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    Synonymes
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    Dominique H
    Dominique H

    4 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 avril 2019
    On aime ou on déteste ..en tout cas impossible d'être indifférent.
    Un film de mots,de rêves, d'histoires, d'ambiguïtés ..et de folies ..
    j'ai aime
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 avril 2019
    "Synonymes", l'exercice du fascisme pour (pseudo) dénoncer l'anti-fascisme.
    Je comprends très bien pourquoi ce film a gagné à la Berlinale. Par sa violence, parce que son protagoniste n'ouvre pas les portes avec les mains mais qu'il les enfonce, parce que quand on ne sait pas quoi dire, on dit "bite", parce que quand on ne sait pas quoi faire avec un personnage féminin, on lui met une jupe en un phallus (quitte à ce qu'il chante dans la bouche), parce qu'on y dénonce la laïcité à la française -ah mais tous les réalisateurs s'y mettent dans ces années 2019- parce qu'on y mitraille Notre Dame- "mais c'est pour vous sauver", parce qu'on a envie de cogner, etc.
    La violence sans but, le personnage errant, les confusions nationalistes, l'attaque de l'athéïmse, les uniformes, on sent l'air du temps...
    Juliette S
    Juliette S

    12 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 avril 2019
    Vraiment pas d’intérêt. On ne sait pas où veut en venir le réalisateur. Des scènes sans sens avec des acteurs pas toujours bons. Un peu d’hystérie de temps en temps, des scènes qui ne servent à rien. Je n’aime pas non plus la réalisation avec caméra à l’épaule ça donne le tournis parfois
    Parfois j’ai ri tellement c’est barré comme film mais pas dans le bon sens du terme
    Bref j’ai pas aimé
    clement22
    clement22

    3 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 avril 2019
    Quand un cinéaste israélien bouscule le cinéma français. Nadav Lapid livre un film que j'ai trouvé très inventif, parfois transgressif... et souvent bouleversant dans ce qu'il révèle, par petites touches. à voir!
    Yves G.
    Yves G.

    1 454 abonnés 3 481 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 avril 2019
    À la fin de son service militaire, Yoav (Tom Mercier, révélation du film) a quitté Israël pour s'installer en France. Il y fait la connaissance d'un jeune couple, Émile (Quentin Dolmaire découvert chez Desplechin) et Caroline (Louise Chevillotte, remarquée chez Garrel), qui prend le jeune homme sous sa coupe. Yoav tire le diable par la queue dans un minuscule studio situé près de la place de la république. Il pose pour des photos X, trouve un emploi au consulat général d'Israël, tente de fuir son père venu le ramener en Israël.

    "Synonymes" est inspiré de la vie de Nadav Lapid, enfant terrible du cinéma israélien, qui, en rupture de ban avec son pays, est venu vivre en France au début des années 2000. "Synonymes" est un film sur l'exil, sur la haine de soi, sur le désir d'ailleurs. C'est un film profondément français, au point parfois de reproduire les tocs d'un certain auteurisme germanopratin, tourné par un étranger à Paris. C'est une œuvre d'une incroyable énergie, qui divisera les spectateurs : on l'adorera ou on le détestera.

    J'appartiens hélas à la seconde catégorie. Si, bien sûr, j'ai été impressionné par la puissance du jeu de Tom Mercier que la caméra ne quitte pas d'une semelle de tout le film, j'ai trouvé assez vaine la surenchère de saynètes, pas toujours crédibles censées résumer son exil parisien. On le voit successivement manquer mourir de froid dans un immense appartement de la rue Saint-Dominique après le vol de son sac à dos (sic), ouvrir grand les portes du consulat d'Israël au nom d'une idéologie sans-frontiériste, mimer un orgasme en hébreu (re-sic) pour satisfaire les fantasmes d'un photographe lubrique. C'est beaucoup. C'est trop. Et au bout d'un moment, tandis que le scénario fait du sur place, on décroche sans attendre la scène suivante, qu'on imagine déjà plus audacieuse, plus scabreuse - ce sera un compatriote de Yoav qui remonte une rame de métro, kippa vissée sur la tête en fredonnant la Hatkiva devant des voyageurs tétanisés (dénonciation de l'antisémitisme ambiant ? critique du sionisme ?).

    Le plus gênant peut-être est qu'à aucun moment Yoav ne nous touche. Il nous impressionne. Il nous dérange. Mais il ne nous touche jamais. Ce manque d'empathie nous interdit définitivement de partager sa douleur et d'en comprendre les motifs.
    ericboulais
    ericboulais

    1 abonné 9 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 avril 2019
    mal filmé, mal joué, je ne comprend pas l’intérêt d'un film ce personnage complétement malade, un thérapie peut être, mais ça aurait été bien sans nous
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    66 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 avril 2019
    Synonymes de Nadav Lapid ne cesse de marcher sur un fil où la construction identitaire côtoie avec véhémence la renaissance et la perdition. Un homme s’enfuit d’Israël pour la France et se retrouve sans rien, nu comme un ver dans un luxueux mais vide appartement de Paris. Alors qu’on vient de lui voler toutes ses affaires, un jeune couple (Émile et Caroline) va lui venir en aide et va l’accompagner dans sa quête.

    Sébastien Guilhermet
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 11 avril 2019
    A part 1 ou 2 scènes réussies, et un certain magnétisme du comédien principal (dont on découvre, dès la première scène, les talents), c'est super ennuyeux et répétitif, froid et incompréhensible. Le moment le plus gênant est la scène du métro, d'une violence hallucinante, lorsqu'un ami du monolithique immigré israélien, joue un jeu de domination sur un vieil arabe... Comment interpréter cette scène ? Mystère. Le personnage principale en est complice mais, comme pendant 2h, il n'a aucune réaction. Je ne le conseille pas.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 avril 2019
    Le corps de Tom Mercier nu est déjà très beau, mais j'ai été obnubilé par son manteau que je cherche désespérément. Si quelqu'un sait de quel marque il est et où je peux le trouver il est le bienvenu !
    Stéphane C
    Stéphane C

    58 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 avril 2019
    "L'institutrice" était très beau, "Synonymes" est en revanche bavard, prétentieux, ennuyeux, interminable... Je ne parle pas de la forme : les multiples séquences filmées caméra à l'épaule (qui donnent la gerbe), les horribles plans hyper rapprochés et mal cadrés... Bref, un véritable calvaire et un Ours d'or à Berlin totalement inexplicable !
     Kurosawa
    Kurosawa

    581 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 avril 2019
    Il serait périlleux d'affirmer que "Synoymes" est un film radical – il faudrait alors nommer la radicalité en question et la norme à laquelle elle se confronte –, mais moins de dire qu'il est difficile. La difficulté que constitue le troisième long-métrage de Nadav Lapid vient de la singularité d'une mise en scène très physique, à laquelle le spectateur ne parvient jamais à s'habituer, et à un propos difficilement saisissable du fait de l'hétérogénéité d'une écriture virant même parfois à l'abstraction. La difficulté à regarder "Synonymes" met donc le spectateur dans une position nettement inconfortable et l'on est poussé à moins s'interroger sur ce qui est dit et raconté que ce sur que le film provoque en nous; ainsi, le caractère physique de ce cinéma se joue des deux côtés de l'écran : les mouvements perpétuels des acteurs dans les rues de Paris venant se cogner contre la caméra ou ceux, rapides, de la caméra dans des directions incongrues nous interpellent, nous secouent. Il serait pourtant réducteur de parler du film comme d'un objet qui s'amuse uniquement de son étrangeté alors que sa mise en scène reste très cohérente (caméra fixe lors des scènes dialoguées, très mouvante en extérieur), dont le rapport avec son personnage principal peut même être qualifié de tautologique : de même que la caméra ne semble jamais tenir en place ou reste bloquée dans un angle du cadre qu'elle a construit, Yoav (Tom Mercier, révélation puissante) ne se fixe jamais, il ne réussit pas à se satisfaire de sa vie parisienne – à raison d'ailleurs. Vivant dans un appartement étriqué où il mange le même repas chaque jour et secouru par deux jeunes bourgeois qui le délaissent quand ils finissent de se jouer de lui, Yoav est un électron libre qui cherche une identité; mais comme toute personne qui cherche, il expérimente : il couche avec Caroline alors qu'il paraît plus proche d'Emile, se prostitue lors de séances vidéos pornos (la scène avec Christophe Paou va très loin dans la drôlerie à la fois malaisante et burlesque), travaille dans une ambassade avant de se saborder (il laisse tout le monde rentrer sans demander d'autorisation, dans une volonté d'abolir les frontières) et refuse de parler hébreu. Entre l'ouverture du film qui voit Yoav courir nu tel un animal dans un grand appartement et une conclusion qui le pousse littéralement vers la sortie, le jeune homme n'a donc pas obtenu de réponse quant à sa recherche d'identité française : énergie de chaleur percutant la froideur parisienne, Yoav s'est cherché tout comme la mise en scène a expérimenté; il a parlé fort de la même manière que la réalisation n'aura cessé de nous agresser – il faut voir l'incroyable scène de danse sur "Pump up the jam" où le corps de Yoav se dilue par des mouvements de caméra qui épousent le style techno ou encore l'hypnotique champ-contrechamp sur Caroline qui s'emploie à allumer et à éteindre très rapidement la lumière. Parfois agaçant, souvent sidérant, "Synonymes" est une expérience de cinéma salutaire dans la mesure où elle laisse un espace de réflexion aussi important pendant qu'après sa projection, une liberté devenue bien rare de nos jours et que nous offre Nadav Lapid avec intelligence et ambition.
    Anne D
    Anne D

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 avril 2019
    Le cinéma israëlien pose des questions sur l' identité qui me parlent. Je n'ai jamais été déçue par l'approche artistique des réalisateurs. Que ce soit pour évoquer les transmissions issues de la 2ème guerre mondiale ou pour aborder des problématiques plus actuelles.
    Mais, ici, j'ai été submergée par l'ennui !
    La belle esthétique des acteurs est le principal moteur du film mais c'est insuffisant.
    A mes yeux, c'est un raté !
    AZZZO
    AZZZO

    301 abonnés 808 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 avril 2019
    Ce film peut aisément désarçonner le spectateur, tel un tableau de Jasper Johns avec un grand bordel sans cohérence apparente, des couleurs qui crient et la Joconde au milieu. Mais après de longues minutes de questionnement voire d'inquiétude, l'oeuvre finit par nous prendre. On suit la route sinueuse empruntée par Yoav, jeune-homme en transit qui porte des vêtements provisoires et baisse la tête pour ne pas avoir à regarder les rues de son nouveau pays. Ce film parle en fait des millions d'hommes et de femmes qui quittent leur pays et abandonnent une identité au profit d'une autre. Le sujet est d'autant plus intéressant que le héros est Israëlien et qu'il se demande de surcroît si l'on peut être Israëlien sans accepter le passé, les armes et sans vouloir être Juif. Est-ce renoncer à sa famille et trahir sa communauté ? La France sert de miroir au jeune-homme qui cherche son identité. La mise-en-scène (façon "Nouvelle vague 2.0") permet à Nadav Lapid de surprendre continuellement le spectateur. C'est un film rare, atypique, qui fascine ou qui agace, mais qui ne laisse pas indifférent.
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 avril 2019
    Un film qui intente une critique sur l'Etat d'Israël est toujours périlleux. Le réalisateur choisit à la façon d'un Montesquieu de ne pas s'attaquer de front au régime israélien en se servant du voyage de son héros à Paris pour mieux dénoncer les travers du pouvoir. L'idée est bonne et on ne peut pas accuser Nadav Lapid d'antisémitisme ou d’antisionisme. Pour autant, il y a quelque chose de dérangeant qui transpire de ce long, très long-métrage, dont on ne parvient pas à saisir s'il s'agit de l'ennui, de la facilité du pamphlet, ou plus simplement d'un scénario qui desservirait sa cause première.

    Le problème central demeure l'écriture du film. Certes, on ne peut pas contester l'originalité du propos. Mais les dialogues s'enlisent dans beaucoup de mièvreries et de complexités langagières. L'ennui traverse le film de bout en bout, et le spectateur perd le fil de ce récit de traverse où le héros principal s'égare lui-même, entre sensualité, ironie et agressivité. En réalité, on a du mal à comprendre les objectifs du cinéaste. La réalisation ne parvient pas à figer un style qui hésite entre une poésie grossière, une emphase langagière et la critique sociale.

    Enfin, ce parcours migratoire où le jeune-homme ne semble souffrir d'aucune contrainte, fait presque figure de violence quand on sait l'égarement des migrants dans notre pays, face à la pénurie des logements d'urgence, et l'épouvante des guichets préfectoraux.
    lea r.
    lea r.

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 avril 2019
    Film mal écrit, mal joué, mal réalisé... bref j'ai passé un moment très désagréable. Un manque de profondeur qui agace. Il faudra m'expliquer l'ours d'or...
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