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Philippe g.
18 abonnés
95 critiques
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0,5
Publiée le 25 novembre 2020
Intrigue pachydermique pour ce navet conçu pour cartonner. Rien ne fonctionne. Benguigui en fait des tonnes, luchini débite son texte sans conviction. Réalisation terne genre au théâtre ce soir. Seule Pascale Arbillot dans un rôle annexe est juste, comme toujours. Bizarrement la fin est assez réussie. Mais ça fait 10 minutes sur 120.
J'attendais beaucoup de ce film et je suis un poil déçue. On n'est pas du tout, mais PAS DU TOUT au niveau du Prénom. Si Luchini est globalement bon, Bruel en fait trop pour être crédible, et le film est très inégal, entre scènes touchantes et moments furieusement agaçants de platitude. Dommage !
Écrite et mise en scène par Matthieu Delaporte et Alexandre De La Patellière, cette Comédie dramatique nous délivre des moments forts, des scènes intenses servies par les deux grands comédiens que sont Fabrice Luchini et Patrick Bruel. Navigant entre humour et gravité, le scénario nous conte une très belle histoire d'amitié. La réalisation nous offre également de très fins dialogues et un joli second rôle pour Pascale Arbillot qui effectue une belle prestation d'actrice avec le personnage de Mme Dreyfus, la femme d'Arthur.
Scénario complètement improbable avec un quiproquo tiré par les cheveux sur un sujet sérieux. Mes amis et moi n'avons pas ris une seule fois. Quel ennui ! Que c'est mal ficelé ! Ce n'est pas crédible.
Film vu en avant première au grand Rex en présence de l'équipe du film. On a beaucoup ri et versé une larme. Excellent duo d'acteurs qui met en valeur le très bon scénario. On a passé un très bon moment. Je recommande
Dans LE MEILLEUR RESTE À VENIR, Arthur (Fabrice Luchini) apprend que son meilleur amis César (Patrick Bruel) a un cancer bien que lui-même ne le sache pas. Il n’ose pas lui dire. J’ai été bouleversé par cette comédie dramatique. Elle est magnifique et m’a beaucoup ému. Je ne pensais pas que ça m’impacterait autant. C’est pour cela que j’adore le cinéma, pour ressentir ce genre de chose. L’histoire est belle, que dire d’autre. On pourrait presque s’identifier à cette situation et se demander ce qu’on ferait si c’était à nous que cela arrivait. Comment on réagirait, et surtout ce qu’on éprouverait. C’est fait de manière à ce qu’on s’implique dedans. L’histoire prend doucement forme, pour faire naitre de manière crescendo ces sentiments jusqu’à l’apothéose. Matthieu Delaporte et Alexandre De La Patellière on fait les choses remarquablement bien. La simplicité au service de l’émotion. J’ai eu un plaisir immense de retrouver Fabrice Luchini et Patrick Bruel, plus de 30 ans après P.R.O.F.S. Les deux ont évolué et repartagent de nouveau l’affiche alors qu’ils sont au sommet de leur art. La complicité entre les deux est touchante et joue beaucoup dans cette réussite. Leur prestation est remarquable. Et qui dit grande amitié, dit aussi moments de joie. On va partager leurs chamailleries et leurs délires. Ce film ne veut pas seulement nous émouvoir, il veut partager un moment de vie. J’ai rigolé de bon cœur avec ces deux-là. LE MEILLEUR RESTE À VENIR est un équilibre juste, à l’image d’une amitié parfaite.
Patrick Bruel bruélise, Fabrice Luchini lucchinise, un film un peu lourdingue mal porté par le duo d'acteurs. Même si Kris film n'est pas ennuyant, on peut passer son chemin ...
Agréablement surprise, j'ai beaucoup aimé ce film. Très bon scénario, beaucoup mieux que les scénarios "téléphonés" qu'on nous sert souvent. Deux très bons acteurs qui nous livrent une interprétation prestigieuse. Aucun des deux ne m'a déçu, ils sont tous les deux aussi bons que ce que je pensais d'eux. Ils auraient mérité un césar. Parfois ce film fait penser un peu à "sans plus attendre". A noter une scène magistrale où Patrick Bruel se met en colère, scène très juste et belle je n'en dis pas plus pour ne pas spoiler. Ici tout les là aussi bien l'humour que l'émotion sans jamais sombrer dans le mélo. Film intelligent délicat et juste que je vous conseille si vous ne l'avez pas vu.
On n'y croit pas une seconde. Quant au scénario du quiproquo .... à l'image du cinéma français de ces 10 dernières années. On fait du fric sur d'anciens films en faisant des navets bien vendus pas de grands acteurs, qui en perdent toute intégrité.
Scénario construit sur un quiproquo. Il est vrai que c’est en général une bonne base (qui a produit des pépites) pour une comédie. Mais ici on est dans la comédie dramatique, c’est donc moins approprié et surtout beaucoup plus périlleux. Car le fond de cette histoire, c’est finalement la maladie. Pas très réjouissant par définition. Tout au long, j’aurai eu l’impression que les scénaristes ont pris le parti d’un point de départ inapproprié et qu’ils n’ont pas su comment s’en défaire. Longueurs, manque d’émotion, scabreux par moment… Et, je ne sais pas pourquoi, j’ai prévu assez rapidement le dénouement. En tout cas, je n’en étais pas loin.
Un bijou d'humour et d'émotion! Tout à fait d'accord avec Cliffhanger. Et pourtant Le Meilleur reste à venir n’est pas que le film que l’on attend, c’est un film surprenant à plus d’un titre, drôle bien sûr avec ses répliques chirurgicales qui ravissent par leur pertinence et leur subtilité mais qui ne sont que la partie immergée de l’iceberg. Car avec un tel sujet, le duo ne se prive pas d’apposer à leur histoire une émotion d’abord diffuse, puis qui prend toute son ampleur dans un dernier tiers tragique et beau à la fois, où les notions d’amitié et de fraternité prennent tout leur sens et offrent au film une densité que l’on se surprend à prendre de plein fouet. La dichotomie d’abord entre le premier et le second tiers du film décontenancent dans un premier temps, car le drame qui se noue est repoussé par la mécanique comique avant d’envelopper tout la fin du film et de nous étrangler d’émotion. Avec cette histoire sur ce qu’il faut dire ou ne pas dire et sur la manière de protéger ceux qu’on aime des mauvaises nouvelles, les deux auteurs parviennent à raconter l’intime avec un véritable talent et un équilibre parfaitement dosé entre humour et émotion à l’image de ce qui se faisait fréquemment dans le cinéma des années 70. Car on pense évidemment à César et Rosalie (Claude Sautet, 1972), – le prénom du personnage de Bruel ainsi que sa gestuelle faisant fortement penser au César interprété par Yves Montand– ou à Un éléphant ça trompe énormément (Yves Robert, 1974) – et au personnage magnifique d’Etienne Dorsay auquel Jean Rochefort prêtait ses traits-, les deux films ayant qui plus est en commun le scénariste mythique Jean-Loup Dabadie dans la filiation duquel s’inscrivent Matthieu Delaporte et Alexandre De La Pattelière.
J'adore ces deux acteurs. Je m'attendais à quelque chose de vraiment bien. Et je suis vraiment déçue. Oui ils jouent bien. Luchini peut être pas assez luchiniesque et Bruel un peu trop Bruelien. Oui l'histoire a ce qu'il faut de dramatique. Mais ça ne prend pas. Des longueurs... la Saab de dos, la Saab qui déboite pour prendre de l'essence sur l'autoroute, la ligne blanche qui sépare la Saab des autres lignes, l'intérieur de la Saab, Bruel qui pisse, Bruel qui met son tablier et sort son plat du four. Ça n'ajoute rien ! Sauf donner l'impression qu'on a cherché à meubler un scénario qui tourne en rond. Je me suis cru retombée en enfance devant le théâtre de Guignol : mais dis lui !!!! Tandis que Polichinelle faisait mine de ne rien entendre. Et puis [spoiler alert : tous ces gens qui se font la gueule sans qu'on comprenne bien pourquoi. Pas logique. ]. Le tout était ennuyeux finalement. Dommage.