu'il vise souvent juste.
Les Fiches du Cinéma
Une conclusion légère et amusante qui nous fait tomber amoureux de son casting, une seconde fois.
Marie Claire
Un film choral plutôt réussi [...].
Positif
Certains moments sont plaisants, et Laurent Lafitte arracherait des rires à un mort. L’ennui est que ces personnages n’existent jamais vraiment, tant ils sont sommairement dessinés, à coups de traits de caractère grossiers.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Nous finirons ensemble, histoire d’une amitié mise à l’épreuve, du temps, ne retrouve pas la légèreté du premier, et pire, nous plonge, éprouvés, dans la même méchante dépression que Cluzet. Sortez les petits mouchoirs.
L'Obs
Le talent et la complicité des acteurs donnent du mordant à quelques scènes. Pour le reste, on navigue entre du Sautet de sitcom, un humour balourd et des intermèdes musicaux parrainés par l'office du tourisme.
LCI
En équilibre précaire entre le drame et la comédie, "Nous finirons ensemble" manque sa cible malgré la sympathie qu’on éprouve pour les protagonistes du premier film. Dommage.
Le Monde
Guillaume Canet a concocté une suite dispensable aux « Petits Mouchoirs ».
Libération
Ce vivarium néobourgeois peu ragoûtant que trahissent des préoccupations incessantes de propriété, d’argent, vaguement interrompues par des hoquets liquoreux de sentimentalité pleurnicharde (la peur d’être «un raté»), Canet ne veut ni le pulvériser sous forme de farce (à l’italienne, façon "les Nouveaux Monstres") ni l’examiner sérieusement par la chronique de mœurs.
Sud Ouest
"Nous finirons ensemble", de Guillaume Canet, peine à trouver le ton juste entre comédie et chronique d’une bande de potes.
Voici
Le charme du premier s'est fané. L'atmosphère est pesante, triste.
Bande à part
Les retrouvailles de la bande des Petits Mouchoirs tournent mal. Vacances pourries, entre coup de flip, coup de sang, coup de froid. On est finis !
Cahiers du Cinéma
Impression de gâtisme qui gagne chaque plan de cette informe pâté.
Ecran Large
La suite des "Petits Mouchoirs" voudrait croquer des personnages attachants car imparfaits, mais sa mise en scène déficiente transforme "Nous finirons ensemble" en pensum bourgeois et daté. Il suffira de projeter le film à un contingent solide de Gilets Jaunes un samedi matin pour en finir avec la Macronie avant l'apéro.
Les Inrockuptibles
Le « mystère Canet » serait-il un avatar du « cas Claude Lelouch », ce réalisateur qui déborde d’idées mais qui se montre incapable de jeter les mauvaises et de garder les (rares) bonnes ?
Marianne
La surcharge étouffe définitivement tout embryon de possible idylle.
Télérama
Neuf ans après, Guillaume Canet réunit sa troupe des Petits Mouchoirs. Mais rien ne justifie cette suite, succession de sketches sans charme.
aVoir-aLire.com
Les situations et les dialogues n’ont plus grand-chose d’émouvant et encore moins de drôle. On peut même les qualifier de lourdauds et on se souvient de l’expression "beauf élitiste" qu’on avait pu entendre il y a neuf ans.