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Un visiteur
5,0
Publiée le 3 janvier 2020
Ce film est réellement incroyable Il nous rend heureux , nostalgique même si nous n avons pas vécu en ce temps là il nous téléporte et nous fait vivre l histoire ce film en plus on s accroche énormément au personnage . Ce film m'a réellement touché c'était une merveille Merci à toute les personnes qui on réaliser ce film .
Quel bon moment ! Étant de la génération 1980, c'est un régal ! La façon de raconter l'histoire est très originale, et le travail de casting est remarquable, les générations défilent de façon très naturelle. Je recommande ! Et même pour les personnes qui ne sont pas de cette génération... Merci
" play" est une comédie à la française qui fait du bien. En effet c'est le premier film de 2020 auquel j'ai assisté et j'ai apprécié cette histoire qui retrace la vie de Max ( Max Boubil) ses amis et sa famille dans une compilation d'instatanes videos des années 1990 à aujourd'hui avec des moments drôles et parfois émouvant.
Du point de vue d'un grand nigaud de bientôt trente-cinq ans (trois ans de moins que Max, le héros du film), découvrir "Play" équivaut à l'étrange sensation d'avoir laissé en location les archives de sa mémoire à un parfait inconnu afin qu'il vous les fasse revivre sur grand écran avec d'autres visages ! C'est d'ailleurs là le tour de force du film d'Anthony Marciano ("Les Gamins") : aller puiser dans des souvenirs que l'on imagine évidemment personnels et leur faire acquérir une forme d'universalité pour toucher toute la génération ayant grandi à cette époque et aux alentours. Bien entendu, globalement, la vie de Max rapportée sur plusieurs décennies par l'objectif de sa caméra emprunte ses propres sentiers existentiels mais, dans la succession de moments qui les composent, il devient vite impossible de ne pas s'y reconnaître tant l'accumulation de ceux qu'on a le sentiment d'avoir plus ou moins partagé ne cesse de croître. Un décor beaucoup trop familier, une vanne débile que l'on aurait pu faire entre potes, un morceau de musique surgi du passé, une première expérience, un bonheur, un malheur, une occasion manquée évoluant en regret insoluble... On se prend en pleine tête un flot de séquences qui font en permanence écho à notre propre passé, le tout saisi avec une véracité tenant presque d'un pillage en règle de notre mémoire. "Play" devient ainsi une espèce d'incroyable compilation de sourires nostalgiques jouant sur une communion précieuse entre le spectateur et son héros mais également sur son format de vieilles VHS revisionnées où la manière de capter cette vie se conjugue aux émotions qui les gouvernaient alors. Le résultat est si irrésistible de bout en bout qu'il élude certaines questions dérangeantes (notre vécu est-il en lui-même si impersonnel, punaise ?) ou les passages parfois trop attendus de la vie de Max car, dans le fond, tout ça viendrait faire obstacle à l'expérience proposée par "Play" et surtout parasiter le bonheur procuré à l'intérieur de cette machine à remonter le temps que l'on serait bien bête de sciemment enrayer. Avouons-le, même avec les meilleurs a priori du monde, on ne s'attendait pas à un tel petit miracle capable de déclencher une euphorie mémorielle de tous les instants, une virée en grand huit dans notre passé où chaque sommet serait synonyme de la résurgence d'une émotion profondément enfouie ! Bien sûr, la réussite de "Play" doit beaucoup à l'impressionnante maîtrise d'Anthony Marciano -et ce à bien des niveaux- pour invariablement nous impliquer ou à son casting absolument formidable auquel on ne peut que s'identifier à travers les âges (Max Boublil et Alice Isaaz en tête) mais c'est peut-être parce qu'il raconte tout simplement une part de nous, et qu'il la raconte diablement bien, que le cœur du film fait autant battre le nôtre. La meilleure preuve ? Alors que l'on revisionne déjà mentalement les cassettes de Max en sortant du film, on se surprend en parallèle à souffler sur la poussière des nôtres, endormies depuis longtemps sur une étagère de notre esprit, avec une furieuse envie de les redécouvrir...
Anthony Marciano vient de réinventer le concept des "Onze commandements" : un tournage façon caméra amateur pour simuler une vie de blagues et d'amitié entre potes. C'est aussi original et créatif qu'un épisode de "Plus belle la vie". Il y a certes quelques bonnes vannes mais on baigne pendant une heure dans le potache. C'est régressif, à l'instar d'une soirée de trentenaires se rappelant leurs dessins-animés d'enfance. C'est dommage car Max Boublil et Anthony Marciano ont beaucoup de talent. Un amusement plus qu'un film.
J’ai adoré le film du début à la fin ! Les musiques,les images et les souvenirs ! Étant une grande fan de Max Boublil j’étais obligée d’aller le voir et je n’est pas été déçue du tout ! C’est incroyable et puis la fin est incroyable
Juste génial ! Premier film que je vois au cinéma en 2020 et c'est une réussite ! Toutes les émotions que l'on attend d'un film s'y trouvent. J'ai pleuré de joie et de peine. C'est le film de la vie de Max, une histoire dans laquelle on peut se retrouver, et un film que l'on aimerait avoir fait soi-même pour pouvoir tout revivre ! Le choix du casting est très bon, le choix de la musique excellent ! Bref, je le conseille vraiment à tout le monde !
" Play " est le film de nos vies, finalement, des années 80 aux années 2010, avec humour, joies, peines, amours, amitiés... Un bon film qui fait du bien, tout simplement. Le principe du film fonctionne très bien, et le casting est très bon. Peut être un manque d'émotions par moments (la caméra à l'épaule y est pour quelque chose), ce qui est un peu dommage. Mais l'ensemble reste très bien, et un excellente film de cette période de l'année.
Un film sur la vie tout simplement. Une vie qui se déroule devant nous, on rigole, on pleure. J’ai adoré ! Et les acteurs sont excellents surtout Max Boublil ! Je recommande.
Beaucoup aimé la première partie, bourrée d'idées avec plein de trouvailles 'nostalgiques" et une bande de jeunes acteurs épatants. Et puis, à l'arrivée de Boublil (beaucoup moins crédible en "vingtenaire" ou "pré-trentenaire" que Alice Isaaz), le postulat de départ ne suffit plus et le concept se gâche, on est moins surpris, moins happé en tant que témoin-voyeur privilégié, ça devient plus convenu. L'ensemble reste sympa mais je pensais aimer davantage.