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Le retour des super-héros les plus insectoïdes de l’écurie Marvel se fait dans un film d’aventure familial de bonne facture, dominé par un Jonathan Majors royal en impitoyable maître du temps.
Certes, ça reste un film familial au ton léger, mais le peu de second degré rend l’aventure plus concernante. D’autant, et c’est le deuxième point, qu’on réussit à être dépaysé.
Les références répétées à Star Wars et l'arrivée tant attendue du nouveau grand vilain de Marvel ne suffisent pas à insuffler une âme au film, qui manque de dramaturgie et perd l'humour des deux premiers Ant-Man.
Bien obligé d'aller toujours de l'avant, le MCU livre des univers, des décors et des royaumes plus délirants que jamais. L'idée de confronter cela à la menace très sérieuse qu'est Kang n'est vraiment pas mauvaise. Mais c'est un choix qui risque à nouveau de diviser et fractionner la communauté Marvel.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
Puissant, mélancolique, en conflit avec sa propre démiurgie, Le Conquérant est bien l’antagoniste du MCU que l’on n’attendait plus. [...] Dommage néanmoins que cette première confrontation aboutisse à une issue aussi abrupte, qui donne le sentiment que même si cette rencontre avec le personnage est réussie, elle demeure tout de même à refaire.
Space opera subatomique, bourré d'effets numériques et de créatures étranges, ce 31e film Marvel remplit son contrat auprès des enfants, mais commence à manquer singulièrement d'originalité, et de cette pointe d'humour à laquelle nous avait habitué Paul Rudd.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Une ouverture en demi-teinte pour la cinquième phase du Marvel Cinematic Universe mais qui, quand elle laisse de côté ses nombreux objectifs, se révèle être une aventure réjouissante au royaume de l'immensément petit. Reste que Kang s'impose comme un digne successeur de Thanos, en un claquement de doigts.
Beaucoup moins d’humour donc, même si le film n’en est pas dénué. Mais un déluge d’effets spéciaux quasiment de la première à la dernière seconde, une profusion légèrement étourdissante qui ne laisse aucun répit à la pupille du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Si Jonathan Majors est plutôt convaincant dans le rôle de ce supervilain, Paul Rudd et Evangeline Lilly sont en revanche en retrait et semblent perdus dans cet univers aux effets numériques surfaits et qui piquent parfois les yeux. L’arc narratif manque de cohérence, et la mise en scène maladroite prend le pas sur l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Vide subatomatique, laideur faramineuse, fou rire nerveux... Ant-Man et la Guêpe : Quantumania rate presque tout ce qu'il entreprend, et c'est un super-pouvoir en soi.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Ce troisième Ant-Man a la double tâche de lancer la phase 5 du MCU et d’en faire oublier les récentes déceptions. Défi à moitié relevé : malgré un antagoniste prometteur, “l’Homme-fourmi” perd de son ludisme et la machine continue de s’essouffler.
Une jolie direction artistique servie par des effets spéciaux convaincants – il ne faut toutefois pas s’attendre à la perfection du dernier « Avatar » –, laissant le regret que tout cet esprit créatif ne soit pas mieux exploité et n’ose pas, à l’exception d’une apparition remarquée de Bill Murray, sortir des sentiers battus.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Les effets numériques XXL, servis à profusion (à la limite de l’indigestion), ne compensent pas la faiblesse du scénario. À petit Marvel, grande déception.
Difficile, malgré tout, de ne pas éprouver une sensation de déjà-vu : des Avengers, des blagues, des effets spéciaux tonitruants, des univers parallèles... Une énième version « alternative » de la même recette à succès...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Propulsés dans un univers parallèle sans intérêt, Ant-Man et sa famille luttent contre le grand méchant Kang, dont on ne comprend rien des ambitions. Tout au long de leur aventure, les héros martèlent la sempiternelle formule du cinéma américain : « Rentrons à la maison. » De l'autre côté de l'écran, on les comprend.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Voilà donc un objet d’une radicalité relevant presque du blockbuster expérimental, mais dont l’expérimentation ne conduirait qu’à une liquidation émotionnelle.
Débauche numérique qui tourne à vide, le dernier Marvel touche au stade terminal du blockbuster désinvesti, ne feignant même plus de croire à son propre gloubi-boulga.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Entre une mise en scène robotique, des designs à vomir et des VFX finis à l'urine de chèvre guatémaltèque, la chose finit vite par ressembler à un fanfilm enamouré de la prélogie de George Lucas.
Avant, le souci du MCU était de proposer des méchants excitants. Aujourd’hui, son problème est qu’il n’a plus de grands héros à mettre en face. Captain America et Iron Man nous manquent cruellement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Quand les studios Marvel flirtent dangereusement avec Star Wars et Avatar, cela donne un vaste gloubi-boulga d’images de synthèse, de bruits et de musique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
Le film remplit son contrat en offrant un divertissement réussi.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le retour des super-héros les plus insectoïdes de l’écurie Marvel se fait dans un film d’aventure familial de bonne facture, dominé par un Jonathan Majors royal en impitoyable maître du temps.
Le Dauphiné Libéré
Certes, ça reste un film familial au ton léger, mais le peu de second degré rend l’aventure plus concernante. D’autant, et c’est le deuxième point, qu’on réussit à être dépaysé.
Ouest France
Rien de révolutionnaire mais toujours efficace.
Franceinfo Culture
Les références répétées à Star Wars et l'arrivée tant attendue du nouveau grand vilain de Marvel ne suffisent pas à insuffler une âme au film, qui manque de dramaturgie et perd l'humour des deux premiers Ant-Man.
IGN France
Bien obligé d'aller toujours de l'avant, le MCU livre des univers, des décors et des royaumes plus délirants que jamais. L'idée de confronter cela à la menace très sérieuse qu'est Kang n'est vraiment pas mauvaise. Mais c'est un choix qui risque à nouveau de diviser et fractionner la communauté Marvel.
L'Ecran Fantastique
Puissant, mélancolique, en conflit avec sa propre démiurgie, Le Conquérant est bien l’antagoniste du MCU que l’on n’attendait plus. [...] Dommage néanmoins que cette première confrontation aboutisse à une issue aussi abrupte, qui donne le sentiment que même si cette rencontre avec le personnage est réussie, elle demeure tout de même à refaire.
Le Figaro
Space opera subatomique, bourré d'effets numériques et de créatures étranges, ce 31e film Marvel remplit son contrat auprès des enfants, mais commence à manquer singulièrement d'originalité, et de cette pointe d'humour à laquelle nous avait habitué Paul Rudd.
Le Journal du Geek
Une ouverture en demi-teinte pour la cinquième phase du Marvel Cinematic Universe mais qui, quand elle laisse de côté ses nombreux objectifs, se révèle être une aventure réjouissante au royaume de l'immensément petit. Reste que Kang s'impose comme un digne successeur de Thanos, en un claquement de doigts.
Le Parisien
Beaucoup moins d’humour donc, même si le film n’en est pas dénué. Mais un déluge d’effets spéciaux quasiment de la première à la dernière seconde, une profusion légèrement étourdissante qui ne laisse aucun répit à la pupille du spectateur.
CNews
Si Jonathan Majors est plutôt convaincant dans le rôle de ce supervilain, Paul Rudd et Evangeline Lilly sont en revanche en retrait et semblent perdus dans cet univers aux effets numériques surfaits et qui piquent parfois les yeux. L’arc narratif manque de cohérence, et la mise en scène maladroite prend le pas sur l’émotion.
Critikat.com
Au sein de la franchise Marvel, Ant-Man et la Guêpe : Quantumania est un nouveau cartoon atone, inconséquent et sans fantaisie.
Ecran Large
Vide subatomatique, laideur faramineuse, fou rire nerveux... Ant-Man et la Guêpe : Quantumania rate presque tout ce qu'il entreprend, et c'est un super-pouvoir en soi.
Filmsactu
Démarrage chaotique pour la phase 5 du MCU avec cet Ant-Man 3 qui ne tient pas ses promesses et qui n'a pas les épaules de ses ambitions.
L'Obs
Un super méchant qui est tout ce que le film n’est pas : complexe, émouvant et sexy.
LCI
Quantumania manque de souffle jusqu’à un dernier acte décevant, que même les deux scènes post-génériques ne viennent pas ranimer.
Les Fiches du Cinéma
Ce troisième Ant-Man a la double tâche de lancer la phase 5 du MCU et d’en faire oublier les récentes déceptions. Défi à moitié relevé : malgré un antagoniste prometteur, “l’Homme-fourmi” perd de son ludisme et la machine continue de s’essouffler.
Sud Ouest
Une jolie direction artistique servie par des effets spéciaux convaincants – il ne faut toutefois pas s’attendre à la perfection du dernier « Avatar » –, laissant le regret que tout cet esprit créatif ne soit pas mieux exploité et n’ose pas, à l’exception d’une apparition remarquée de Bill Murray, sortir des sentiers battus.
Télé 7 Jours
Les effets numériques XXL, servis à profusion (à la limite de l’indigestion), ne compensent pas la faiblesse du scénario. À petit Marvel, grande déception.
Télérama
Difficile, malgré tout, de ne pas éprouver une sensation de déjà-vu : des Avengers, des blagues, des effets spéciaux tonitruants, des univers parallèles... Une énième version « alternative » de la même recette à succès...
Les Echos
Propulsés dans un univers parallèle sans intérêt, Ant-Man et sa famille luttent contre le grand méchant Kang, dont on ne comprend rien des ambitions. Tout au long de leur aventure, les héros martèlent la sempiternelle formule du cinéma américain : « Rentrons à la maison. » De l'autre côté de l'écran, on les comprend.
Les Inrockuptibles
Voilà donc un objet d’une radicalité relevant presque du blockbuster expérimental, mais dont l’expérimentation ne conduirait qu’à une liquidation émotionnelle.
Libération
Débauche numérique qui tourne à vide, le dernier Marvel touche au stade terminal du blockbuster désinvesti, ne feignant même plus de croire à son propre gloubi-boulga.
Mad Movies
Entre une mise en scène robotique, des designs à vomir et des VFX finis à l'urine de chèvre guatémaltèque, la chose finit vite par ressembler à un fanfilm enamouré de la prélogie de George Lucas.
Première
Avant, le souci du MCU était de proposer des méchants excitants. Aujourd’hui, son problème est qu’il n’a plus de grands héros à mettre en face. Captain America et Iron Man nous manquent cruellement.
aVoir-aLire.com
Quand les studios Marvel flirtent dangereusement avec Star Wars et Avatar, cela donne un vaste gloubi-boulga d’images de synthèse, de bruits et de musique.