Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
BIBA
par La rédaction
[...] une comédie sur l'amitié et le pardon avec deux acteurs aux antipodes l'un de l'autre, qui prennent un plaisir communicatif à se retrouver, 35 ans après "P.R.O.F.S." !
CNews
par La rédaction
Cette histoire touchante est servie par des dialogues drôles et ciselés.
Closer
par La Rédaction
Trente-quatre ans après l'inénarrable P.R.O.F.S., le tandem Luchini-Bruel refait des étincelles.
L'Express
par Christophe Carrière
[...] un cinéma français bien écrit, où le verbe prime, où les situations s'imbriquent parfaitement, où l'esprit règne, fuyant à la fois la vulgarité et l'élitisme.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Quintessence de la comédie dramatique, ce récit mêle, avec un savoir-faire qui n’exclut pas la sincérité, humour des dialogues, comique de situation et vive émotion. Au crible du malentendu, le drame se fait ici dernier tour de piste, enlevé par des acteurs au mieux.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Une belle surprise avec deux comédiens en forme.
Première
par Christophe Narbonne
Les réalisateurs du Prénom signent une comédie débridée, moins satirique que mélancolique, sinon funèbre, portée par le duo de choc Luchini-Bruel.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
[...] une ode à l'amitié tour à tour tendre et facétieuse, truculente et touchante.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Il y a de bonnes répliques, des situations aussi (Luchini face à son patron), mais comme les deux personnages le soulignent eux-mêmes dans le film, leur amitié reste très improbable.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Si le ressort est vieux comme le cinéma, Matthieu Delaporte et Alexandre De La Patellière l'actualisent avec talent et des acteurs visiblement heureux d’être là, et nous avec.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
On est dans la tradition du boulevard, avec rires francs, gaffes pittoresques et acteurs en survoltage. Recommandé pour le samedi soir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Les réalisateurs du Prénom reviennent avec une comédie énergique et mélancolique sur deux amis qui croient l’autre atteint d’une maladie incurable.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le meilleur reste à venir célèbre l’amitié et prend un malin plaisir à jouer du yo-yo émotionnel. Avec l’ombre du cancer planant sur le récit, c’était osé.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Lena Lutaud
Bonne idée de départ. Quiproquos, surprises, grands airs étonnés, mensonges en tout genre (pour la bonne cause), ce bon vieux matériau tient la route. Leurs mésaventures se regardent sans bâiller. On entre dans Le meilleur reste à venir comme on chausse des charentaises.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Renaud Baronian
Fabrice Luchini et Patrick Bruel interprètent deux amis confrontés à la maladie, sur le ton de la comédie. Un tandem qui prend de l’ampleur dans la deuxième partie du film, plus grave et plus réussie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Mathilde Blottière
Bien dialogué, rythmé, non dénué de sensibilité quand il s’agit d’évoquer notre rapport à la finitude, ce film de potes doux-amer, réalisé par les auteurs du Prénom, s’appuie aussi sur un duo d’acteurs étonnant et attachant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Bruel et Luchini se dépatouillent d'un scénario à base de quiproquos tirés par les cheveux.
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Une belle histoire d’amitié réalisée par les auteurs du Prénom qui, sur fond de quiproquos et de bons sentiments, demeure un divertissement de bonne tenue.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
[...] des allers-retours plus ou moins réussis entre la poilade et le drame, du point de départ farfelu aux confessions touchantes de quinquas rarement sincères.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Malgré certaines scènes enlevées, le récit a vite fait de sombrer dans ce qui le guette dès le départ: une trame si théorique qu’on n’en ressent plus l’émotion souterraine censée manifester la vie dans sa dimension tragicomique.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Quentin Papapietro
Un savant pot-pourri d’indécence extraordinaire.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
[Le film], dès qu’il commence à parler soins palliatifs et cicatrices du passé dans des cafés de l’Ouest parisien, se vautre pour de bon – déjà parce qu'il n'y a rien de pire qu'un beauf qui se prend au sérieux, mais surtout parce qu'il ne veut absolument rien dire (les personnages successivement se haïssent, se pardonnent, s’adorent, sans la moindre justification, par pure fonctionnalité de scénario) et, donc, se fout de nous. De quel droit ?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
C’est une bromance sans séduction vu le casting cabotin de têtes d’affiche à claques, sur un récit exempt de tout gag - l’association de tempéraments a priori sans atomes crochus n’y suffit pas - et progressivement ramolli par du sentimentalisme gaga [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Olivier De Bruyn
Une fois l’argument de départ pesamment exposé, le film enchaîne les situations improbables et, sans jamais convaincre, alterne scènes à vocation absurde et séquences censées susciter l’émotion.
BIBA
[...] une comédie sur l'amitié et le pardon avec deux acteurs aux antipodes l'un de l'autre, qui prennent un plaisir communicatif à se retrouver, 35 ans après "P.R.O.F.S." !
CNews
Cette histoire touchante est servie par des dialogues drôles et ciselés.
Closer
Trente-quatre ans après l'inénarrable P.R.O.F.S., le tandem Luchini-Bruel refait des étincelles.
L'Express
[...] un cinéma français bien écrit, où le verbe prime, où les situations s'imbriquent parfaitement, où l'esprit règne, fuyant à la fois la vulgarité et l'élitisme.
Les Fiches du Cinéma
Quintessence de la comédie dramatique, ce récit mêle, avec un savoir-faire qui n’exclut pas la sincérité, humour des dialogues, comique de situation et vive émotion. Au crible du malentendu, le drame se fait ici dernier tour de piste, enlevé par des acteurs au mieux.
Ouest France
Une belle surprise avec deux comédiens en forme.
Première
Les réalisateurs du Prénom signent une comédie débridée, moins satirique que mélancolique, sinon funèbre, portée par le duo de choc Luchini-Bruel.
Télé Loisirs
[...] une ode à l'amitié tour à tour tendre et facétieuse, truculente et touchante.
Femme Actuelle
Il y a de bonnes répliques, des situations aussi (Luchini face à son patron), mais comme les deux personnages le soulignent eux-mêmes dans le film, leur amitié reste très improbable.
Franceinfo Culture
Si le ressort est vieux comme le cinéma, Matthieu Delaporte et Alexandre De La Patellière l'actualisent avec talent et des acteurs visiblement heureux d’être là, et nous avec.
L'Obs
On est dans la tradition du boulevard, avec rires francs, gaffes pittoresques et acteurs en survoltage. Recommandé pour le samedi soir.
La Croix
Les réalisateurs du Prénom reviennent avec une comédie énergique et mélancolique sur deux amis qui croient l’autre atteint d’une maladie incurable.
La Voix du Nord
Le meilleur reste à venir célèbre l’amitié et prend un malin plaisir à jouer du yo-yo émotionnel. Avec l’ombre du cancer planant sur le récit, c’était osé.
Le Figaro
Bonne idée de départ. Quiproquos, surprises, grands airs étonnés, mensonges en tout genre (pour la bonne cause), ce bon vieux matériau tient la route. Leurs mésaventures se regardent sans bâiller. On entre dans Le meilleur reste à venir comme on chausse des charentaises.
Le Parisien
Fabrice Luchini et Patrick Bruel interprètent deux amis confrontés à la maladie, sur le ton de la comédie. Un tandem qui prend de l’ampleur dans la deuxième partie du film, plus grave et plus réussie.
Télérama
Bien dialogué, rythmé, non dénué de sensibilité quand il s’agit d’évoquer notre rapport à la finitude, ce film de potes doux-amer, réalisé par les auteurs du Prénom, s’appuie aussi sur un duo d’acteurs étonnant et attachant.
Voici
Bruel et Luchini se dépatouillent d'un scénario à base de quiproquos tirés par les cheveux.
aVoir-aLire.com
Une belle histoire d’amitié réalisée par les auteurs du Prénom qui, sur fond de quiproquos et de bons sentiments, demeure un divertissement de bonne tenue.
Le Journal du Dimanche
[...] des allers-retours plus ou moins réussis entre la poilade et le drame, du point de départ farfelu aux confessions touchantes de quinquas rarement sincères.
Sud Ouest
Malgré certaines scènes enlevées, le récit a vite fait de sombrer dans ce qui le guette dès le départ: une trame si théorique qu’on n’en ressent plus l’émotion souterraine censée manifester la vie dans sa dimension tragicomique.
Cahiers du Cinéma
Un savant pot-pourri d’indécence extraordinaire.
Les Inrockuptibles
[Le film], dès qu’il commence à parler soins palliatifs et cicatrices du passé dans des cafés de l’Ouest parisien, se vautre pour de bon – déjà parce qu'il n'y a rien de pire qu'un beauf qui se prend au sérieux, mais surtout parce qu'il ne veut absolument rien dire (les personnages successivement se haïssent, se pardonnent, s’adorent, sans la moindre justification, par pure fonctionnalité de scénario) et, donc, se fout de nous. De quel droit ?
Libération
C’est une bromance sans séduction vu le casting cabotin de têtes d’affiche à claques, sur un récit exempt de tout gag - l’association de tempéraments a priori sans atomes crochus n’y suffit pas - et progressivement ramolli par du sentimentalisme gaga [...].
Positif
Une fois l’argument de départ pesamment exposé, le film enchaîne les situations improbables et, sans jamais convaincre, alterne scènes à vocation absurde et séquences censées susciter l’émotion.