En allant le voir je m'attendais à rien. pas d'avis négatif et pas de positif. Et le film est vraiment super. Un énorme coup de nostalgie on se retrouve vraiment dans certaines scènes étant jeune et c'est pour ça que le film plaît autant.
"Play", ou comment ne pas mieux lancer par sa sortie ce 1er janvier, l'année et même la décennie 2020. D'ailleurs, c'est un peu le thème à propos "la décennie"... Preparez-vous à revivre une flopée d'émotions du début à la fin de ce petit bijou dans son originalité. Il fallait y penser, Max Boublil et Anthony Marciano l'ont fait et ça marche de bout en bout. On suit cette bande d'amis notamment depuis les années collège jusqu'à l'âge adulte avec un final que l'on n'aurait pu envisager autrement. Alice Isaaz est touchante, belle et porte aussi magnifiquement ce film. Entre nostalgie heureuse et moins heureuse, larmes (Oui oui, et il y avait des lustres que ça ne l'était pas arrivé !), des regrets, des envies et du rire pour colorer à souhait ce tableau d'émotions dans lequel chacun s'identifiera un peu au minimum, on ne peut qu'encenser la critique et encourager chacun à aller voir ce film.
Plutôt sympa, plutôt bien fait, malheureusement comme beaucoup de films français c'est l'apologie de l'alcool et du cannabis. Aussi, l'actrice principale (Isaaz) joue vraiment très mal. Camille Lou joue beaucoup mieux et aurait mérité le premier rôle. Le film est très prenant jusqu'à ce que Max Boulbil entre en scène et remplace à l'écran les acteurs - plus jeunes - sensés incarner son personnage plus jeune. La partie "adulte" nous perd complètement. C'est bien dommage. Les scènes "année 80/90" sont toutes très réussies à l'exception des fausses images dans la foule des champs Élysée lors de la victoire des bleus et la prononciation "moderne" des jeunes acteurs (notamment les R prononcés à la mode des quartiers) gâchent l'immersion pourtant quasi parfaite.
Superbe film qui s'adressera indiscutablement à ma génération (ceux nés entre 1975 et 1985), "Play" nous fait simplement revivre notre vie, nos émotions, les 25 dernières années, nos bonheurs, nos angoisses. Rythme soutenu, rires garantis, courrez le voir !
En allant le regarder, je m'attendais à voir un film comique comme les chansons que fait Max Boublil sur youtube. Quand le film a commencé, il annonce qu'il va nous montrer toutes les vidéos qu'il avait filmer pendant 25 ans. J'étais déçu. Il en a montré une, ensuite deux, et là je me suis dis, je suis sûr, je vais m'ennuyer, je crois que je vais partir. Au moment de me lever, je me suis dis: "et si j'avais tort"? J'ai ducoup changer d'avis et je me suis rassis. Je n'ai pas regretté car ce fut un excellent film. Je l'ai vu le 01 janvier 2020 mais c'est déjà pour moi parmis les meilleurs film de l'année.
Au début on se demande ce que l'on fait là et très vite on est pris dans la vie de Max, dans ses fous rires, ses peines et ses amours. A la fin on aimerait que le film continue. Allez y vous ne serez pas déçu.
J'avais peur en voyant la bande annonce et en faite j'ai adoré le film. Déjà la façon dont il est fait est très originale, il est drôle et touchant. Une belle histoire
Projeté ce soir. Pas particulièrement intéressé par la bande annonce , et au final superbe film porté par une troupe de comédiennes et comédiens attachant et très juste . Étant un peu plus vieux je me suis complètement identifié à cette histoire racontant la vie simple et tellement vrai de cette période 1990- 2010 - la famille les copains l'insouciance.... J'ai retrouvé dans ce film l'émotion d'un autre grand film nostalgique "le premier jour du reste de ma vie" Et un énorme bravo pour le travail technique pour rendre la qualité "d'époque" des vidéos et le soucis des détails de décors
Play agite un concept aussi simple que dangereux. Nulle voie de secours (même pas celle des avancées technologiques, qui accompagnent le film), et un paquet de chausse-trappes sur la voie. Surtout que la tendance à regarder en arrière est devenue un vrai fond de commerce pour s'assurer un (triste) avenir en salles ou en streaming. Les années 80 continuent de représenter un havre dans lequel on se love, mais il y a fort à parier que la décennie suivante va suivre le même chemin. La nostalgie, cet éternel recommencement. Et pourtant, on rembobine avec plaisir. Les pièges, Anthony Marciano (avec Max Boublil, également coscénariste) ne les contourne pas, il les déjoue. Oui, il y a un plaisir mignon et coupable à redécouvrir ces différents marqueurs temporels (cinéma, musique, évènement), à raviver des moments qui parleront à tous : l'amitié, les amours, les délires, les plans foireux, les échecs. Oui, ça on l'a déjà vécu de nombreuses fois à l'écran (chez John Hughes, par exemple). Mais ça marche aussi avec Play. Pourquoi ? Parce que c'est fait avec sincérité (ce qui n'est pas si fréquent). Les auteurs ont mis beaucoup d'eux dans le film (certaines anecdotes paraissent tellement folles qu'elles ne peuvent qu'être vraies). Ils marquent de nombreux points dans la première partie qui alternent purs moments de comédie et petites pastilles de tendresse. Je loue également le film pour se montrer étonnamment contemporain, dans ce qu'il raconte de ce rapport à l'image. Play interroge notre propension à vouloir immortaliser les moments sur support vidéo avant de chercher à les vivre, tout simplement. Le film évite l'écueil de la critique facile sur les technologies en pointant justement sur ce qu'elles révèlent chez leur possesseur (Timidité? Narcissisme? Repli ?) Le long-métrage retombe plus lourdement dans sa dernière partie, trop étirée et mélo (bien qu'elle contienne de jolies séquences). Mais l'énergie et l'excellence de la distribution : Alice Isaaz, Max Boublil et Noémie Lvovsky sont parfaits. Et il faut féliciter la drôlerie et le naturel des jeunes comédiens, tous époustouflants. Play est une belle surprise pour débuter l'année avec le sourire, la tête pleine d'images touchantes et comiques. Un petit fixe de nostalgie qui a plutôt l'allure de la fable intemporelle.
Premier feel good movie de l année et pas des moindres ! Je viens de voir un résumé de ma vie en 1h40. On rit, on s émeut, on vibre. Beaucoup d émotion et de nostalgie. J y suis allé avec mes enfants (12 et 13 ans) qui ont adoré également. Toutes les générations sont touchées ! Allez y !!!!!!!!!!!!!