Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Plus que jamais le cinéma de Dumont s’affirme comme cette langue étrangère inouïe à l’intérieur du cinéma français.
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
Le film tout entier est habité par une tension entre un regard de puissance - celui de Jeanne - et la présence insistance d'une musique intérieure. Cette béance, entre le dit qui se diffracte en lignes mélodiques et roulements de tambours composés par Christophe et le visage, contient la grâce même du personnage, sa foi têtue, son humanité.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
Vibrant et poignant, "Jeanne" est le film le plus bouleversant de Bruno Dumont.
Sud Ouest
par Sophie Avon
C’est aussi singulier que puissant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
20 Minutes
par Caroline Vié
Le public pousse un soupir de surprise charmée au moment de l’apparition de Christophe, un moment de grâce visuelle et musicale dans la cathédrale d’Amiens.
Bande à part
par Benoit Basirico
Après une Jeannette dansante et insouciante, ce second volet paraît plus austère et plus théâtral, mais il s’avère plus sensible et majestueux.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Touché par la grâce, le film s’accorde à la voix nocturne cristalline, sophistiquée, soufflée et énigmatique, de Christophe. Son chant est un miracle, ainsi soit Jeanne.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Elle
par La Rédaction
Chaque plan du réalisateur est d'une époustouflante beauté.
Franceinfo Culture
par Lorenzo Ciavarini Azzi
L'opiniâtreté à toute épreuve de "Jeanne" se lit dans son regard perçant, merveilleusement saisi par le cinéaste. Epoustouflante Lise Leplat Prudhomme.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Sophie Joubert
Depuis la Vie de Jésus, la frontalité du cinéma de Bruno Dumont divise, qu’il filme le duo de flics empotés de la série P’tit Quinquin ou la revanche des pauvres bouffant littéralement les riches dans Ma loute. Cette Jeanne rebelle et inflexible, qui refuse jusqu’au bout de se soumettre à la loi des hommes et de l’Église, n’échappera pas à la règle. Tant mieux.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Les idées fusent, comme ce ballet équestre qui devient une chorégraphie. Pourtant mille fois vus et entendus, ces procès trouvent ici un nouvel écho, à la fois historique et mystique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Et puis il y a Jeanne et sa toute jeune interprète Lise Leplat Prudhomme, 12 ans, déjà à l’affiche de Jeanette. (...) Elle y est étonnante d’assurance et de maturité. Et son regard sombre, filmé en gros plan, nous restera longtemps en mémoire.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Bruno Dumont, lui aussi fidèle à lui-même et à sa petite interprète, offre sa vision de Jeanne d’Arc dans des images naïves et naturelles, où la transcendance se sent dans son incarnation terrestre et où quelque chose court dans la banalité même des êtres et des choses : la grâce.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Avec toujours beaucoup de liberté, Bruno Dumont poursuit son adaptation de Charles Péguy. Sous une gangue rugueuse, son film s’apparente à un joyau très pur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Tout ici fait signe vers un ailleurs qui le transcende, le film lui-même semble s’être fait enluminure.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marion Philippe
Deux ans après Jeannette, Bruno Dumont adapte de nouveau le drame de Péguy dans un film déroutant et touchant, porté par la jeune Lise Leplat-Prudhomme. Un formalisme poétique en adéquation parfaite avec le mysticisme de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Guillaume Tion
Malgré une certaine torpeur, Jeanne réussit à nous faire percevoir le personnage le plus commenté et documenté de l’histoire française d’une manière inédite, et qui trouve des échos tout aussi inédits dans notre monde contemporain saturé de super-héroïsme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Michel Oriot
Dans le rôle-titre, on découvre un extraordinaire petit bout de femme de dix ans à peine, qui sublime la geste de la Pucelle par sa pureté, sa foi et sa grâce.
Positif
par Eithne O'Neill
Si le dispositif orthodoxe de légendes à l'écran date les événements du 8 mai 1429 à sa mort le 30 mai 1431, "Jeanne" en est la transposition libre et incantatoire.
Première
par Thomas Baurez
Les juges en habits de gala pérorent, complotent, s’interrogent. Il y en a un, dont on ne voit pas les traits cachés sous une capuche, mais dont la voix fluette et gracile trahit l’identité : c’est Christophe, le chanteur ici acteur, dont on entend à plusieurs reprises des chansons originales d’une puissance folle. Sublime !
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Serge Kaganski
"Jeanne" est un film d'une beauté qui a plus à voir avec Goya qu'avec l'omniprésente esthétique publicitaire de notre époque.
Télé Loisirs
par La rédaction
Porté par une bouleversante comédienne de dix ans et les mélodies de Christophe, le texte y résonne avec une poésie inédite.
Télérama
par Samuel Douhaire
Après un premier volet déroutant sur la bergère de Domrémy, la suite étonne et détonne. Avec de grandes scènes burlesques et les chansons de Christophe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Une expérience toujours aussi barrée et radicale.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un nouvel opus envoûtant et drôle de l’héroïne mystique Jeanne d’Arc, porté par la bande-son gigantesque du must des interprètes français, le magnifique Christophe.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Les mélodies de Christophe (sublimes) introduisent des instants de grâce avant que l’émotion ne se dissipe, perdue dans les méandres d’une transcendance qui renâcle parfois à livrer ses clés. Bruno Dumont produit un cinéma qui élève et qui malmène.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un objet singulier.
Le Parisien
par La Rédaction
Sur le socle d'une pièce de Charles Péguy, le cinéma de Bruno Dumont fréquente une autre planète de récit. Il travaille directement sur l'os, ne cherche aucun relief à ses dialogues. La jeune Lise Leplat Prudhomme, qui incarne Jeanne, y accomplit en tout cas une étonnante performance.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
Après Jeannette, Dumont continue son récit de la vie de Jeanne d'Arc, avec une suite plus austère, mais toujours intense.
Critikat.com
par Thomas Grignon
Ce schématisme est d’autant plus regrettable que Dumont se montre toujours capable, au détour d’une scène, de faire du champ-contrechamp un espace d’expérimentation fondé sur un art des contrastes inattendus.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
Plus que jamais le cinéma de Dumont s’affirme comme cette langue étrangère inouïe à l’intérieur du cinéma français.
Culturopoing.com
Le film tout entier est habité par une tension entre un regard de puissance - celui de Jeanne - et la présence insistance d'une musique intérieure. Cette béance, entre le dit qui se diffracte en lignes mélodiques et roulements de tambours composés par Christophe et le visage, contient la grâce même du personnage, sa foi têtue, son humanité.
La Septième Obsession
Vibrant et poignant, "Jeanne" est le film le plus bouleversant de Bruno Dumont.
Sud Ouest
C’est aussi singulier que puissant.
20 Minutes
Le public pousse un soupir de surprise charmée au moment de l’apparition de Christophe, un moment de grâce visuelle et musicale dans la cathédrale d’Amiens.
Bande à part
Après une Jeannette dansante et insouciante, ce second volet paraît plus austère et plus théâtral, mais il s’avère plus sensible et majestueux.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Touché par la grâce, le film s’accorde à la voix nocturne cristalline, sophistiquée, soufflée et énigmatique, de Christophe. Son chant est un miracle, ainsi soit Jeanne.
Elle
Chaque plan du réalisateur est d'une époustouflante beauté.
Franceinfo Culture
L'opiniâtreté à toute épreuve de "Jeanne" se lit dans son regard perçant, merveilleusement saisi par le cinéaste. Epoustouflante Lise Leplat Prudhomme.
L'Humanité
Depuis la Vie de Jésus, la frontalité du cinéma de Bruno Dumont divise, qu’il filme le duo de flics empotés de la série P’tit Quinquin ou la revanche des pauvres bouffant littéralement les riches dans Ma loute. Cette Jeanne rebelle et inflexible, qui refuse jusqu’au bout de se soumettre à la loi des hommes et de l’Église, n’échappera pas à la règle. Tant mieux.
L'Obs
Les idées fusent, comme ce ballet équestre qui devient une chorégraphie. Pourtant mille fois vus et entendus, ces procès trouvent ici un nouvel écho, à la fois historique et mystique.
La Croix
Et puis il y a Jeanne et sa toute jeune interprète Lise Leplat Prudhomme, 12 ans, déjà à l’affiche de Jeanette. (...) Elle y est étonnante d’assurance et de maturité. Et son regard sombre, filmé en gros plan, nous restera longtemps en mémoire.
Le Dauphiné Libéré
Bruno Dumont, lui aussi fidèle à lui-même et à sa petite interprète, offre sa vision de Jeanne d’Arc dans des images naïves et naturelles, où la transcendance se sent dans son incarnation terrestre et où quelque chose court dans la banalité même des êtres et des choses : la grâce.
Le Figaro
Avec toujours beaucoup de liberté, Bruno Dumont poursuit son adaptation de Charles Péguy. Sous une gangue rugueuse, son film s’apparente à un joyau très pur.
Le Monde
Tout ici fait signe vers un ailleurs qui le transcende, le film lui-même semble s’être fait enluminure.
Les Fiches du Cinéma
Deux ans après Jeannette, Bruno Dumont adapte de nouveau le drame de Péguy dans un film déroutant et touchant, porté par la jeune Lise Leplat-Prudhomme. Un formalisme poétique en adéquation parfaite avec le mysticisme de son héroïne.
Libération
Malgré une certaine torpeur, Jeanne réussit à nous faire percevoir le personnage le plus commenté et documenté de l’histoire française d’une manière inédite, et qui trouve des échos tout aussi inédits dans notre monde contemporain saturé de super-héroïsme.
Ouest France
Dans le rôle-titre, on découvre un extraordinaire petit bout de femme de dix ans à peine, qui sublime la geste de la Pucelle par sa pureté, sa foi et sa grâce.
Positif
Si le dispositif orthodoxe de légendes à l'écran date les événements du 8 mai 1429 à sa mort le 30 mai 1431, "Jeanne" en est la transposition libre et incantatoire.
Première
Les juges en habits de gala pérorent, complotent, s’interrogent. Il y en a un, dont on ne voit pas les traits cachés sous une capuche, mais dont la voix fluette et gracile trahit l’identité : c’est Christophe, le chanteur ici acteur, dont on entend à plusieurs reprises des chansons originales d’une puissance folle. Sublime !
Transfuge
"Jeanne" est un film d'une beauté qui a plus à voir avec Goya qu'avec l'omniprésente esthétique publicitaire de notre époque.
Télé Loisirs
Porté par une bouleversante comédienne de dix ans et les mélodies de Christophe, le texte y résonne avec une poésie inédite.
Télérama
Après un premier volet déroutant sur la bergère de Domrémy, la suite étonne et détonne. Avec de grandes scènes burlesques et les chansons de Christophe.
Voici
Une expérience toujours aussi barrée et radicale.
aVoir-aLire.com
Un nouvel opus envoûtant et drôle de l’héroïne mystique Jeanne d’Arc, porté par la bande-son gigantesque du must des interprètes français, le magnifique Christophe.
La Voix du Nord
Les mélodies de Christophe (sublimes) introduisent des instants de grâce avant que l’émotion ne se dissipe, perdue dans les méandres d’une transcendance qui renâcle parfois à livrer ses clés. Bruno Dumont produit un cinéma qui élève et qui malmène.
Le Journal du Dimanche
Un objet singulier.
Le Parisien
Sur le socle d'une pièce de Charles Péguy, le cinéma de Bruno Dumont fréquente une autre planète de récit. Il travaille directement sur l'os, ne cherche aucun relief à ses dialogues. La jeune Lise Leplat Prudhomme, qui incarne Jeanne, y accomplit en tout cas une étonnante performance.
Les Inrockuptibles
Après Jeannette, Dumont continue son récit de la vie de Jeanne d'Arc, avec une suite plus austère, mais toujours intense.
Critikat.com
Ce schématisme est d’autant plus regrettable que Dumont se montre toujours capable, au détour d’une scène, de faire du champ-contrechamp un espace d’expérimentation fondé sur un art des contrastes inattendus.