AlloCiné
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Fêtons le cinéma
Exception faite de quelques rares scènes où la situation voulue cocasse vire au drame, Play ne pense jamais sa dimension feel good comme le versant positif d’une médaille que serait l’existence, si bien que la noirceur inhérente à la vie humaine et nécessaire pour en révéler les trouées lumineuses – ces moments de bonheur auxquels on se raccroche quand tout va mal – est évacuée au profit d’un enchaînement de sketchs rappelant, au passage, la télé des Nuls. Car le dispositif mis en place par Anthony Marciano et Max Boublil, s’il est bel et bien ludique, cache une ambition plus contestable : inscrire son « geste » comique dans la continuité de celui des Nuls, dont ils se revendiquent d’abord pour mieux s’en affranchir ensuite et prendre le relais. Le film amateur mis en scène par les enfants évoque Red is dead, la blague sur le doigt de whisky est tirée de La Cité de la Peur, Alain Chabat campe même un petit rôle. Pourquoi contestable ? Parce que cette filiation forcée s’inscrit dans une démarche qui est celle de la mémoire culturelle d’une génération, à grand renfort de moments importants des années 90 – coupe du monde, passage à l’an 2000. C’est dire que le dispositif n’est qu’un truc, qu’un artifice destiné à conférer à l’équipe une légitimité déguisée sous le faux hommage envieux. En retour, Play ne crée rien : son dispositif déroule une vie de façon linéaire et choisit, en prétextant le visionnage de toutes ses cassettes, ce qui l’intéresse, à savoir les moments de camaraderie ou les gros délires, certes drôles, mais déjà vus. Le long métrage flatte une mémoire générationnelle qui est tronquée, qui sélectionne les souvenirs pour illustrer l’idée que c’était mieux avant. C’était forcément mieux, puisque sont éludés tous les événements susceptibles de perturber cette belle utopie. En subordonnant son dispositif à la linéarité d’une trajectoire, Play déroule son récit de la façon la plus conventionnelle qui soit, sans que la superposition des âges, la confusion des époques, l’entrelacs des bandes vidéo ne donnent à voir et à vivre une existence remémorée par bribes, par fragments. Reste un divertissement aux sketchs bien écrits et portés par de bons acteurs.
Un vrai bonheur que ce film réunissant une bande de potes que l'on peut suivre durant 25 ans. C'est complétement foutraque et assumé. Max Boublil et ses compères nous offrent des tranches de vie teintées de nostalgie à foison. "Play" retrace les plus grands moments de ces dernières années avec du matériel vintage et la caméra de Max comme prétexte. Le film n'oublie pas d'être extrêmement drôle et le couple Max/Emma (Alice Isaaz) apporte une touche de romantisme bienvenue. Un pur moment de plaisir pour les quadragénaires (et les autres) qui se reconnaîtront dans cette comédie générationnelle.
J’en suis encore tout retourné, superbe comédie dramatique, Bravo au réalisateur et au acteurs . Je ne peux que vous le conseiller !!!
Film oú l'on s'admire beaucoup, en toutet complaisance, entre potes parisiens, et qui aurait dû rester dans les souvenirs des scénaristes. Bloubil en 24 ans, pas très crédible. Il n'y avait pas d'acteurs convaincants de cet âge ?
Génial ! Quelle bouffée de nostalgie.
Né en 81 je me suis remémoré toutes ces belles années et les amis qui m’ont accompagné dans toutes les étapes.
Une bonne claque comme je les aime, j’ai ressenti
Les memes émotions dans le film le dernier jour du reste de ta vie.
Né en 81 je me suis remémoré toutes ces belles années et les amis qui m’ont accompagné dans toutes les étapes.
Une bonne claque comme je les aime, j’ai ressenti
Les memes émotions dans le film le dernier jour du reste de ta vie.
Film Magnifique Qui Allie Rire et Drame Un Film Sur ce qui est la vie Pour Moi Dommage Qu'il N'a Pas eu Un Grand Succès En Salle Quand On Voit Le Travail Pour Filmer Et Un Bon Jeu D'acteur de Alice Isaaz Bref Un Très Bon Film Français Que Je Conseille à tous.
Film mignon et poignant nous fessant penser au film "Le Premier Jour Du Reste De Ta Vie". Un vent frai sur la méthode de found footage, trop souvent utiliser pour l'horreur. Un bon jeu d'acteur dont se démarque Max Boublil qui nous livre un personnage comme toi et moi fessant ça jeunesse entre amis, farces, famille et amour. C'est un petit bijou, on ressent bien les moments durs comme les moments heureux.
FaRem
Il y a des films qui nous parlent plus que d'autres et qui nous touchent personnellement et "Play" est l'un de ceux-là. Ce n'est pas un chef d'oeuvre ou le meilleur que j'ai vu, bien évidemment, et ce malgré la note que je lui donne, mais j'ai adoré chaque instant passé en le regardant. C'est un film qui parle totalement au nostalgique que je suis avec ce regard ému, attendrissant et un peu amer sur le passé. Anthony Marciano et Max Boublil nous proposent un film très personnel largement inspiré de leurs vies qui peut parler à tous et c'est sa plus grande qualité. C'est le film d'une génération, mais pas seulement, car à quelques détails générationnels près, on peut tous se reconnaître là dedans. La relation avec les potes et avec les parents, les premières fois, le premier amour, les craintes et surtout les regrets, car Max a vécu une bonne partie de sa vie avec des regrets. On est tous passés par ces étapes de la vie et c'est retranscrit avec tellement de justesse qu'on a parfois l'impression de voir une partie de sa vie projetée à l'écran. L'utilisation de la caméra au poing est juste géniale. Toute la première partie sur l'enfance est vraiment excellente. On a vraiment l'impression d'y être et de voir de véritables souvenirs d'enfance. C'est aussi assez bluffant de voir l'évolution des personnages avec des acteurs qui semblent grandir devant nos yeux. Il y a plusieurs changements d'acteurs et on y voit que du feu. Tous sont excellents et participent grandement à la réussite du film. Max Boublil est fidèle à lui-même tandis que Alice Isaaz est toujours aussi superbe. Une performance équilibrée et pleine de justesse à l'image de cette histoire qui alterne les moments de franches rigolades entre potes et les instants de vie plus touchants et attendrissants. Anthony Marciano gère d'ailleurs très bien ces moments comme le
spoiler:
départ du père ou la mort de la mère
. Il n'en fait pas trop, mais parvient quand même à susciter l'émotion. Bref, "Play" est un excellent film qui fait passer du rire aux larmes et qui fait surtout passer un excellent moment.
. Il n'en fait pas trop, mais parvient quand même à susciter l'émotion. Bref, "Play" est un excellent film qui fait passer du rire aux larmes et qui fait surtout passer un excellent moment.
Génial et très attachant.
Pleins de souvenirs des années 80 qui reviennent au fur et à mesure de l'avancer du film.
Drôle et émouvant par passage et une super interprétation.
Un bon moment pleins de bonheur.
Pleins de souvenirs des années 80 qui reviennent au fur et à mesure de l'avancer du film.
Drôle et émouvant par passage et une super interprétation.
Un bon moment pleins de bonheur.
J'ai adorer, jamais je me suis lasser, j'ai mes les deux personnages d'affection et je suis même parvenue a ressentir ses emotions. Waaw
Voilà un film que chaque jeune de mon âge (né dans les années 80) se retrouve complètement. Ce film est une super idée, J'ai rêvé dans faire un un jour, et Anthony Marciano la fait parfaitement.
J'ai bien aimé ce film sans prétention mais qui m'a fait passé un excellent moment en me replongeant dans ma jeunesse.
Max Boublil joue à merveille ce rôle d'éternel adolescent qui continue à faire des moments simples de la vie, des moments drôles et divertissants.
Max Boublil joue à merveille ce rôle d'éternel adolescent qui continue à faire des moments simples de la vie, des moments drôles et divertissants.
25 ans de la vie d'un homme, vus à travers les cassettes vidéo qu'il a tourné sur son petit caméscope depuis son adolescence, en 1993.
Le concept est audacieux et donne une impression d'authenticité, de voir tout ce qui caractérise une existence: jeunesse, amour, amitié, moments tristes, moments heureux, mariage, naissance...Même la relation si particulière entre Max Boublil et Alice Isaaz ressort de cette multitudes de scénettes spoiler: jusqu'à la fin (attendue) en happy-end.
En fait, toutes les étapes de la vie sont détaillées, avec une bonne répartition de chacun de ces moments, et sont parfois raccordées au "temps extérieur" pour titiller la zone souvenir de notre cerveau, du moins pour ceux qui auront connu ces années là (coupe du monde 1998, passage à l'an 2000, musiques des années 90...).
Finalement, derrière la caméra de Max, c'est le film de notre propre vie qui défile ou tout au moins nous y piochons des passages qui nous renvoient à notre propre vie.
Le concept est audacieux et donne une impression d'authenticité, de voir tout ce qui caractérise une existence: jeunesse, amour, amitié, moments tristes, moments heureux, mariage, naissance...Même la relation si particulière entre Max Boublil et Alice Isaaz ressort de cette multitudes de scénettes spoiler: jusqu'à la fin (attendue) en happy-end.
En fait, toutes les étapes de la vie sont détaillées, avec une bonne répartition de chacun de ces moments, et sont parfois raccordées au "temps extérieur" pour titiller la zone souvenir de notre cerveau, du moins pour ceux qui auront connu ces années là (coupe du monde 1998, passage à l'an 2000, musiques des années 90...).
Finalement, derrière la caméra de Max, c'est le film de notre propre vie qui défile ou tout au moins nous y piochons des passages qui nous renvoient à notre propre vie.
Dans sa globalité, j’ai trouvé que c’était vraiment un bon film. Il y a une touche d’originalité qui a été faite avec le concept du visionnage de cassette. Ça donne une dynamique intéressante surtout que c’est très bien respecté. J’avoue qu'au début j’étais sceptique. Le démarrage est quelque peu laborieux en étant trop décousu. Ce n’est pas évident de rentrer dedans. J’ai commencé à bien kiffer quand ils arrivent à l’adolescence. À noter tout de même que toute la partie rétro est géniale dans son ambiance. On retrouve beaucoup de références et cela permet de revivre des souvenirs. Chaque détail a été pensé. Ensuite, on commence à attaquer le « sérieux ». J’étais beaucoup plus réceptif à l’humour qui venait et j’ai bien rigolé jusqu’à la fin. Je peux même dire que plus ça avançait, plus j’appréciais. Une fois qu’elle a pris forme, cette histoire est pas mal du tout. Je me suis bien attaché au personnage de Max. Il est interprété à tour de rôle par Mathias Barthélémy (13 à 15 ans), Alexandre Desrousseaux (16 à 18 ans) et enfin Max Boublil. La continuité entre les trois se tient bien. J’aime particulièrement Max Boublil qui a une façon de jouer qui me plaît bien. J’accroche beaucoup avec son humour. Il est bien entouré pour l’occasion avec Malik Zidi, Arthur Perier-Pillu et Alice Isaaz. Les voir évoluer ensemble est assez fun. Il y a une bonne alchimie comme une bande de potes.
Difficile de se dire que tout est joué (principalement le début du film) tant les jeunes acteurs sont naturels.
Les scènes s'enchaînent sans temps mort et la nostalgie est à son comble (on va dire pour les trentenaires /quarantenaires concernés... ) tant on arrive à se retrouver dans ces "tranches de vie".
C'est à la fois drôle et émouvant, sans jamais tomber dans la lourdeur ou le pathos, et la bande son est top....en bref, une petite réussite pour bien commencer l'année.
Les scènes s'enchaînent sans temps mort et la nostalgie est à son comble (on va dire pour les trentenaires /quarantenaires concernés... ) tant on arrive à se retrouver dans ces "tranches de vie".
C'est à la fois drôle et émouvant, sans jamais tomber dans la lourdeur ou le pathos, et la bande son est top....en bref, une petite réussite pour bien commencer l'année.
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