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    Synonymes
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    70 critiques spectateurs

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    ned123
    ned123

    162 abonnés 1 704 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 mars 2020
    J'ai vu un film... qui m'a mis vraiment mal à l'aise dès les 1ères images. Ensuite la portée du message, avec un ancien soldat israélien qui veut quitter son pays pour s'installer en France afin de fuir un pays "horrible" (soi-dit en passant c'est le gouvernement israélien qui finance ce film... étonnant). C'est un film troublant, avec une sacrée dose de cynisme. Les dialogues m'ont parfois horripilés, les situations peu crédibles et extrêmes, idem... Le film dérange au plus haut point... J'ai failli arrêter à plusieurs reprises, et j'ai poursuivi... Mais ce fut très pénible. C'est un film prétentieux et peu satisfaisant...
    gliaouaga
    gliaouaga

    2 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 février 2020
    Film sans intérêt.
    Surjoué, mal enchaîné.
    L'acteur est vraiment sans saveur mais peu être mal dirigé.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 23 janvier 2020
    prétentieux. mal joué. ennuyeux à mourir. difficile de trouver 100 caracteres pour rédiger un commentaire tellement ce film est creux.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    710 abonnés 3 086 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 janvier 2020
    De forme différente mais de sens voisin voire similaire, Synonymes décline pendant près de deux heures les variations sur l’égarement d’un individu israélien projeté dans un Paris qu’il cherche à faire sien par le biais de la marge, du trottoir sur lequel passent les passants, s’activent les acteurs d’une vie urbaine menée dans l’illusion de la liberté de circuler, d’aller et venir ; c’est la même chose dans les soirées branchées, les corps se trémoussent, la caméra descend au niveau des fessiers qui s’alignent et se heurtent en accord avec le rythme de la chanson. Le film se centre tout entier sur la recherche d’une harmonie, la quête frénétique d’une tessiture qui, seule, permettra à l’étranger de trouver sa voix dans ce grand orchestre qu’est la société occidentale française, et dont l’émanation par excellence est bien entendu Paris. Ce que Nadav Lapid met en scène, c’est une quête identitaire qui débouche, naturellement, sur une incertitude du corps massif dans un décor trop grand, trop beau, trop historique pour lui, et qu’il tente d’intégrer par la narration d’histoires qui sont autant de fables poétiques sur la situation politique de son pays d’origine. Le héros du long-métrage se comporte ainsi tel un personnage des contes de Voltaire : ingénu fraîchement débarqué, il surprend ses hôtes par une surprenante adéquation entre sa nature vigoureuse et sa culture raffinée, si raffinée que personne ne paraît le comprendre. Dès lors, son récit d’apprentissage s’apparente à une désillusion vertigineuse : Yoav – le jeune poète de L’Institutrice – prend conscience que l’art pour lequel il était prêt à donner son corps n’est que prostitution pornographique et répétition de la lutte idéologique à l’origine de sa fuite ; il recouvre la fuite, reprend ses récits, interrompt le partage qui n’était, en fin de compte, que divertissement bourgeois, qu’une fantaisie où les jeunes « vont à l’usine », boîte qu’ils ont créée ou héritée de papa et qui les dispense de travailler. Synonymes brosse le portrait d’un apatride incapable de plonger ses racines dans un sol pavé, et qui entend dans les paroles de la Marseillaise des échos directs à la guerre, à sa guerre natale, au sang ennemi censé abreuver les sillons nationaux, échos pourtant hypocritement étouffés sous les grands principes républicains. Le Français doit apprendre à se rendre compte de la chance qu’il a de vivre en France, et libre. Les mots qu’il débite, les phrases qu’il psalmodie, tout cela participe d’une poétique de la haine et de la révolte dont l’expression elle-même atteste la liberté de parole, une liberté malheureusement synonyme de malédiction artistique et qui débouche sur la solitude et l’exclusion : on lui a ouvert la porte, on la lui ferme au nez. Et frapper dessus ne suffit pas. La porte reste fermée. Rien n’y fait. Une porte entre deux mondes, comme l’écran se scindait en deux près d’une bouche de métro, isolant à gauche les deux garçons, et à droite le vide. Monter sur une table, courir nu dans la cage d’escalier, se vêtir d’un manteau orange : Synonymes attire sur lui l’attention, filme le contenu tomates d’une casserole sur le feu, capte l’immédiatement d’un présent qui peut enfin se vivre en liberté ; Synonymes s’achève sur la même note, déclinée à foison : l’engloutissement, et la souffrance du poète qui en a conscience.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 2 décembre 2019
    Eh beh... Alors, que dire ? Dès les premières secondes, ça sent pas bon. Mais, ayant lu les critiques, positives et négatives, je me dis que le mieux c'est d'aller jusqu'au bout et de juger par moi même...
    Un condensé de fantasmes, de délires intello. Pas tout à fait nul. La séquence de la marseillaise est assez drôle.
    Mais, au bout, qu'est-ce que ça dit ? La France a disparu ? Laquelle ? A quel moment a on arrêté le cliché ?
    A Napoléon ?, à la révolution ?, à Louis XIV ? à Pétain ? Et puis, tant qu'à faire, quand on veut faire un film, autant qu'il soit agréable à suivre. Pas juste une suite de scène sans vraiment de sens...
    Stn
    Stn

    10 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 octobre 2019
    Un film à voir, basé sur un thème très intéressant, avec un bon Tom Mercier et une réalisation qui colle.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 400 abonnés 4 251 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 septembre 2019
    Ours d’Or à la Berlinale 2019, “Synonymes” met en scène l’arrivée d’un jeune Israélien à Paris. Avec l’espoir que la France le sauvera de la folie de son pays, il va vite déchanter et prendre conscience que le pays n’est que faux-semblants ni la terre d’asile idéale. Après “Le Policier” et “L’Institutrice”, Nadav Lapid emploie un style singulier où se mêlent séquences dérangeantes et beauté des dialogues. La mise en scène ne cesse d’étonner elle non plus, mais c’est surtout la prestance incroyable du charismatique Tom Mercier qui crève l’écran. “Synonymes” laisse néanmoins hagard à force d’entendre dénoncer sans répit tout ce qui ne va pas dans notre pays. Le film devient alors plus abstrait que descriptif et finit par laisser le spectateur dans la confusion.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    coperhead
    coperhead

    26 abonnés 474 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 août 2019
    Synonymes est un film qui parle de l'exil et de l'accueil en France à travers un jeune israélien Yoav écœuré par son pays .Dans sa recherche de quête de sens faite d'incompréhensions , Yoav fait preuve d'audaces avec des scènes parfois dérangeantes mais l'ensemble reste trop abstrait trop confus avec de nombreuses incohérences .
    Jonathan M
    Jonathan M

    136 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juillet 2019
    Un trublion dans son manteau orange, fuyant son pays l'israël pour la frénésie parisienne. Le premier quart d'heure annonce une errance qui a tout pour être envoutante. Un Paris vu d'un étranger qui cherche des réponses à son déni de sa propre patrie. Mais les minutes files, et nous nous retrouvons dans une impasse. Cette composition tout en sur-régime s'essouffle et l'interprète principal lui-même se demande ce qu'il fait là. Matériellement les questions que Nadav Lapid se pose sont intéressante, mais à trop vouloir filmer ses scènes comme un dispositif, il s'écarte de son sujet et perd un spectateur qui devient tout d'un coup déçu des promesses que miroite le début du film. Regrettable.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 mai 2019
    Film difficile à appréhender mais qui laisse un sentiment réjouissant.
    L'acteur principal crève l'écran.
    Betty B
    Betty B

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 mai 2019
    un navet? Non, un champ de navets. Mal filmé, camera qui bouge de manière insupportable, des gros plans inutiles, de quoi sortir avec une migraigne, mal joué, avec un acteur visiblement amoureux de son propre corps, dont le talent en matière de jeu est très discutable.
    L'histoire aurait pu être intéressante, mais c'est tellement mal développée que les deux heures du film semblaient interminables.
    Allégorie de la violence, maladie mentale collective impasse où se trouve la société israelienne? Sans doute, mais
    il faut du talent pour faire un bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 27 avril 2019
    À propos du film « SYNONYMES » du réalisateur Israélien Nadav Lapid
    J’avais lu quelques bonnes critiques évoquant l’histoire de ce qui m’apparaissait comme celle d’un refuznik : « Yoav, un jeune israélien, atterrit à Paris, avec l’espoir que la France et le français le sauveront de la folie de son pays … »
    Le fait que ce film ait obtenu un Ours d’or à Berlin m’engageait également à aller le voir.
    Une fois dans la salle, j’ai eu une première interrogation à la lecture des financeurs de ce film avec, notamment, le ministère de la culture et des sports Israélien, sachant que tout financement d’état israélien est directement utilisé par celui-ci pour promouvoir son pays. Il suffit de voir la campagne pour l’Eurovision.
    J’étais allé voir ce film pour lui-même, certes, mais également pour le situer dans la mouvance autour de la Palestine et de la contestation d’Israël, pensant trouver là une parole « de l’intérieur ».

    En fait, pas du tout. Toute l’histoire est centrée sur les déboires d’un jeune israélien émigré à Paris et qui croit réussir à s’intégrer grâce à un mariage.
    Vu le thème du film (un réfugié) et le lieu (Paris), on peut comprendre qu’à aucun moment du film ne soit évoquée la Palestine ou les Palestiniens. Cependant, une séquence s’y rapporte : celle où un photographe lui présente son assistante qui se définit comme Libanaise et qui, quand Yoav décline son identité israélienne, lui répond « alors on ne peut pas se parler ! » La seule « arabe » du film est immédiatement responsable de l’impossibilité de parole entre israéliens et palestiniens ! Bien sûr, le héros ne répond pas, ni ne discute avec elle…
    Plusieurs séquences renvoient à l’expérience militaire du héros. On croit depuis le début qu’il a fui son pays du fait de son opposition à la guerre, mais pas du tout. Il raconte même qu’il a gardé de bons souvenirs de son passage à l’armée et on le voit faire un exercice de tir où il découvre qu’il tire mieux en écoutant une certaine musique…mais ce sur quoi il tire ne sont bien sûr pas de méchants terroristes, mais une cible en bois qu’il prend plaisir à défoncer…
    Le voile, enfin, est levé quand le héros fraie avec les nervis du Betar (Le Betar est une organisation d’extrême droite sioniste créée au début du XXème siècle qui a pu continuer ses activités en Allemagne nazie jusque dans les années 1939 et continue d’être présente dans de nombreux pays depuis, dont la France).
    Bien sûr, on comprend que, seul dans Paris, il lui faut trouver rapidement des moyens de subsistance et que sa nationalité lui a ouvert les portes de ce type d’officine. Mais quand le chef raconte que leurs actions se font de nuit en direction de groupes néo-fascistes et qu’il y a de la casse, alors là, un simple survol des actions du Betar sur internet nous renseigne : agression de militants du MRAP (question néo-fascistes, ils se posent là ?), agressions d’associations palestiniennes, et proximité avec la LDJ (Ligue de défense juive), groupuscule néo-nazi.
    La séquence en flashback sur une cérémonie militaire qui se déroule en Israël est totalement ubuesque et finit de me dessiller les yeux, avec de gentils militaires au garde à vous et deux militaires féminines, pulpeuses, qui dansent en chantant une chanson comme dans un « musical » américain !
    Le personnage principal n’est donc en aucun cas un refuznik mais un malade mental (c’est l’héroïne qui le dit) et son séjour à Paris n’a rien résolu de son drame intérieur.
    Il lui faut donc repartir et son cri d’adieu est : « Tu me renvoies dans un pays au destin tragique » ce qui est une double aberration : Le « destin » d’Israël n’est en aucun cas une fatalité, mais une volonté constante du sionisme depuis son origine, soutenu en cela par les Etats Unis et toutes les puissances sous leurs ordres. Quant à son côté « tragique », le moins qu’on puisse dire c’est qu’il ne concerne absolument pas les israéliens mais uniquement les Palestiniens qui depuis plus d’un siècle, vivent cette tragédie au quotidien.
    Donc un film d’où ressort une image totalement déformée de l’état d’Israël de laquelle toute injustice, tout colonialisme, tout racisme est soigneusement écarté.

    Pourquoi un Ours d’Or à Berlin ? Je ne peux m’empêcher de penser que l’Allemagne, dans son soutien tous azimuts à l’état d’Israël, cherche à laver sa faute originelle, comme si de telles actions pouvaient y concourir. Mais précisément c’est bien du contraire qu’il s’agit, car soutenir aujourd’hui un état qui clame haut et fort son statut d’état d’apartheid c’est renouer justement avec ce terrible passé que l’Allemagne veut, et doit, dépasser.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 avril 2019
    Décidément... le cinéma israélien devient de plus en plus brillant... J'ai été subjuguée par la manière dont Nadav Lapid réussit à peindre l'exil, et surtout à raconter l'arrivée de son personnage à Paris. L'image de son manteau orange me hante depuis la séance.
    jonatlev
    jonatlev

    13 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 avril 2019
    Aucun intérêt.....film de propagande anti israélien, lassant. Le casting..bof bof. Je vois pas trop comment il a un prix ce film
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    274 abonnés 1 651 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 avril 2019
    Yoav fuit son pays, Israël, pour s’installer en France, à Paris, dont il idéalise la vie, les valeurs, la langue… Film très original, très libre, très littéraire et très… déconcertant. Où il est question d’identité israélienne et d’identité française, entre fantasme et réalité, au fil de scènes inconfortables et d’un parcours erratique. C’est totalement imprévisible, tantôt fascinant, tantôt agaçant. Conceptuel et incarné. Paradoxal et confus. Un petit quelque chose de Godard. Au final, pas sûr d’avoir tout bien compris du sens et de la finalité de ce film qui ne laisse cependant pas indifférent.
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