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L'AlsacienParisien
639 abonnés
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3,5
Publiée le 17 septembre 2018
"Searching - Portée disparue" a pour particularité première de concentrer toute son action via des écrans d'ordinateurs, sauvegarde moderne de notre vie quotidienne. Présenté cette année au Festival de Sundance, il a même été récompensé par deux prix dont celui décerné par le public. "Unfriended", sur un ton plus macabre, avait déjà tenté l'expérience en 2014 mais là, Aneesh Chaganty, dont c'est le premier long-métrage, monte un puzzle technologique innovant et malin. Cette forme surprenante, qui préserve notre ignorance jusqu'au bout, prend le dessus sur une intrigue qui aurait pu être très vite prévisible sous un point de vue plus classique. C'est vrai que l'histoire d'une adolescente qui disparait sans laisser de traces derrière elle n'a rien de nouveau. Mais la méthode de procédure de l'enquête s'avère originale ; n'ayant aucune preuves à disposition, le père de famille décide de faire ses propres recherches via l'ordinateur de sa fille, là où personne n'a encore regardé... Entre secrets et mensonges, l'identité de l'adolescente n'est pas forcément celle qu'on imaginait. Rangé dans le genre thriller, "Searching" adopte un style de narration atypique et enivrant car jamais on ne quitte ces écrans aux travers desquels tout se déroule. Les preuves et les indices s'enchainent, tout comme les fausses pistes. Notre imaginaire se laisse emporter par des multiples raisons ayant entrainé la fugue de l'ado en question, mais les plus évidentes s'avèrent bien entendu vaines. Les webcams permettent d'avoir un regard sur l'utilisateur de l'ordinateur et le bruit des touches qu'on presse vient bercer notre ouïe, nous faisant perdre de vue la révélation finale qui s'avère évidente mais extrêmement bien dissimulée sous cette couche de fenêtres, de vidéos et d'appels WhatsApp en tout genre. J'ai fortement apprécié les différentes sortes d'écran mis en scène : du vieux Windows d'il y a 10 ans au Mac en passant par une interface de webcams. Néanmoins, le fait que tous les souvenirs de son enfance et de sa jeunesse soient parfaitement répertorié dans ses appareils, ça peut parfois faire perdre en crédibilité. C'est par moment trop gros pour qu'on y croit vraiment, notamment dans les détails de l'enquête. En effet, jamais un proche n'enquêterait seul sur une pièce à conviction aussi précieuse qu'un ordinateur appartenant à la disparue... La police s'en chargerait directement. Mais hormis ces quelques gros traits, le montage de "Searching" s'avère très convaincant et hypnotisant. La scène d'ouverture retraçant toute la jeunesse de la famille (à l'image de "Là-haut" chez Pixar) ainsi que le dénouement marqué par un beau retournement de situation sont les temps forts de cette fiction par écrans interférés. Le déroulement de l'enquête, bien qu'original dans sa forme, s'étend sur des fausses pistes et créé donc des longueurs. Côté acteur, on regrette un manque d'émotions auprès de John Cho, dont la performance se contente du strict minimum (ou peut-être est-ce le doublage qui manque de nuances ?). Debra Messing, davantage connue pour des rôles comiques, s'attèle à un rôle complexe et subtil. Elle étonne, avec émotion, dans ce rôle d'inspectrice. En général, la forme a peut-être tendance à confiner et étouffer les protagonistes dans un jeu de "surface" mais l'équilibre avec les plates-formes technologiques se fait efficacement. Mais comment ce film, si empreint de nouvelles technologies, vieillira-t-il ? Dans 10, 20 ans, son suspense et son final resteront-ils intacts ? Ou bien contemplera-t-on "Searching" comme une archive, une curiosité technologique témoin d'une génération ? Seul le temps nous le dira mais j'ai comme l'impression qu'il va prendre de sacrés rides...
Un super thriller ! Au goût à du jour, film qui se base sur les technologies les plus utilisés aujourd'hui par tout le monde et qui montre les dangers des réseaux sociaux... Idée qui n'est plus si innovente avec "unfriend" par exemple mais histoire bien menée ! 4,5/5
Ennuyant !!! Vu depuis téléphone et ordinateur tout le long. Les scènes sont longues, le scénario prévisible. Le concept n'est pas nouveau , aucune originalité
Après la vague des long-métrage filmés caméra à l’épaule (appelée communément « found-footage » et sa branche dérivée du genre où on faisait croire au spectateur plus ou moins crédule que ce qu’il voyait à l’écran avait été filmé par des vidéastes amateurs), voici une nouvelle mode : celle des films constitués essentiellement d’interfaces et d’écrans divers (smartphone, caméras de surveillance, écrans d’ordinateur, …). On a eu « Unfriended » qui se servait de cela pour nous terroriser avec, il faut l’avouer, un certain brio et voici venu « Searching, portée disparue » qui revêt les atours du thriller basée sur une disparition. Pourquoi pas ? Mais une chose est sure, c’est qu’à la vitesse où va le progrès, ces films s’apparentent à des produits de consommation cinématographique immédiate. Ils seront, en effet, certainement très vite dépassés, périmés même, ou relégués au rang d’antiquités ou de curiosités dans le paysage d’un septième art qui n’a pas connu autant de bouleversements qu’aujourd’hui. Ensuite, si l’intention est louable ou en vaut une autre, ce film est beaucoup moins réussi que son collègue dans l’horreur, la faute à un scénario un peu tiré par les cheveux, notamment sur la fin, et des longueurs.
Fait louable pour une série B de ce genre, le réalisateur et son scénariste tentent durant un bon quart d’heure de rendre attachants les personnages, de manière à ce que ce qui leur arrive impacte davantage notre sensibilité. Le problème, c’est que le processus formel mis en place ici est par la force des choses peu chaleureux (une succession de chats, d’images vidéo ou encore de conversations SMS). Difficile dans ces conditions d’avoir une quelconque empathie pour les personnages. Ce qui ne veut pas dire non plus qu’ils soient agaçants. Le début nous semble donc bien long et lorsque la disparition survient et que la recherche d’indices commence, « Searching, portée disparue » devient un peu plus intéressant. Mais plutôt que d’être direct et d’éviter toute circonvolution inutile, le long-métrage prend parfois un peu trop son temps et nous ennuie sporadiquement. Avec vingt minutes de moins, il aurait été doublement efficace. Et parfois, avec le nombre d’écrans et d’informations mises à notre disposition sur l’écran, c’est un peu nébuleux pour nos yeux et pour notre esprit. Contrairement à l’expérimental « Timecode » vieux de vingt ans (avec son écran divisé en quatre avec quatre histoires [spoiler]différentes), le cinéaste n’arrive pas toujours à guider notre regard où il doit l’être. Enfin, le retournement de situation final nous apparaît quelque peu grossier et invraisemblable, bien que surprenant. Il ajoute une couche artificielle à un script qui n’en avait pas forcément besoin. En somme, ce second essai dans le genre est moyennement réussi et surtout moyennement captivant.
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A partir d'un concept intéressant bien que pas totalement neuf, Aneesh Chaganty propose un thriller plutôt convaincant et bien mené. Comme je l'ai dis, l'idée de représenter l'action par écrans interposés n'est pas inédite mais se trouve être bien exploitée ici. Même si le concept affiche de réelles limites sur 1h40 de long-métrage, il apporte un sentiment de dynamisme et d'immersion qui plonge le spectateur au plus près de l'action. L'intrigue est assez solide bien que peu inventive, les retournements étant prévisibles, le twist final décevant et le propos sur notre rapport à la technologie convenu. Malgré ce criant manque de subtilité, l'histoire est suffisamment bien rythmée pour nous maintenir dans le film sans que l'on ressente le temps passé. Les acteurs ne sont certes pas géniaux mais leurs prestations respectives m'ont paru globalement correctes et sans réelles fausses notes. Sans être la claque ou la grande surprise que l'on pouvait espérer, "Searching" est un divertissement assez efficace et prenant qui fait le job sans être un mémorable moment de cinéma.
En quelques minutes introductives, Searching brasse une vie entière par le truchement d’un ordinateur. Cette astuce permet au récit de créer une filiation immédiate avec son spectateur, qui retrouve dès lors tous ces outils technologiques envahissants sous un jour nouveau. Et peut se laisser glisser dans une angoisse familière : la disparition d’un proche.
super enquête d'un pére qui recherche sa fille qui ne répoind plus au téléphone ni sur son ordi du jour au lendemain. Façon de filmé assez innovente et un e avancée dans l'histoire bien mené. super film de bon acteurs surtout le pére et la flic.
C'est bien fait, avec un scénario qui tient en haleine pendant tout le film, malgré un dispositif particulier qui aurait pu rapidement tourner à vide. Petit bémol spoiler: sur la fin qui est un peu exagérée , mais ça fait du bien de voir un petit film américain léger et percutant !
Plus forcément tellement avant-gardiste, le procédé d'un long-métrage filmé entièrement à travers un écran d'ordinateur a jusqu'alors été la plupart du temps utilisé dans le cadre de l'épouvante par l'intermédiaire de certaines dérives, celles des réseaux sociaux notamment, points d'appui à des intrigues quittant le champ du réalisme pour privilégier des situations extraordinaires capables de susciter l'effroi chez le spectateur. Si, dans le fond, "Searching - Portée disparue" est bien sûr avant tout un thriller avec les ficelles bien connues que cela induit, il représente néanmoins une vraie bouffée d'air frais dans la mise en oeuvre de cette approche purement informatique (avec tout de même quelques incartades comme des caméras de surveillance) en traitant avec la gravité nécessaire la réalité de la disparition d'une adolescente et l'émotion qu'elle engendre...
Cet ancrage dans le réel se confirme dès les premières minutes avec cette vie de famille frappée par la tragédie de la maladie et résumée subtilement en quelques captures d'écrans, de vidéos et de clics sur tous ces moments d'existence où la sauvegarde technologique sert à compléter la mémoire humaine. Puis, après quelques échanges anodins pour nous présenter le quotidien entre ce père et sa fille, vient subitement le silence de cette dernière. Aneesh Chaganty capte alors avec un certain talent ces instants de flottement qui séparent la légèreté des premières absences de réponse jusqu'à la prise de conscience d'une situation bien plus terrible. C'est le début de la descente aux enfers pour ce père (magistralement campé par un John Cho dont le visage semble se décomposer au fur et à mesure de son enquête), à la fois pris dans le tourbillon de la pire crise qu'un parent puisse traverser et effondré de découvrir qu'il ne connaissait pas autant sa fille qu'il le croyait. C'est d'ailleurs là que "Searching - Portée disparue" joue sa carte la plus forte : dès que le père ouvre l'ordinateur de sa fille, il nage en terrain inconnu et, même lorsqu'il pense enfin détenir un semblant de vérité sur elle en parvenant à accédant à ses comptes sur les réseaux sociaux, c'est pour découvrir qu'ils ne sont qu'une surface de plus, comme pour mieux dissimuler la profondeur de la tristesse insoupçonnée qui habite son enfant. Le point culminant en sera sans doute cette superbe scène où il se regarde en boucle lui-même entrer dans la chambre de sa fille, incapable de n'échanger avec elle autre chose que des banalités auxquelles elle répond avec un sourire qui s'efface sitôt son père parti. Derrière tous ces sites consultés les uns après les autres à l'écran, ce sont en fait les murs construits par une adolescente autour de ses sentiments durant des années qui s'abattent soudain et qui, il en est persuadé, lui donneront la clé pour la retrouver.
Traversée par cette donne émotionnelle, l'enquête au coeur de "Searching - Portée Disparue" atteint donc une dimension inédite pour un film dont la forme épouse celle d'un écran d'ordinateur a priori sans âme. Riche en révélations et en fausses pistes, elle est aussi renforcée par la force du lien d'identification se créant peu à peu entre le père et la policière (Debra Messing) chargée de retrouver sa fille et surtout, dès lors que les médias braquent leurs projecteurs avides sur le fait divers, par les réactions annexes du public. En effet, placé dans le regard de ce père déjà brisé par le doute sur le sort de sa fille, on assiste, scié, au déferlement des réseaux sociaux autour de l'affaire dans ce qu'ils peuvent avoir de pire (les commentaires haineux purement gratuits, les pseudo-enquêteurs virtuels qui mettent en cause ce père sans preuves, des "amis" de la disparue sortis de nulle part pour apparaître devant les cameras, etc). On aura rarement aussi bien retranscrit visuellement cette curieuse sensation d'un homme se retrouvant dépossédé par la vindicte populaire du drame qu'il est pourtant lui-même en train de vivre, "Searching - Portée disparue" tape ainsi encore très fort de ce côté en utilisant le regard finalement assez neutre que lui confère son format pour laisser le soin au spectacteur d'aiguiser sa propre vision critique.
Point probablement le plus faible du long-métrage de Aneesh Chaganty, le dernier acte brise le réalisme dans lequel le film baignait pour nous ramener à la fiction et à ses astuces scénaristiques. On ne peut pas dire que le twist final déçoit -malgré quelques invraisemblances, il est même plutôt bien construit sur sa globalité en s'appuyant sur des détails disséminés ici ou là- mais l'énormité de la révélation est telle qu'elle nous sort clairement de ce sentiment de véracité constamment développé en amont par "Searching", amenant presque quelques regrets chez le spectateur de le voir s'envoler si facilement à cause de ficelles de thriller un peu plus grossières face à l'intelligence du reste.
Ce dernier point empêche peut-être "Searching - Portée disparue" d'atteindre le stade d'un film incontournable mais il reste un thriller très habile et hautement recommandable en parvenant à utiliser sa forme si particulière pour traduire la détresse d'un père face à la tragédie. À voir. Clairement.
Coté réalisation, ce film est tout bonnement fabuleux. L'ensemble des images du films proviennent de zooms sur des écrans ouverts de pages de différentes natures sur différents écrans d'ordinateur ou de smartphone, il y a notamment du contenu textuel entièrement traduit en français (SMS, mail, etc...), mais aussi des vidéos (regardées depuis internet ou même les dossiers), l'écran des caméras filmant de nombreuses conversations vidéos, le tout rythmé de façon plus ou moins réaliste (un coup l'ordinateur est utilisé normalement puis l'instant d'après ça semble être une grand mère n'ayant jamais touché un clavier qui semble se retrouver devant) mais toujours de façon à ce que le spectateur puisse suivre (exemple de la souris qui est manipulée plus ou moins vite pour laisser le temps d'interpréter ce qui se passe devant l'écran,etc...); et là... quelle efficacité! Chaque éléments imbriqués, que ce soit sur la fenêtre principale ou les fenêtres périphériques, mais encore les messages tapés puis mis en surbrillance et effacés, visent à donner l'ensemble des informations utiles à la compréhension, et, malgré le format inhabituel et très osé, le spectateur n'est jamais perdu et s'y retrouve avec une efficacité même époustouflante. Aux écrans se superposent dans les moments forts du film des mélodies extrinsèques collant parfaitement au rendu émotionnels recherchés, et là encore le spectateur est impliqué émotionnellement dans ce qui se passe, car dans ce panorama d'informations à déchiffrées que nous exposent ce père affolé à la recherche de sa fille comme lui, tout comme lui on vit ses cotés mystérieux, la tension, le sentiment d'angoisse constant, les mauvaises surprises, et les retournements de situation en tout genre. Malgré la difficulté que représente un tel format coté anachronismes et faux raccords, j'ai noté (sans y avoir mis l’œil) peu d'erreurs évidentes. Ce film aura été une belle claque et pour cela je le recommande vivement à tout ceux qui avaient été attirés par sa bande annoncé. Vraiment bien.
Un film au scenario retort et a la mise en scène originale et maligne mais qui malheureusement pêche par des aspects un peu trop téléphonés et surtout un manque d'empathie pour ses personnages du a la réalisation assez froide.
Le scénario de base est relativement simple (on suit la recherche d'un père dont la fille est portée disparue... depuis des écrans d'ordinateurs, de téléphones et de télévision.) Une façon de faire peu utilisé mais pas inédit. Mais ici, la réalisation se veut intelligente et étrangement originale^^. Sur l'ensemble du film, on arrive à être surpris, captivé ou encore amuser. Et pourtant le système utilisé aurait pu être vite ennuyeux, mais le réalisateur nous sort plusieurs idées pour retenir un peu plus notre attention. Comme par exemple la musique de fond inquiétante qui accompagne les logos d'avant-film. Pour s'arreter soudain et afficher un simple écran… Créant une entrée en matière aussi original que surprenant, même s'il s'agit d'un mince effet. Et je ne vous citerez pas d'autre "effet" relativement basique mais qui aurait parfois presque un effet comique.Et puis, il y a toute la partie "enquête au sein de l'ordinateur" pour collecter les indices : on passe par la fouille de dossiers, la récupération de mots de passe, le fouinage sur les réseaux sociaux... ce qui fait un peu froid dans le dos et contribue à créer un climat inconfortable, dans le sens positif du terme. Un autre critique a reproché au film de trop prendre le spectateur pour un "enfant" si je puis dire.. . Divers façons ou système sont utlisé pour fixer l'attention du public sur divers endroits (nous mettant comme à la place du père cherchant des indices…) Le jeu des acteurs est honnête mais ne cherche pas spécialement à donner leur tripes., Pour l'enquête, il est vrai qu'il y a parfois quelques invraisemblances, mais je crois qu'il faut, comme devant tout film, accepter le contrat et suspendre son incrédulité le temps du récit. J'ai honnêtement été très captivé par l'histoire et ses rebondissements, et le twist final est relativement bon mais le réalisateur joue "indirectement" avec le spectateur (vous verrez par vous même). Pourquoi pas, un format rarement utilisé donc même si l'on peut dire qu'il n'est pas inédit ; il reste "changeant" et nous surprends par divers façons et de cette façon ; se démarque. Et l'enquête partant de la trame qui nous tient en haleine sur l'ensemble du film (on mets aisément de coté les quelques longueurs, vite rattrapé par le récit).
Searching - Portée disparue, réalisé par Aneesh Chaganty, avec John Cho, Debra Messing, Michelle La... Vu en avant-première au festival du film américain de Deauville, le film raconte d'un point de vue très original la résolution d'une enquête de disparition. Très original du fait que le spectateur se place du point de vue d'un écran d'ordinateur. Une nouveauté dans le cinéma. Le scénario mène le spectateur comme les personnages à de nombreux rebondissements et amène le spectateur lui-même à enquêter. De plus, le film tombe à point nommé puisqu'il reflète l'ombre d'internet et ses dangers. Un film fort. A voir absolument ! 16/20.
A la manière d' « Unfriended », le grand écran représentera un écran d'ordinateur que nous verrons du début à la fin. Un père essaie donc de retrouver sa fille disparue, pas le biais des réseaux sociaux, des messageries et autres applications internet. Les deux tiers du film tiennent suffisamment en haleine, nous menant sur plusieurs pistes (certaines prévisibles, d'autres non). La fin du film est pour ma part un peu décevante quand on apprend le twist final. Il y avait de bonnes idées de scénario mais certaines tombent un peu trop dans les clichés américains. Un bon divertissement malgré tout.
Excellent film. Le montage est original et s'adapte parfaitement au développementde l'histoire. John Cho assume pleinement son rôle principal et nous fait vivre l'intrigue presque aussi intensément qu'elle l'est pour le personnage lui même