Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Sensible et puissant, ce film éclaire le vieil antagonisme des Tutsi et des Hutu, qui a tant fait couler de sang.
L'Express
par Antoine Le Fur
Atiq Rahimi signe un long-métrage subtil, à la fois effrayant et délicat.
Le Point
par Valérie Marin La Meslée
Comment un film aussi poétique peut à ce point faire ressentir le mécanisme d'un génocide, c'est tout l'art d'Atiq Rahimi.
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Dans son adaptation du roman autobiographique de Scholastique Mukasonga, Atiq Rahimi met en scène de manière implacable les facteurs historiques qui ont mené au génocide rwandais.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Transfuge
par Romane Carrière
En retrouvant le sacré des lieux et des jeunes filles qui l’habitent, le film d’Atiq Rahimi s’éloigne du ressentiment pour porter l’espoir d’une réconciliation. Et fait de la beauté la seule arme qui vaille pour échapper à la folie sanglante des hommes.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Si le film d’Atiq Rahimi abuse des belles images, c’est pour montrer la fragilité de ce paradis menacé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
De l’innocence d’un lieu protégé, dans une nature sereine, le film passe graduellement à un sacrifice humain sans merci. C’est plein d’ombres et de silence, implacablement allusif.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Un défi ambitieux dont il tire ce récit historico-pédagogique où l’innocence ne résistera pas à l’appel de la haine. Avec des images fortes et de jeunes actrices magnifiques, il réussit son pari en dépeignant une somme de malentendus plutôt qu’en représentant la violence.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Un film où la blancheur virginale dont sont vêtues les étudiantes semble suspendue à l’éternité. Avant que le sang ne vienne l’éclabousser.
Télérama
par Jacques Morice
Même si la fiction, reposant sur de nombreux personnages, manque un peu de densité, la manière pudique et pédagogique de traiter ce sujet violent mérite d’être louée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Céline Rouden
Après la très belle adaptation de son roman Syngue sabour, pierre de patience, l’écrivain et cinéaste originaire d’Afghanistan, Atiq Rahimi poursuit son obsession à représenter le rapport entre la violence et le sacré. Mais il échoue à restituer les préludes du génocide rwandais au cœur du livre de Scholastique Mukasonga.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Le film, gouverné par une mécanique de cocotte-minute, ne vit que pour arriver au pire et, plutôt que de sonder le crépitement d’une violence sourde, nous met face à son surgissement, annonciateur du génocide de 1994. La démonstration est implacable mais manque de finesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Yann Tobin
On reste au niveau de l’intention, car le texte appliqué, le jeu emprunté des jeunes actrices, les références visuelles écrasantes (Vigo pour la bataille de polochons), et même l’image spectaculairement « poétique » (signée Thierry Arbogast) rangent "Notre-Dame du Nil" dans la catégorie frustrante des films qu’on aurait aimé mieux aimer.
Femme Actuelle
Sensible et puissant, ce film éclaire le vieil antagonisme des Tutsi et des Hutu, qui a tant fait couler de sang.
L'Express
Atiq Rahimi signe un long-métrage subtil, à la fois effrayant et délicat.
Le Point
Comment un film aussi poétique peut à ce point faire ressentir le mécanisme d'un génocide, c'est tout l'art d'Atiq Rahimi.
Les Fiches du Cinéma
Dans son adaptation du roman autobiographique de Scholastique Mukasonga, Atiq Rahimi met en scène de manière implacable les facteurs historiques qui ont mené au génocide rwandais.
Transfuge
En retrouvant le sacré des lieux et des jeunes filles qui l’habitent, le film d’Atiq Rahimi s’éloigne du ressentiment pour porter l’espoir d’une réconciliation. Et fait de la beauté la seule arme qui vaille pour échapper à la folie sanglante des hommes.
L'Obs
Si le film d’Atiq Rahimi abuse des belles images, c’est pour montrer la fragilité de ce paradis menacé.
Le Figaro
De l’innocence d’un lieu protégé, dans une nature sereine, le film passe graduellement à un sacrifice humain sans merci. C’est plein d’ombres et de silence, implacablement allusif.
Le Journal du Dimanche
Un défi ambitieux dont il tire ce récit historico-pédagogique où l’innocence ne résistera pas à l’appel de la haine. Avec des images fortes et de jeunes actrices magnifiques, il réussit son pari en dépeignant une somme de malentendus plutôt qu’en représentant la violence.
Le Monde
Un film où la blancheur virginale dont sont vêtues les étudiantes semble suspendue à l’éternité. Avant que le sang ne vienne l’éclabousser.
Télérama
Même si la fiction, reposant sur de nombreux personnages, manque un peu de densité, la manière pudique et pédagogique de traiter ce sujet violent mérite d’être louée.
La Croix
Après la très belle adaptation de son roman Syngue sabour, pierre de patience, l’écrivain et cinéaste originaire d’Afghanistan, Atiq Rahimi poursuit son obsession à représenter le rapport entre la violence et le sacré. Mais il échoue à restituer les préludes du génocide rwandais au cœur du livre de Scholastique Mukasonga.
Les Inrockuptibles
Le film, gouverné par une mécanique de cocotte-minute, ne vit que pour arriver au pire et, plutôt que de sonder le crépitement d’une violence sourde, nous met face à son surgissement, annonciateur du génocide de 1994. La démonstration est implacable mais manque de finesse.
Positif
On reste au niveau de l’intention, car le texte appliqué, le jeu emprunté des jeunes actrices, les références visuelles écrasantes (Vigo pour la bataille de polochons), et même l’image spectaculairement « poétique » (signée Thierry Arbogast) rangent "Notre-Dame du Nil" dans la catégorie frustrante des films qu’on aurait aimé mieux aimer.