Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Objectivons
309 abonnés
2 935 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 6 janvier 2020
Dans un futur proche, des contraintes environnementales ont provoqué des pénuries alimentaires dans le monde entier. La technologie offre une voie de secours puisque des drones agricoles veillent sur la santé des cultures et augmentent le rendement de la terre. Claudia et son mentor, John, sont tout deux prestataires de santé : ils aident les malades à mettre fin à leurs jours en paix. Mais lorsque John meurt dans d'étranges circonstances, Claudia tente de comprendre ce qui s'est passé et découvre de terribles faits. Il y avait une idée intéressante spoiler: avec les drones tueurs pour le compte d'une multinationale mais elle n'est finalement pas développée plus que le nécessaire pour justifier l'action. Longueurs, quelques scènes modérément bien jouées - y compris les dernières de l'actrice principale, Cleopatra Coleman, la plus blanche des actrices noires - font qu'on en ressort un peu déçu. Ce n'est pas mauvais mais c'est tout juste passable et on regrette finalement le traitement de cette histoire.
"Hover" se déroule dans un univers dystopique dans lequel la sécheresse a presque détruit l'agriculture et donc causé de gros problèmes en ce qui concerne la nourriture. Pour remédier à cela, la société Vastgrow a inventé des drones pour aider les agriculteurs avec des moyens de subsistance. Dans ces temps difficiles, une autre société a vu le jour, elle s'appelle "Transitions" et elle aide les gens qui souffrent à partir en paix, de l'euthanasie légale en gros. L'histoire est centrée sur Claudia, une employée de cette entreprise qui au contact des familles d'agriculteur va découvrir de terribles choses. Si le fond de l'histoire avec spoiler: ce gros complot n'est pas original, il y a pas mal de bonnes idées dans ce film notamment par rapport au milieu dans lequel se déroule l'histoire. Malgré tout, le scénario de Cleopatra Coleman qui tient également le premier rôle manque de consistance... On le remarque à de nombreuses reprises notamment à la fin alors que cela devenait intéressant et que l'histoire était enfin creusée, on se retrouve avec un final digne d'un film Syfy (film distribué par Syfy d'ailleurs) avec spoiler: des combats contre les drones . Au final, alors que ce "Hover" pouvait être un bon drame dystopique, on se retrouve face à un film de SF passable.
L'idées est pas mal mais le scénario n'est pas tip top au final. Ca manque de construction, de rebondissement, d'histoire concrète, de musique, de décors.
Une critique pas si dystopique que ca, à mettre en parallèle avec Mossanto/Bayer. Si la critique est une bonne initiative, et sa transposition dans un univers science-fictionnels une bonne idée, sa réalisation n'est malheureusement pas à la hauteur. La BO est trop présente est pas franchement réussie, et Matt Osterman ne fait pas mieux que d'habitude. Moyen 2.4/5
Ce petit film S.F. fait un peu série B mais il a quelques qualités par les acteurs et le déroulé. Il se passe dans un futur proche qui est loin d'être invraisemblable avec sa technologie qui devient envahissante avec les drones.
Ecris avec les pieds et les oreilles et toutes parties du corps ne servant pas normalement à écrire , ce semblant de film SF est un navet avec des personnages aussi idiots et bêtes que deux paires de bottes différentes ,en plus il font les chaud alors que le seul outil utile (telecommande) ils ne s'en servent pas et prefere mourir ,j'ai perdu 1h30 de ma vie si seulement je pouvais porter plainte pour les récuperer je ne connaît pas le/la réalisateur mais franchement ce film est aussi utile qu'une bouteille de coca vide comme dirait mohamed henni NUL GERMAIN NUUUUUUUUUUUUL
Deux étoiles pour une BOF magnifique que seuls les fans d'electro apprécieront. Le film en lui même est moyen-moins. Ca se mate décalqué mais pas clair...
Grande fan de Black Mirror, le scenario se rapprochait de la trame de la série, à savoir les dérives du "progrès" et de l'hyper-connectivité... Dommage que ce film ne soit pas plus abouti, je reste sur ma faim!