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    Jeanne
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    colombe P.
    colombe P.

    134 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 septembre 2019
    J'adore les films historiques ou qui se basent sur des faits historiques.
    Mais là c'est tout simplement impossible d'adhérer au style de ce réalisateur.
    Je n'ai pas pu rentrer dans le film et j'ai eu beaucoup de mal à rester jusqu'à la fin.
    La musique, de surcroît, est très mal choisie, inappropriée.
    nadège P.
    nadège P.

    134 abonnés 538 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 septembre 2019
    Le visionnage de ce film fut pour moi très éprouvant tant c'est long et déprimant.
    La mise en scène est lourde et les discussions au secours.
    Perte de temps monumentale.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 septembre 2019
    La bande annonce ne donne pas du tout envie de voir ce film mais comme j'ai adoré "Ma loute" de ce réalisateur, j'ai tenté le coup.
    Et bien je suis sorti de ce film très énervé, très plombé.
    C'est long, c'est difficile à suivre, c'est moche, c'est triste, c'est agaçant etc...
    Dans la salle nous étions 6 personnes et à la fin nous n'étions plus que 2.
    A éviter, à fuir à toutes jambes vraiment.
    dominique P.
    dominique P.

    844 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 septembre 2019
    Quel pensum ! Quelle horreur ce film !
    Je regrette sincèrement de l'avoir vu.
    J'étais avec une amie, on avait prévu l'après-midi pour cela, donc je n'ai pas osé partir mais déjà au bout de 30 minutes, j'en avais marre.
    Et le pompon c'est le chanteur Christophe qui est venu se mettre dedans avec une musique insupportable.
    Les scènes, les dialogues, la musique, les décors, le style, tout cela est très pénible, désagréable, très dur à supporter.
    En plus, pour couronner le tout, le film est très long.
    Une horreur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 septembre 2019
    Face à l'apyre pureté de Jeanne, les hommes et l'Église ne peuvent qu'être ridicules.
    C'est de ce postulat que Bruno Dumont semble avoir déduit son film, hardie transposition de Péguy. Jeanne est ici une jeune fille plongée comme par erreur, provocation ou révélation dans un monde d'hommes veules, cruels. Lise Leplat-Prudhomme incarne une Jeanne extrêmement juvénile, à la fois fragile et déterminée, si petite qu'elle en devient intouchable. La voix, tout aussi fragile car coincée dans un registre suraigu, de Christophe, ajoute à la magie du personnage dont elle est une forme de conscience.
    Autour de ce personnage magnifique, les hommes, d'église ou d'armes, parlent tous plus faux les uns que les autres. Le ridicule et la maladresse de leur interprétation, à rebours de la splendeur et de la complexité des mots de Péguy sur lesquels ils butent, deviennent caractéristiques de l'humanité face à Jeanne. Seul Fabrice Luchini, qui est le verbe de Péguy fait homme, maîtrise sa partition du roi de France, avec une impressionnante justesse... dans la fausseté.
    Diego J
    Diego J

    14 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 mai 2022
    Catastrophique. Il n'y a pas d'autre mot pour décrire ce film.
    Lise Leplat Prudhomme, du haut de ses 12 ans, réalise une très belle prestation qui lui aurait valu des éloges si tout le film n'était pas gâché par une mise en scène lamentable, une réalisation d'une médiocrité qui est au-delà des mots et une pléiade de soi-disant acteurs qui ne savent pas dire trois lignes de texte en y mettant un peu de conviction.

    La réalisation d'abord. Le choix est fait de manière délibéré de ne montrer que les "coulisses" de l'histoire de Jeanne d'Arc, les discussions sur une dune aux alentours de Paris dont on se demande bien où ils l'ont dénichée. Cela rend les acteurs ridicules dans leurs armures lorsqu'ils tentent d'entrer en scène en s'enfonçant dans le sable. L'un d'eux tombe même de cheval et néglige d'attacher sa monture qui du coup part sans lui...
    Pendant des minutes interminables, à la suite d'un échange qui n'a rien de transcendant, on a droit à un plan fixe de Lise Leplat Prudhomme qui regarde le ciel et doit garder la pose avec un stoïcisme qui force l'admiration tandis qu'on balance une chanson qui n'apporte absolument rien.
    Mais ça continue, après les religieux qui se mêlent d'affaires militaires on a droit à Gilles de Rais, l'un des personnages les plus controversés de cette époque, qui est campé par un Julien Manier lamentable avec une voix d'adolescent qui n'a pas encore mué.
    Et ça continue. On pourrait s'attendre à un assaut sur Paris mais au lieu de ça on a droit à un meeting d'équitation par un échantillon de cavaliers au son du tambour dont il serait bon de rappeler au réalisateur qu'il n'a été utilisé dans l'armée qu'à partir de François Ier, 85 ans après Jeanne d'Arc!
    Et on part en province pour un nouvel échange improductif avec force "Madame Jeanne". Mais où le réalisateur a-t-il vu qu'on s'adressait ainsi aux dames à cette époque? On disait "messire..." et "dame..." en commençant la discussion puis on se disait vous sans s'amuser à répéter le nom de son interlocuteur toutes les dix secondes!
    Ah Fabrice Lucchini arrive, on se dit qu'il va peut-être sauver le film. Mais non, il sort 4 répliques et s'en va.
    Jeanne part à cheval toute seule et son cheval revient... sans elle. C'est sûr que mettre en scène une capture par quelques figurants ça aurait coûté trop cher.
    Ah le procès. On se dit que ça va peut-être sauver le film. Mais non. Fabien Fenet avec son parler du midi est insupportable dans ses logorrhées accompagnés de gestes volubiles qui le rendent ridicule.
    La scène des tortionnaires ne sert strictement à rien et de plus elle est anachronique. Une séance de torture en plein air, au milieu du bocage, devant une sorte de bunker, et puis quoi encore! Un interrogatoire sous torture n'était pas public et encore moins en plein air!
    Les acteurs de cette scène ont visiblement du mal à retenir leur texte. Ils le sortent tantôt sur un rythme saccadé tantôt d'une traite sans aucun souci de ponctuation comme s'ils avaient peur de l'oublier.
    Et puis on rentre dans le bunker et comme par magie, on se retrouve dans une cathédrale! Au milieu du bocage, mais bien sûr!
    On nous sérine pendant une minute entière sur l'éloquence de Guillaume Evrard et quand il prend enfin la parole, il ne parle pas, il chante! Ah oui c'est sûr qu'on se mettait à chanter a capella dans un procès en droit canon, en plein interrogatoire en 1429!
    Encore une scène avec des gardes qui ne sert à rien. La prison de Jeanne est ridicule: perdue au milieu du bocage alors qu'elle a été détenue dans le donjon de Philippe Auguste, dans la tour qui porte son nom à Rouen.
    Le dernier mot du procès revient malheureusement à Fabien Fenet qui se ridiculise à nouveau par une nouvelle logorrhée de propos introductifs suivi d'une nouvelle litanie rendue encore plus pénible par sa diction.
    La cerise sur le gâteau c'est le final. La crémation de Jeanne est filmée à au moins 200 m de distance dans un champ de blé au milieu de nulle part! On ne voit strictement rien si ce n'est que le feu refuse de prendre et un peu de fumée.
    Jeanne d'Arc a été brûlée à Rouen en place publique, devant de nombreux témoins et certainement pas dans le champ d'un agriculteur!
    La seule qui tire son épingle du jeu de cet immense gâchis c'est Lise Leplat Prudhomme qui démontre un talent précoce immense dans ses répliques lors du procès et ses postures en tant que Jeanne d'Arc. Il est bien dommage qu'une actrice aussi brillante soit si mal secondée.
    SweetHome75
    SweetHome75

    7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 septembre 2019
    Éblouissant, magique, quel beau film ! J'aime tous les films de Bruno Dumont. Ses films me touchent profondément. Et celui-là ne déroge pas à la règle. L'image est magnifique et la musique l'accompagne merveilleusement bien.
    Eric t
    Eric t

    9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 septembre 2019
    Je l'ai vu ce soir dans une petite salle de ciné culturel. Et c'est une super surprise. Faut voir ce film dans une petite salle qui lui sied mieux. La jeune actrice a des yeux incroyables. C'est du grand théâtre mais c'est un film. Par contre je me demande comment ils ont pu le traduire dans d'autres langues.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 septembre 2019
    Le regard de la jeune actrice, la musique, les chants de Christophe donnent au film une grâce inouïe. Le mythe écrasant de Jeanne dans l'univers si singulier de Dumont : le pari était énorme.Bravo, le film suit un chemin de crête et il ne bascule jamais dans le grotesque. Chaque plan est d'une maîtrise absolue. C'est original, c'est intelligent. Que dire de plus : un chef d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 septembre 2019
    Le jeu d'acteur laisse à désirer, les plans restent assez souvent et trop longtemps les mêmes. Les acteurs sont statiques, des statues et une bande son serait exactement le même résultat pour réaliser ce film... quatre personnes ont quitté après quelques longues minutes qui débute le film, ils ont malheureusement rien raté...
     Kurosawa
    Kurosawa

    591 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 septembre 2019
    "Cela ne vous regarde pas" : ces mots pleins de détermination sont prononcés par la toute jeune et époustouflante Lise Leplat Prudhomme. Elle incarnait une Jeannette enfant et hésitante, dansant sur la musique d'Igorrr; elle tient désormais tête aux hommes d'église qui la questionnent sans relâche : aucun doute, elle est devenue Jeanne, cette guerrière qui veut bouter les anglais hors de France. En adaptant de nouveau Péguy, Bruno Dumont filme cette fois les batailles et le procès en sorcellerie de la Pucelle d'Orléans dans une forme plus théâtrale que celle qui animait "Jeannette". La théâtralité se manifeste ici dans deux voies : dans la première partie, Jeanne est au centre du décor – les dunes du Nord, que Dumont sait si bien filmer – et doit composer avec des hommes d'état qui vont et viennent pour faire part de leur avis sur l'attitude à adopter avec comme question centrale : faut-il livrer bataille à Paris ? Peu importe ce que pensent tous ces hommes, Jeanne ne se fie qu'à Dieu, et les mots qu'Il lui adresse, elle refuse de les révéler. Regard face caméra, comme transportée par un élan mystique, à l'écoute du Seigneur, Jeanne démontre sa force, quand bien même les légers mouvements d'épaule disent bien la difficulté qu'a la petite Lise à tenir en place – la vérité de l'enfance s'invite dans le film et fait naître une émotion croissante. Le choix de Dumont de choisir une enfant n'est pas historiquement juste mais peu importe tant son actrice parvient à incarner le mythe Jeanne d'Arc : face aux juges dans le second mouvement du film, Dumont joue habilement sur les écarts entre sa petite taille et les silhouettes élancées de ses contradicteurs; le spectateur s'émeut que des hommes sans cœur s'apprêtent à envoyer une petite fille au bûcher mais en même temps cette dernière ne lâche rien. Elle parle fort et ne se laisse pas influencer par les paroles répétitives des opposants; bien qu'elle prenne peu de place, sa présence est telle qu'on ne voit plus qu'elle. À coups de champs-contrechamps tranchants, autre forme d'expression théâtrale, Dumont dynamise une opposition qui vaut moins pour la teneur d'arguments redondants que pour un jeu surprenant sur les intonations, disloquées pour certaines, fixe pour l'autre. Ces variations d'inflexions donnent une tonalité comique, du moins décalée, à un ensemble plutôt austère; toutefois, si l'émotion est au rendez-vous, ce n'est pas uniquement grâce à cette manière si belle qu'a Dumont à filmer son actrice mais c'est aussi par la mise en scène de trouvailles poétiques (un ballet équestre comme représentation d'une bataille) et lyriques (les chansons de Christophe sont sublimes). Ainsi, "Jeanne" est la nouvelle création d'un cinéaste qui a révolutionné son art lors de cette décennie; avec ce film, Bruno Dumont fait une sorte de synthèse de son cinéma dans le sens où la rigueur du montage et du cadre compose avec une impureté – ici, le pari de mêler la drôlerie et le pathétique – sans que la cohérence de l'ensemble ne soit jamais menacée. "Jeanne" reste néanmoins un film plus classique que "Jeannette", superbement inventif et dont le propos est d'une grande clarté.
    Sconi
    Sconi

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 septembre 2019
    Un film d'auteur . Une mise en scène originale.De très beaux moments . La présence musicale de Christophe est touchante. A voir.
    Aqua Clara
    Aqua Clara

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 septembre 2019
    Vraiment sidérant et fascinant! Beauté absolue!
    On retrouve JEANNE dans notre propre coeur des enfants!
    Chef-d' oeuvre !!!
    FFabienRR
    FFabienRR

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 septembre 2019
    Mon avis sur ce film est que ce n'en est pas un. Ce film ne présente aucun intérêt du point de vu cinématographique ni du point de vue du public.
    ricoudu641 .
    ricoudu641 .

    13 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 septembre 2019
    Je ne m'attendais pas à ça peut-être parce que je n'ai pas vu "jeannette". Je trouve que les personnages sonnent faux mis à part Jeanne. La voix de Christophe est tellement haute qu'on entend mal les paroles, passages musicaux mal placés...particulier!
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