Ça donne envie d'aller voir la jeune Jeanne d'arc, avec ces critiques déséquilibrées, bonnes critiques à la faveur du ciel des rédacteurs journalistes professionnels, comparés à la baisse du niveau d'essence spectateurs amateurs.
Ou Jeannette comme l'héroïne choisie, Lise Leplat Prudhomme, prédestinée a jouée cette petite fillette de 10 ans, mignonne, drôle, tragique dans l'histoire de France, elle a été condamnée, malgré elle, retenue prisonnière.
Dans ce spectacle folklorique, avec trompette, cornemuse, flûte, luth, harpe, tambourin, éblouissant mise en scène musicale, comme dans les films qui ont influencés ce réalisateur, pendant 2h18 reparti sur une longue course de marche la distance raisonnable.
Super motivé, le temps n'est pas perdu, on apprend le folklore, vu plusieurs fois au cinéma, la première version en noir et blanc muette silencieuse, son procès de Robert Bresson, celui de Luc Besson, chef-d'œuvre sur chef-d'œuvre.
La version canadienne de Christian Duguay, toutes ces variations selon chaque cinéaste, reprend la même chose : l'histoire écrite, le moyen-âge a entendu, assisté à la sentence de la petite Jeannette, les instances féodales duché division eurent tranchées.
Ils ont décidés, l'église et le roi, ses tribunaux, les lois seigneuriales, avec des juges rappeurs 50 cents, drôle sourire au lèvre, d'ordonner le jugement de cette figure nationale innocente jeunesse courageuse injustifiée peine.
Machination, qu'importe quel âge avait-elle, on serait jamais que représenter par cette réalisation captivante, les soldats jouent biens leurs jeux, distinguant le bien du mal, allons ce sont des acteurs, Gilles De Rais.
Il n'y a pas de stars, c'est ça que voulez-vous d'autres ? Dans un décor de paysage neutre, à ciel ouvert se passe cette intrigue déjà scellée sur le sort de l'accusée, emprisonnée, enchaînée, violence relayée sur les conditions de détention, le passé n'est glorieux à voir, des choses sachant-le vers la fin qui clôt magnifiquement, passionnément.