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    Jeanne
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    136 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 janvier 2020
    Pourquoi y a t-il des blockaus au temps de Jeanne d''arc ? En regardant la bande d'annonce , on a vu combien c est nul , mais notre curiosité a pris dessus pour voir le film en entier et dés le debut, on a sauté des parties à cause de la nullité de celui ci , le jeu d'acteurs est très mauvais. Ce fameux "ça craint", et pourquoi pas un ouais ou un relou, chelou etc...franchement ce film a coûté combien ? ....car pendant deux heure à part voir une plage et une cathédrale , on a rien vu d'autres , on prend le risque de s'endormir et de tomber de sa chaise a plusieurs reprises , merci de choisir les prochaines fois des acteurs qui peuvent mieux imiter l'accent anglais , pourquoi le bon dieu transmettait son message à Jeanne d'arc en chantant ? A certain moment elle ne bougeait pas , je pense pas que Jeanne est eu le temps de révasser a l'époque et je ne vous parle pas des costumes , pas de figurants, une armée d une dizaine de cheveaux qui tournaient en rond, la cerise sur le gâteau , on a jamais entendu et vu que Jeanne soit une gamine de 10 ans, ce n est pas de la faute de l'actrice , seul point positif ,on a bien rit :-D
    Diego J
    Diego J

    14 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 mai 2022
    Catastrophique. Il n'y a pas d'autre mot pour décrire ce film.
    Lise Leplat Prudhomme, du haut de ses 12 ans, réalise une très belle prestation qui lui aurait valu des éloges si tout le film n'était pas gâché par une mise en scène lamentable, une réalisation d'une médiocrité qui est au-delà des mots et une pléiade de soi-disant acteurs qui ne savent pas dire trois lignes de texte en y mettant un peu de conviction.

    La réalisation d'abord. Le choix est fait de manière délibéré de ne montrer que les "coulisses" de l'histoire de Jeanne d'Arc, les discussions sur une dune aux alentours de Paris dont on se demande bien où ils l'ont dénichée. Cela rend les acteurs ridicules dans leurs armures lorsqu'ils tentent d'entrer en scène en s'enfonçant dans le sable. L'un d'eux tombe même de cheval et néglige d'attacher sa monture qui du coup part sans lui...
    Pendant des minutes interminables, à la suite d'un échange qui n'a rien de transcendant, on a droit à un plan fixe de Lise Leplat Prudhomme qui regarde le ciel et doit garder la pose avec un stoïcisme qui force l'admiration tandis qu'on balance une chanson qui n'apporte absolument rien.
    Mais ça continue, après les religieux qui se mêlent d'affaires militaires on a droit à Gilles de Rais, l'un des personnages les plus controversés de cette époque, qui est campé par un Julien Manier lamentable avec une voix d'adolescent qui n'a pas encore mué.
    Et ça continue. On pourrait s'attendre à un assaut sur Paris mais au lieu de ça on a droit à un meeting d'équitation par un échantillon de cavaliers au son du tambour dont il serait bon de rappeler au réalisateur qu'il n'a été utilisé dans l'armée qu'à partir de François Ier, 85 ans après Jeanne d'Arc!
    Et on part en province pour un nouvel échange improductif avec force "Madame Jeanne". Mais où le réalisateur a-t-il vu qu'on s'adressait ainsi aux dames à cette époque? On disait "messire..." et "dame..." en commençant la discussion puis on se disait vous sans s'amuser à répéter le nom de son interlocuteur toutes les dix secondes!
    Ah Fabrice Lucchini arrive, on se dit qu'il va peut-être sauver le film. Mais non, il sort 4 répliques et s'en va.
    Jeanne part à cheval toute seule et son cheval revient... sans elle. C'est sûr que mettre en scène une capture par quelques figurants ça aurait coûté trop cher.
    Ah le procès. On se dit que ça va peut-être sauver le film. Mais non. Fabien Fenet avec son parler du midi est insupportable dans ses logorrhées accompagnés de gestes volubiles qui le rendent ridicule.
    La scène des tortionnaires ne sert strictement à rien et de plus elle est anachronique. Une séance de torture en plein air, au milieu du bocage, devant une sorte de bunker, et puis quoi encore! Un interrogatoire sous torture n'était pas public et encore moins en plein air!
    Les acteurs de cette scène ont visiblement du mal à retenir leur texte. Ils le sortent tantôt sur un rythme saccadé tantôt d'une traite sans aucun souci de ponctuation comme s'ils avaient peur de l'oublier.
    Et puis on rentre dans le bunker et comme par magie, on se retrouve dans une cathédrale! Au milieu du bocage, mais bien sûr!
    On nous sérine pendant une minute entière sur l'éloquence de Guillaume Evrard et quand il prend enfin la parole, il ne parle pas, il chante! Ah oui c'est sûr qu'on se mettait à chanter a capella dans un procès en droit canon, en plein interrogatoire en 1429!
    Encore une scène avec des gardes qui ne sert à rien. La prison de Jeanne est ridicule: perdue au milieu du bocage alors qu'elle a été détenue dans le donjon de Philippe Auguste, dans la tour qui porte son nom à Rouen.
    Le dernier mot du procès revient malheureusement à Fabien Fenet qui se ridiculise à nouveau par une nouvelle logorrhée de propos introductifs suivi d'une nouvelle litanie rendue encore plus pénible par sa diction.
    La cerise sur le gâteau c'est le final. La crémation de Jeanne est filmée à au moins 200 m de distance dans un champ de blé au milieu de nulle part! On ne voit strictement rien si ce n'est que le feu refuse de prendre et un peu de fumée.
    Jeanne d'Arc a été brûlée à Rouen en place publique, devant de nombreux témoins et certainement pas dans le champ d'un agriculteur!
    La seule qui tire son épingle du jeu de cet immense gâchis c'est Lise Leplat Prudhomme qui démontre un talent précoce immense dans ses répliques lors du procès et ses postures en tant que Jeanne d'Arc. Il est bien dommage qu'une actrice aussi brillante soit si mal secondée.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 septembre 2019
    jamais vu un film si mal joué.... c est se moquer des gens .... mais j en la ri tellement c était affreux 😂😂😂
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 septembre 2019
    Grosse déception... Film particulièrement ennuyeux !

    On juge souvent la qualité d'un film à l'émotion brute qu'on en éprouve, allant parfois jusqu'à la chair de poule et les transports intérieurs. Certains films passés sur cette grande figure de l'histoire de France qu'est Jeanne d'Arc nous transportent, nous élèvent, nous donneraient presque envie d'y être, de suivre la Pucelle face à l'Anglois !

    Ici rien de tel, hormis des longueurs inutiles et une lassitude qui gagne assez vite le spectateur (plusieurs personnes ont quitté la salle avant même la fin du film, c'est rare et c'est dire...).
    Des personnages qui confinent parfois à la caricature et au grotesque dans leurs expressions ou leur chants...
    Une Jeanne trop jeune - l'actrice est une enfant, non une jeune fille de 18 ans - qui passe une partie de son temps à crier envers ses juges (historiquement douteux, car elle répondait très calmement au contraire) et fait même des caprices ("puisque c'est ainsi, je n'en ferai qu'à ma tête" ou presque dit ainsi), très loin de l'humilité qu'on lui connait.
    Des acteurs qui par ailleurs semblent souvent lire maladroitement leur texte. On se croirait presque dans Kaamelott par moment. Rires dans la salle après certaines répliques hasardeuses... On ne sait pas bien où le réalisateur veut nous emmener.
    Enfin tout cela n'est malheureusement pas rattrapé par la beauté de certains plans (cathédrale, etc.) et le soin de la mise en scène.
    QUEL DOMMAGE !
    Balamsipur
    Balamsipur

    15 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 janvier 2020
    Autant "Ma loute" était réussi, autant se 'Jeanne' est a jeter aux orties !!! Le réalisateur a voulu des acteurs inconnus, mais de là à nous infliger des gens à peine capables de jouer, c'est franchement insupportable et grotesque !
    poet75
    poet75

    276 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 septembre 2019
    « Ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l’as révélé aux tout-petits », dit Jésus en s’adressant au Père dans l’évangile de Luc (10, 21). C’est probablement la citation des évangiles qui convient le mieux au nouveau film de Bruno Dumont, deuxième partie de son diptyque sur Jeanne d’Arc. A sa sortie en septembre 2017, le premier volet, sur l’enfance de la bergère de Domrémy, avait surpris par son dépouillement et ses audaces stylistiques. Les scènes chantées, sur une musique tonitruante d’Igorrr, donnaient au film un côté déjanté qui pouvait rebuter certains. Pour ma part, j’avais été séduit, ne serait-ce que parce que le réalisateur avait puisé son inspiration chez Charles Péguy et avait réussi, nonobstant les ruptures de ton dues à la musique, à donner au film une expression et un contenu faisant songer aux mystères tels qu’on les proposait au Moyen-Âge, par exemple sur le parvis des églises. Il y avait quelque chose de cet ordre-là, qui s’accordait à merveille avec les textes de Péguy.
    Cette analyse reste pertinente pour ce qui concerne le film qui sort aujourd’hui, même si, par la force des choses, celui-ci apparaît un peu moins dépouillé que le premier volet. Comme il s’agit, cette fois-ci, de mettre en scène Jeanne au cours des batailles puis au cours de son procès, il a fallu filmer des hommes en armes, des chevaux caparaçonnés, des hommes d’Eglise avec leurs vêtements de fonction et, dans la deuxième partie, user du décor grandiose d’une cathédrale (Amiens ?), ce qui donne lieu à de superbes prises de vue. Cela étant dit, Bruno Dumont ne s’encombre, pas plus que dans le Jeannette de 2017, de la vraisemblance des décors : les scènes de guerre sont toutes filmées dans le paysage de dunes qui avait déjà servi pour le film précédent et, lorsque Jeanne est filmé dans sa prison, en fait de cellule elle est enfermée derrière la grille d’un bunker ! Si, au premier abord, Jeanne peut sembler moins insolite que Jeannette, ce n’est qu’apparence. Le film qui sort aujourd’hui est tout aussi audacieux que le précédent, et il est encore plus séduisant, ne serait-ce que parce que c’est à Christophe qu’a été confiée la musique de ce deuxième volet et non plus à Igorrr. Or, toutes les parties musicales de Jeanne comptent parmi les grandes réussites du film (et réservent une belle surprise lorsque le visage jusque là caché d’un des juges de la pucelle se relève et montre son identité). On ne peut qu’être subjugué, par exemple, lorsque, alors que doit avoir lieu une bataille, on assiste, en guise de combat, à un étonnant ballet équestre. C’est une des séquences les plus admirables du film.
    C’est donc un mystère qu’a, à nouveau, filmé le réalisateur, mettant sur les lèvres des différents protagonistes les mots de Péguy. Un mystère d’autant plus insondable et d’autant plus fascinant que c’est celui de Jeanne en personne. Jeanne qui a gardé un cœur d’enfant. Ce mystère de l’enfance spirituelle, Bruno Dumont a eu l’idée sublime de le confier à la même toute jeune actrice qui jouait dans Jeannette : Lise Leplat Prudhomme. Une interprète d’une dizaine d’années pour jouer le rôle de Jeanne d’Arc ? Cela n’a rien de saugrenu, non, au contraire, c’est une idée que je trouve éblouissante. Dès la première partie du film, on le ressent très fortement chaque fois qu’apparaît celui qui est l’exact contraire de Jeanne : Gilles de Rais, dont on connaît le funeste destin. Et, bien sûr, dans la deuxième partie du film, plus austère parce que consacrée au procès, ce sont les juges, évêques et théologiens, qui, par contraste avec Jeanne, exposent les visages de ceux qui ont renié, rejeté, foulé au pied, la grâce de l’enfance : les chefs, les censeurs, les arrogants n’éprouvant que dédain pour celle qu’ils ont juré de déclarer hérétique afin de la faire mettre au bûcher. L’un d’eux, lors d’une des dernières scènes du film, semble presque devenu fou. Comme l’écrivait si bien Georges Bernanos dans un texte que j’ai cité récemment dans sa totalité sur mon blog : « Il y a un complot des grandes personnes contre l'enfance, et il suffit de lire l'Evangile pour s'en rendre compte. Le Bon Dieu a dit aux cardinaux, théologiens, essayistes, romanciers, à tous enfin : "Devenez semblables aux enfants." Et les cardinaux, théologiens, historiens, essayistes, romanciers, répètent de siècle en siècle à l'enfance trahie : "Devenez semblable à nous." ». On ne peut mieux résumer, me semble-t-il, le propos du nouvel et admirable film de Bruno Dumont.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 septembre 2019
    Face à l'apyre pureté de Jeanne, les hommes et l'Église ne peuvent qu'être ridicules.
    C'est de ce postulat que Bruno Dumont semble avoir déduit son film, hardie transposition de Péguy. Jeanne est ici une jeune fille plongée comme par erreur, provocation ou révélation dans un monde d'hommes veules, cruels. Lise Leplat-Prudhomme incarne une Jeanne extrêmement juvénile, à la fois fragile et déterminée, si petite qu'elle en devient intouchable. La voix, tout aussi fragile car coincée dans un registre suraigu, de Christophe, ajoute à la magie du personnage dont elle est une forme de conscience.
    Autour de ce personnage magnifique, les hommes, d'église ou d'armes, parlent tous plus faux les uns que les autres. Le ridicule et la maladresse de leur interprétation, à rebours de la splendeur et de la complexité des mots de Péguy sur lesquels ils butent, deviennent caractéristiques de l'humanité face à Jeanne. Seul Fabrice Luchini, qui est le verbe de Péguy fait homme, maîtrise sa partition du roi de France, avec une impressionnante justesse... dans la fausseté.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 septembre 2019
    Honteux. Le niveau de la maternelle. On s'attendait à voir un bon film, à ce prix, mais les scènes sont longues et ennuyeuses, les acteurs jouent mal, il ne se passe rien. Tout se déroule sur une butte dans les dunes, dialogues pesantes, chant horrible pendant qu'on regarde la même image pendant, qoui, 10 minutes ?!
    Quel dommage pour nos sous.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 septembre 2019
    Le jeu d'acteur laisse à désirer, les plans restent assez souvent et trop longtemps les mêmes. Les acteurs sont statiques, des statues et une bande son serait exactement le même résultat pour réaliser ce film... quatre personnes ont quitté après quelques longues minutes qui débute le film, ils ont malheureusement rien raté...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 avril 2020
    Ça donne envie d'aller voir la jeune Jeanne d'arc, avec ces critiques déséquilibrées, bonnes critiques à la faveur du ciel des rédacteurs journalistes professionnels, comparés à la baisse du niveau d'essence spectateurs amateurs.
    Ou Jeannette comme l'héroïne choisie, Lise Leplat Prudhomme, prédestinée a jouée cette petite fillette de 10 ans, mignonne, drôle, tragique dans l'histoire de France, elle a été condamnée, malgré elle, retenue prisonnière.

    Dans ce spectacle folklorique, avec trompette, cornemuse, flûte, luth, harpe, tambourin, éblouissant mise en scène musicale, comme dans les films qui ont influencés ce réalisateur, pendant 2h18 reparti sur une longue course de marche la distance raisonnable.
    Super motivé, le temps n'est pas perdu, on apprend le folklore, vu plusieurs fois au cinéma, la première version en noir et blanc muette silencieuse, son procès de Robert Bresson, celui de Luc Besson, chef-d'œuvre sur chef-d'œuvre.

    La version canadienne de Christian Duguay, toutes ces variations selon chaque cinéaste, reprend la même chose : l'histoire écrite, le moyen-âge a entendu, assisté à la sentence de la petite Jeannette, les instances féodales duché division eurent tranchées.
    Ils ont décidés, l'église et le roi, ses tribunaux, les lois seigneuriales, avec des juges rappeurs 50 cents, drôle sourire au lèvre, d'ordonner le jugement de cette figure nationale innocente jeunesse courageuse injustifiée peine.

    Machination, qu'importe quel âge avait-elle, on serait jamais que représenter par cette réalisation captivante, les soldats jouent biens leurs jeux, distinguant le bien du mal, allons ce sont des acteurs, Gilles De Rais.
    Il n'y a pas de stars, c'est ça que voulez-vous d'autres ? Dans un décor de paysage neutre, à ciel ouvert se passe cette intrigue déjà scellée sur le sort de l'accusée, emprisonnée, enchaînée, violence relayée sur les conditions de détention, le passé n'est glorieux à voir, des choses sachant-le vers la fin qui clôt magnifiquement, passionnément.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 septembre 2019
    Le regard de la jeune actrice, la musique, les chants de Christophe donnent au film une grâce inouïe. Le mythe écrasant de Jeanne dans l'univers si singulier de Dumont : le pari était énorme.Bravo, le film suit un chemin de crête et il ne bascule jamais dans le grotesque. Chaque plan est d'une maîtrise absolue. C'est original, c'est intelligent. Que dire de plus : un chef d'oeuvre.
    FFabienRR
    FFabienRR

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 septembre 2019
    Mon avis sur ce film est que ce n'en est pas un. Ce film ne présente aucun intérêt du point de vu cinématographique ni du point de vue du public.
    Tristan F
    Tristan F

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 octobre 2019
    Excepté quelques beaux plans ou quelques belles scènes (le magnifique ballet des chevaux de la Garde républicaine en métaphore de la bataille de Paris entre Anglais et Français), ce film est nul : mise en scène minimaliste qui fait souvent penser à du (mauvais) théâtre filmé, parti-pris absurdes (une grande partie du film se passe sur les plages de la Manche et Jeanne d'Arc est détenue dans un bunker de la Seconde guerre mondiale...!), comédiens (?) qui sont comiques malgré eux, longueur excessive, etc. etc. Mentionnons malgré tout la jeune comédienne jouant Jeanne qui, dans se fatras, s'en tire très bien.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 septembre 2019
    De grâce n'allez pas voir ce film !
    Son visionnage a été plus que douloureux, et les sois disant "partis pris" du réalisateur semblent refléter un grand manque de talent..
    Que ce soit le jeu des "acteurs" , la musique, l'apparition commerciale de Luchini, le scénario, bref l'entièreté du film est NUL, rien ne va, rien à garder..
    Je vous présente mes excuses pour la violence de mes propos, mais c'est tout simplement le pire film que j'ai vu.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 septembre 2019
    J’ai créé un compte spécialement pour pouvoir laisser un avis sur ce film tant j’ai été déçue. Je suis aller le voir le soir de l’avant-première avec l'équipe. Pour résumer ce film, c’est une CATASTROPHE. La salle était remplie au départ et à la fin nous n’étions plus grand monde. Je n’avais qu’une envie, partir. Étant venue avec une amie je suis quand même resté jusqu’à la fin mais quelle souffrance. spoiler: La bataille illustrée par une chorégraphie avec des chevaux est ridicule
    , le jeu « d’acteur » est nul, les décors ne changent pas, j’avais l’impression de regarder une pièce de théâtre mal jouée et les costumes sont grotesques. Sans parler des plans sur Jeanne qui fixent durant 5 longues minutes avec la musique tout aussi nulle qui en deviennent gênants. À la fin du film (OUF), le réalisateur est venu répondre aux questions. Il a dit ne pas avoir eu d’argent pour réaliser ce film, et bien cela s’est vu!
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