Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Paola Raiman
Fallait-il s’attendre à ce que le meilleur film français vu depuis longtemps nous viennent d’un réalisateur israélien ? (…) En regardant Synonymes, ce n’est pas tant le cinéaste que l’on trouve dépaysé, mais soi-même.
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
Pour son troisième long métrage après "Le Policier" (2011) et "L'Institutrice" (2014), Nadav Lapid signe avec "Synonymes" une oeuvre d’un feu brûlant, dont la nature, aussi bien aventureuse que rageuse, est un jeu constant, dense et complexe entre la caméra, les comédiens et les spectateurs.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
"Synonymes" est ainsi un film radicalement singulier […].
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Auréolé d’une alliance de cynisme et de lyrisme, chargé à bloc d’arrogance superbe et d’autocritique virile, "Synonymes" se dresse sans cesse devant nous pour mieux nous confondre sans oublier de nous séduire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Un objet cinématographique impressionnant.
Transfuge
par Serge Kaganski
Propos, style, montage, sens affolé et affolés, tout dans ce troisième film de Nadav lapid est coup de poing, coup de boule, claque, gifle, baffe, mandale – ne rayez pas les synonymes inutiles.
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
Ponctué de scènes inoubliables, troublant, déstabilisant, agaçant parfois, marqué par l’incroyable présence d’un acteur bigger than life, "Synonymes" joue suffisamment bien des coudes pour ne pas passer inaperçu.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un récit fulgurant et vibrant.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Humanité
par Dominique Widemann
Une rythmique musicienne offre à chacun despersonnages le langage qu’il doit parler. Les fragments de la déconstruction sont soutenus d’une ferme architecture. N’émergent que les contradictions. Synonyme : paradoxe.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une remarquable fiction, politiquement et poétiquement très engagée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Portée par des dialogues déclamés de façon peu réaliste mais marquante, sa mise en scène en rajoute volontiers dans l’âpreté. Tant que sa maîtrise impressionne et que sa détermination éblouit, ce qui est le cas ici, cette ironie est de bonne guerre.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Synonymes s’empare précisément de cette question de l’exil et de l’accueil, pour parler non seulement d’Israël à travers le prisme de la France (et inversement), mais de toute la construction fantasmatique qui accompagne la notion de pays, se traduisant par un sentiment d’appartenance ou de rejet.
Télérama
par Anne Dessuant
POUR : Yoav (impressionnant Tom Mercier, dans son premier rôle au cinéma) déboule dans la capitale française comme dans le film, lors d’une première scène toute en effraction. Son corps nu envahit l’écran, court, heurte les murs, dans une chorégraphie quasi animale, ponctuée de borborygmes. La caméra, tremblante, le suit de très près, au rythme de son errance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Nadav Lapid met en place un dispositif audacieux sur la base d’un récit inspiré de son propre parcours. Cette œuvre peu consensuelle exerce un réel pouvoir de fascination.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Chloé Cavillier
Si le film revendique une part de folie, il passe trop souvent en force pour pleinement convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
Un peu trop conceptuel, Synonymes n’en est pas moins non dénué d’humour et offre, grâce à l’incroyable présence de Tom Mercier, quelques moments franchement réjouissants.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Des synonymes pour chercher le meilleur sens possible à donner aux mots et pour trouver d’autres façons de dire ses propres maux, c’est l’enjeu de ce film made in France de N. Lapid. L’auteur israélien déstabilise, mais convoque une nouvelle fois la puissance du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Emily Barnett
Le tout dérange, irrite, mais sa mise en scène audacieuse et maîtrisée, teintée d'homoérotisme burlesque, vaut le détour quitte, parfois, à s'ennuyer un peu.
Première
par Thierry Chèze
Tout n’est pas réussi, comme le regard un peu trop convenu de Lapid sur la jeune bourgeoisie française, mais sa réflexion sur le langage et son humour pince-sans-rire font mouche.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Nadav Lapid qui, jeune homme, a vécu à Paris avant de s’en retourner à Tel Aviv, filme son acteur avec une complaisance candide. De sa vitalité, il essaie de faire une force narrative et de son corps puissant une métaphore de la patrie désertée. On a du mal à en être un tant soit peu ému ou bousculé.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par Daniel Blois
Synonymes abuse de clichés surannés du cinéma d'art et d'essai mais fait malgré tout preuve d'une belle énergie.
L'Express
par Christophe Carrière
A partir de là, ça part dans tous les sens, ça filme n'importe comment (en se prenant parfois pour Godard !), ça traverse de long en large les ponts de Paris, ça s'écoute parler... et ça dure deux heures ! Au secours.
Le Figaro
par La Rédaction
Le résultat est finalement bien sage, appliqué, à la façon de ces œuvres plus ou moins d’avant-garde qui fleurissaient dans les années 1970 et dont plus personne ne se souvient. Deux épithètes viennent à l’esprit, démodé et prétentieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Baptiste Roux
[...] Lapid se contente d'asséner des séquences épate-bourgeois, mâtinées d'un antisionisme bon teint.
Télérama
par Samuel Douhaire
CONTRE : L’interminable Synonymes est un film trop abstrait, trop verbeux, trop confus.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Fallait-il s’attendre à ce que le meilleur film français vu depuis longtemps nous viennent d’un réalisateur israélien ? (…) En regardant Synonymes, ce n’est pas tant le cinéaste que l’on trouve dépaysé, mais soi-même.
La Septième Obsession
Pour son troisième long métrage après "Le Policier" (2011) et "L'Institutrice" (2014), Nadav Lapid signe avec "Synonymes" une oeuvre d’un feu brûlant, dont la nature, aussi bien aventureuse que rageuse, est un jeu constant, dense et complexe entre la caméra, les comédiens et les spectateurs.
Les Inrockuptibles
"Synonymes" est ainsi un film radicalement singulier […].
Libération
Auréolé d’une alliance de cynisme et de lyrisme, chargé à bloc d’arrogance superbe et d’autocritique virile, "Synonymes" se dresse sans cesse devant nous pour mieux nous confondre sans oublier de nous séduire.
Ouest France
Un objet cinématographique impressionnant.
Transfuge
Propos, style, montage, sens affolé et affolés, tout dans ce troisième film de Nadav lapid est coup de poing, coup de boule, claque, gifle, baffe, mandale – ne rayez pas les synonymes inutiles.
Culturopoing.com
Ponctué de scènes inoubliables, troublant, déstabilisant, agaçant parfois, marqué par l’incroyable présence d’un acteur bigger than life, "Synonymes" joue suffisamment bien des coudes pour ne pas passer inaperçu.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un récit fulgurant et vibrant.
L'Humanité
Une rythmique musicienne offre à chacun despersonnages le langage qu’il doit parler. Les fragments de la déconstruction sont soutenus d’une ferme architecture. N’émergent que les contradictions. Synonyme : paradoxe.
L'Obs
Une remarquable fiction, politiquement et poétiquement très engagée.
Le Journal du Dimanche
Portée par des dialogues déclamés de façon peu réaliste mais marquante, sa mise en scène en rajoute volontiers dans l’âpreté. Tant que sa maîtrise impressionne et que sa détermination éblouit, ce qui est le cas ici, cette ironie est de bonne guerre.
Le Monde
Synonymes s’empare précisément de cette question de l’exil et de l’accueil, pour parler non seulement d’Israël à travers le prisme de la France (et inversement), mais de toute la construction fantasmatique qui accompagne la notion de pays, se traduisant par un sentiment d’appartenance ou de rejet.
Télérama
POUR : Yoav (impressionnant Tom Mercier, dans son premier rôle au cinéma) déboule dans la capitale française comme dans le film, lors d’une première scène toute en effraction. Son corps nu envahit l’écran, court, heurte les murs, dans une chorégraphie quasi animale, ponctuée de borborygmes. La caméra, tremblante, le suit de très près, au rythme de son errance.
aVoir-aLire.com
Nadav Lapid met en place un dispositif audacieux sur la base d’un récit inspiré de son propre parcours. Cette œuvre peu consensuelle exerce un réel pouvoir de fascination.
Critikat.com
Si le film revendique une part de folie, il passe trop souvent en force pour pleinement convaincre.
La Croix
Un peu trop conceptuel, Synonymes n’en est pas moins non dénué d’humour et offre, grâce à l’incroyable présence de Tom Mercier, quelques moments franchement réjouissants.
Les Fiches du Cinéma
Des synonymes pour chercher le meilleur sens possible à donner aux mots et pour trouver d’autres façons de dire ses propres maux, c’est l’enjeu de ce film made in France de N. Lapid. L’auteur israélien déstabilise, mais convoque une nouvelle fois la puissance du cinéma.
Marie Claire
Le tout dérange, irrite, mais sa mise en scène audacieuse et maîtrisée, teintée d'homoérotisme burlesque, vaut le détour quitte, parfois, à s'ennuyer un peu.
Première
Tout n’est pas réussi, comme le regard un peu trop convenu de Lapid sur la jeune bourgeoisie française, mais sa réflexion sur le langage et son humour pince-sans-rire font mouche.
Sud Ouest
Nadav Lapid qui, jeune homme, a vécu à Paris avant de s’en retourner à Tel Aviv, filme son acteur avec une complaisance candide. De sa vitalité, il essaie de faire une force narrative et de son corps puissant une métaphore de la patrie désertée. On a du mal à en être un tant soit peu ému ou bousculé.
Voici
Synonymes abuse de clichés surannés du cinéma d'art et d'essai mais fait malgré tout preuve d'une belle énergie.
L'Express
A partir de là, ça part dans tous les sens, ça filme n'importe comment (en se prenant parfois pour Godard !), ça traverse de long en large les ponts de Paris, ça s'écoute parler... et ça dure deux heures ! Au secours.
Le Figaro
Le résultat est finalement bien sage, appliqué, à la façon de ces œuvres plus ou moins d’avant-garde qui fleurissaient dans les années 1970 et dont plus personne ne se souvient. Deux épithètes viennent à l’esprit, démodé et prétentieux.
Positif
[...] Lapid se contente d'asséner des séquences épate-bourgeois, mâtinées d'un antisionisme bon teint.
Télérama
CONTRE : L’interminable Synonymes est un film trop abstrait, trop verbeux, trop confus.