Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
CNews
par La rédaction
[...] ce drame familial est d’une grande poésie malgré la pauvreté, les cris et le chaos qui l’habite.
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette œuvre forte et récompensée à Deauville séduit par l’originalité de son traitement.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Beau, fin et simple, "We the Animals" est comme un poème, doux et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Un premier film fort et solaire, tour à tour fantaisiste et brutal, qui pose un regard moins commun et consensuel sur l'enfance. C'est la révélation d'un réalisateur à suivre : Jeremiah Zagar.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Vincent Ostria
Assez typiquement tourné en pellicule 16 mm, qui est un peu (re)devenue l’emblème arty du cinéma américain, We the Animals n’exprime rien de renversant, mais magnifie le réel avec grâce en exprimant la subjectivité d’un enfant sur un mode à la fois idyllique (façon Mark Twain) et anarchique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Un Malick qui aurait troqué les incantations divines pour un réalisme magique à la sud-américaine.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Séverine Danflous
"We The Animals" est un film sensoriel, très peu dialogué, entièrement travaillé par des trouées de lumière et le mouvement constant des croquis animés d’un petit garçon.
Le Parisien
par La Rédaction
« We the animals » est un film indépendant brut, charnel, qui plonge dans l’imaginaire d’un enfant ballotté par une existence chaotique. Et qui nous laisse hypnotisés par son regard bleu et profond.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Florian Fessenmeyer
Un premier long qui plaira aux adeptes du cinéma indépendant pour sa sensibilité brute et poétique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Vincent Thabourey
Jouant sur les sensatons sonores et visuelles, le film s'envisage comme une plongée intime et onirique dans l'enfance qui fait penser aux "Bêtes du sud sauvage".
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Onirique et délicat.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Par sa grâce, la première fiction du documentariste Jeremy Zagar se distingue du toutvenant de la production indépendante américaine.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Sans vraiment inventer quoi que ce soit, "We the Animals" reste un récit d’apprentissage à fleur de peau, un portrait délicat dont la belle réussite est de parvenir à englober dans un même geste l’expérience de l’intime et de l’universel, du sensible et de l’abstrait.
Première
par Thierry Chèze
Mais à l’écran, le parfait usage du 16 mm, le jeu entre ombres et lumières pour faire de cet environnement aussi crasseux que nébuleux un personnage à part entière éloigne le film de la chronique misérabiliste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Emilie Gavoille
L’expérimentation est aussi formelle : ce premier long métrage de fiction, fidèlement adapté de Vie animale, roman semi-autobiographique signé Justin Torres, alterne une esthétique documentaire (avec des acteurs non professionnels, pour certains) et des séquences animées oniriques. Le résultat est singulier.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Camille Nevers
Cette fausse délicatesse appuyée, cette violence familiale assourdie et vite éludée, se teintent des couleurs chatoyantes et amorphes d’une joliesse ennuyée, vide, mais arty.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Antoine du Jeu
We the Animals est le produit d’une mixture sans saveur de tous les ingrédients qui font recette dans le cinéma indépendant américain.
CNews
[...] ce drame familial est d’une grande poésie malgré la pauvreté, les cris et le chaos qui l’habite.
20 Minutes
Cette œuvre forte et récompensée à Deauville séduit par l’originalité de son traitement.
Bande à part
Beau, fin et simple, "We the Animals" est comme un poème, doux et bouleversant.
Ecran Large
Un premier film fort et solaire, tour à tour fantaisiste et brutal, qui pose un regard moins commun et consensuel sur l'enfance. C'est la révélation d'un réalisateur à suivre : Jeremiah Zagar.
L'Humanité
Assez typiquement tourné en pellicule 16 mm, qui est un peu (re)devenue l’emblème arty du cinéma américain, We the Animals n’exprime rien de renversant, mais magnifie le réel avec grâce en exprimant la subjectivité d’un enfant sur un mode à la fois idyllique (façon Mark Twain) et anarchique.
L'Obs
Un Malick qui aurait troqué les incantations divines pour un réalisme magique à la sud-américaine.
La Septième Obsession
"We The Animals" est un film sensoriel, très peu dialogué, entièrement travaillé par des trouées de lumière et le mouvement constant des croquis animés d’un petit garçon.
Le Parisien
« We the animals » est un film indépendant brut, charnel, qui plonge dans l’imaginaire d’un enfant ballotté par une existence chaotique. Et qui nous laisse hypnotisés par son regard bleu et profond.
Les Fiches du Cinéma
Un premier long qui plaira aux adeptes du cinéma indépendant pour sa sensibilité brute et poétique.
Positif
Jouant sur les sensatons sonores et visuelles, le film s'envisage comme une plongée intime et onirique dans l'enfance qui fait penser aux "Bêtes du sud sauvage".
Le Journal du Dimanche
Onirique et délicat.
Le Monde
Par sa grâce, la première fiction du documentariste Jeremy Zagar se distingue du toutvenant de la production indépendante américaine.
Les Inrockuptibles
Sans vraiment inventer quoi que ce soit, "We the Animals" reste un récit d’apprentissage à fleur de peau, un portrait délicat dont la belle réussite est de parvenir à englober dans un même geste l’expérience de l’intime et de l’universel, du sensible et de l’abstrait.
Première
Mais à l’écran, le parfait usage du 16 mm, le jeu entre ombres et lumières pour faire de cet environnement aussi crasseux que nébuleux un personnage à part entière éloigne le film de la chronique misérabiliste.
Télérama
L’expérimentation est aussi formelle : ce premier long métrage de fiction, fidèlement adapté de Vie animale, roman semi-autobiographique signé Justin Torres, alterne une esthétique documentaire (avec des acteurs non professionnels, pour certains) et des séquences animées oniriques. Le résultat est singulier.
Libération
Cette fausse délicatesse appuyée, cette violence familiale assourdie et vite éludée, se teintent des couleurs chatoyantes et amorphes d’une joliesse ennuyée, vide, mais arty.
Cahiers du Cinéma
We the Animals est le produit d’une mixture sans saveur de tous les ingrédients qui font recette dans le cinéma indépendant américain.