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shindu77
95 abonnés
1 611 critiques
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2,5
Publiée le 1 septembre 2018
Moyennement convaincue par le film. Certes, il y a de l’action des effets spéciaux intéressant même si certains défauts font plus Malauzieux qu’autre chose. Malheureusement, le scénario et la mise en scène ont tendance à s’éparpiller par moment ce qui rend le film assez inégal.
J'ai beaucoup aimé la trame du scénario qui est solide. Mais également l'aspect poétique de ce fil chinois, à la beatué des images et des effets spéciaux. De quoi en prendre plein la vue pendant deux heures sans se lasser. Une esthétique vraiment parfaite y compris avec les gros plans sur les personnages.Un réel beau spectacle enchanteur.
Heureusement que je l'ai vu en 4DX car ce film est trop long. 2,5 pour les monstres, (dragons et autres) et la 3D très réussie. Je n'ai pas vu les 2 premiers mais il parait que ce troisième chapitre est le moins bien à ce qu'il se dit dans mon entourage. Sans plus.
Ce troisième volet consacré au enquêtes de Détective Dee est une impressionnante fresque où le réalisateur hong-kongais Tsui Hark signe le meilleur épisode de la trilogie. Les effets-spéciaux sont bluffants sur le plan visuel mais le cinéaste pousse encore plus loin le curseur dans la démesure avec «La Légende des Rois Célestes» où il insère avec panache et spectacle tout le bestiaire fantastique chinois autour d'une intrigue historique et mythologique pour un mélange détonant d'aventure, de romance et de baston comme le cinéma occidental n'ose plus en produire. Il y aura peut être une suite, nous verrons. En tout cas, cette troisième danse est un grand huit spectaculaire où combats singuliers et complots politiques sont toujours au cœur des aventures de l’enquêteur Dee, menés avec efficacité par la solide énergie de la distribution.
Toujours dans l'humour et le second degré assumé, cette suite n'échappe pas à la règle et permet de nous faire passer un sacré moment. L'aspect visuel est quand même bien réussi en matière de direction artistique, mais la réalisation des scènes d'action est d'autant mieux fichue ! Mention spéciale aux effets spéciaux qui ont nettement évolué par rapport aux deux précédents.
Dernier volet de la trilogie de Tsui Hark dans la même lignée que les deux précédents chapitres. On y retrouve le Détective Dee et ses acolytes aux prises avec des sorciers. Rien de nouveau par rapport au précédent... SAUF... les effets visuels ne sont plus ceux de Bollywood mais cette fois ci digne des films Hollywoodiens. Ce long métrage reprend clairement les codes des mangas japonnais avec des soldats lambda sans pouvoir face à des guerriers plus puissants et possédant des dons particuliers. Voilà, cette trilogie se termine comme elle a commencé sans jamais se trahir dans ce qu'elle voulait présenter.
La série des « Détective Dee », dont c’est ici le troisième volet, a toujours eu un goût spécial. Comme si le chef Tsui Hark laissait mijoter chaque épisode sur un lit d’épices parfumés. On le sent y mettre son cœur, sa passion et toute sa générosité de réalisateur. Plus d’actions et moins d’enquêtes que dans le premier opus – Il faut signaler que le deuxième et ce troisième volet sont des préquels du premier film, mettant en scène un Dee plus jeune - néanmoins le grand cerveau du brillant détective sera mis à rude épreuve dans ce déferlement de faux-semblants et de manipulations. Mais aussi plus d'effet spéciaux peut être même trop pour ce troisième opus . Pour ce troisième volet l’on délaisse l’enquête fantaisiste pour aller vers une intrigue plus linéaire et basique. Certes on y retrouve la patte de Tsui Hark et un léger grain de folie, mais le souffle inventif et épique des précédents semblent ici s’épuiser mais les personnages sont toujours aussi bien travaillés.
Les nouvelles aventures du détective de la Chine médiévale, la dynastie Tang est rayonnante par sa culture, la richesse diversifiée d’une grande civilisation, une histoire qui mélange réelle et mythologie. De la romance et du folklore féerique, les animaux fantastiques personnifiés, un spectacle plaisant dans ce chef-d’œuvre, de beaux costumes, un peu d’histoire hiérarchique impériale.
B.O 77 090 Je pensais pas qu'il mettrais ce film au Pathé et j'ai été agréablement surpris de voir que si, bon 3 séances par jour mais moi cela me suffit puisque vu!^^ Nouvelle enquête pour Dectective Dee qui empêcher la chute de l'empire. Complot, magie,aventure et action sont au programme en apparemment en 3D c'était l'idéal pour voir cela. Bon alors déjà la 3D je pense que vraiment mon oeil n'est pas adepte de ce système car encore une fois ben hormis le générique du début et 1-2 scène le reste me laisse de marbre...sinon l'histoire avec les complots et pièges pas mal, sa bouge, les combats sont toujours aussi bien fait mais un peu déçu des moments en image de synthèse. Je m’attendais a plus de ce genre de combat surtout en lisant le titre (les rois célestes!!!) et l'affiche...meuh non grrrr. En tous moment sympa quand même à voir. NOTE: 6.75/10
Si le cinéma était de la gastronomie, le cinéaste chinois nous offre l’entrée, le plat, le dessert, le café et le digestif. Détective Dee : la légende des rois célestes c’est du grand spectacle qui ne s’arrête jamais pour souffler. À l’image de ses prédécesseurs, le long-métrage nous offre des combats virevoltants, des effets spéciaux aussi ambitieux que kitsch et un Tsui Hark qui joue avec tout ce qui croise son regard en terme de mise en scène. Même rassasié on se surprend à en redemander encore.
Suite directe de "La Légende du Dragon des Mers" ce troisième "Detective Dee" semble chercher l'équilibre entre l'aspect film d'aventure du volet précédent, et l'ambition politique du "Mystère de la flamme fantôme".
Tsui Hark livre un divertissement foisonnant, gagne en sobriété dans son utilisation de la 3D, et propose un axe formel riche : l'illusion. La mise en scène joue sur l'ambiguïté prestidigitation/fantastique mais la traite toujours avec un premier degré, et une virtuosité, qui lui permet d'être spectaculaire.
De la même manière, lorsque le cinéaste révèle la supercherie, il n'en déprécie jamais l'enjeu ou l'urgence, comme en témoigne le montage alterné sur l'affrontement fratricide en fin de film. Cet horizon permet aussi à Hark d'expérimenter lors d'instants surprenants (la séquence hallucinatoire de Shatuo Zhong en tête).
Cependant, cette "Légende des Rois Célestes" souffre d'un deuxième acte peu passionnant, la faute à une accumulation de péripéties anecdotiques, de constructions de personnages et de dialogues lourds, de certaines intentions de mise en scène regrettables (zoom dans l'image, ralentis parfois hideux) mais aussi de choix de narration indigestes (analepses explicatives qui cassent le rythme, sous-intrigues inintéressantes).
Malgré tout, la proposition de Tsui Hark est réjouissante, son rapport à l'image est complexe et ludique, et offre une poignée de moments où se succèdent lyrique et spectaculaire. L'ambition démesurée du cinéaste est intacte, autant dans sa vision des scènes d'action, que dans la manière avec laquelle il réunie le politique et la fantasmagorie.
Pour son troisième volet Tsui Hark envoûte de nouveau. Detective Dee 3 nous offre de belles images couplées à une bande sonore plus que satisfaisante, et cela, depuis le tout premier volet. Cela nous permet de plonger dans cette Chine d'antan remplie d'illusions, de faux-semblant et de manipulations. Les nombreuses ellipses et inférences logiques à faire soulignent la qualité du travail de Hark et suscitent l'intérêt du spectateur qui cherche à donner du sens et comprendre. En effet, celui-ci se retrouve immerger dans un univers où réalité et illusion cohabitent en permanence. A l'instar d'un détective, nous évoluons ainsi au sein d'une trépidante aventure avec des protagonistes attachants, qui rassemblent petit à petit les pièces d'un immense puzzle afin de rétablir le réel, la vérité, dans un monde déchiré par les conflits et les superstitions. Celles-ci sont matérialisées avec finesse de par les beaux effets-spéciaux qui sont utilisés avec justesse. Hark parvient donc sans mal à marier le côté historique et le côté surréaliste qui finit toujours par être élucidé de par les liens logiques à faire.