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Kevin dioles
45 abonnés
681 critiques
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3,5
Publiée le 15 septembre 2019
1947, suite à la seconde guerre mondial, plusieurs aviateurs casse-cous, de nationalité américaine se reconvertissent en pilote d'essaie. Mais dans le plus grand secret, les Russes regardent le ciel d'une autre façon. Un coup de tonnerre éclate en 1957, l' URSS à lancé son premier Spoutnik. La compétition de la conquête spatiale s'engage alors entre l' URSS et l'USA. Les américains mettent en place le programme MERCURY, qui commence par le recrutement des futurs astronautes, et développement des essaies fusées. Grace à cette reconstitution historique, le réalisateur PHILIP KAUFMAN nous fait revivre l'épopée des pionniers de l'aérospatial apportant son lot d'échecs et de succès. Les réalisations des scènes dans les airs ainsi que dans l'espace sont d'une grande qualité technique. Un casting d'acteurs, à la hauteur des vrais astronautes, nous fait découvrir la vie privée et professionnel de ces héros inconscients, qui ont ouvert la porte des étoiles. Dans l'introduction ainsi qu'à la fin du film, la narration en version française faite par le maitre du doublage Roger Carel, au timbre de voix fantaisiste, donne un aspect ridicule et peut décevoir. A mon avis, ce long métrage aurait pu se passer de certaine scènes, ce qui lui aurait donné une plus grande énergie. Pour tous les passionnés de ce grand pas en avant, ce film retrace une belle aventure humaine.
L'étoffe des heros ressemble plus a un documentaire qu'a un film d'aventure. Sont retracées les différentes étapes de la conquête du ciel et de l'espace par les américains, sans qu'il n'y ai réellement de récit ou de trame dramatique, et jamais l'on ne s'attache au différents personnages, qui sont trop succinctement portraiturés, à tel point qu'ils en deviennent interchangeables. Certaines scènes sont répétitives (les différentes tentatives de dépassement du mur du son et de lancement de fusées) et allongent inutilement la narration. Enfin l'on ne comprend pas très bien pourquoi deux arcs narratifs se superposent sans jamais réellement s"entre-meler. 21.12.17
Film très long et plutôt ennuyeux. Il n'y a pas de véritable intrigue, que des petites histoires qui se succèdent, ça pourrait même être une série. Points positifs, de très belles images et un sujet intéressant.
Le concept est intéressant : relater l'histoire de héros aéronautiques et spatiaux entre les années 40 et 60. Le problème c'est que le résultat est trop long et trop décousu. Beaucoup de clichés et trop d'intrigues différentes pour ne pas avoir l'impression de regarder une série documentaire. Il y a quelques moments épiques et des éléments intéressants comme une critique des journalistes et les points de vue des femmes de ces pilotes. Les scènes de vol sont visuellement bien conservées, les acteurs (Sam Shepard, Ed Harris, Scott Glenn, Dennis Quaid) rendent leurs personnages charismatiques et attachants. La musique de Bill Conti fait une utilisation magnifique de "Mars" de Gustav Holst et du claire de Lune de Debussy mais plagie littéralement le concerto pour violon de Tchaikovsky en guise de thème principal.
Le scénariste d’Indiana Jones réalise ici une fresque épique adaptée du roman de Tom Wolfe, dans laquelle il revisite le premier programme spatial américain, celui-la même qui précéda les premiers pas de l’homme sur la Lune. Le programme Mercury visait à envoyer des hommes en orbite, chacun leur tour, ils s’offrirent ainsi le voyage de leurs rêves, après les nombreuses tentatives infructueuses de la NASA. Si Philip Kaufman réalise là une très belle œuvre, elle ne sera pourtant pas l’œuvre de science-fiction auquel on s’attendait. Tout d’abord parce que ses 190 minutes sont d’une longueur exaspérante, le film commence réellement à prendre son ampleur et à devenir intéressant qu’à partir de la seconde partie et pour cela, il faut patienter 60 minutes. A partir de là, le film nous offre une alléchante distribution dans laquelle on retrouve Sam Shepard, Scott Glenn, Ed Harris, Dennis Quaid, Fred Ward & Lance Henriksen. Si la mise en scène est très répétitive, on pourra tout de même féliciter les excellentes reconstitutions (et images d’archives) ainsi que les très belles prises de vues aériennes. Mais malgré cela, le film est bien trop lent, long et redondant pour permettre d’y adhérer totalement et pleinement.
Je trouve que les personnages ne sont pas beaucoup crédibles. Le réalisateur semblent s'être arrêté aux clichés usuels sur les pilotes d'avions (des joyeux lurons as du manche à balai). L'histoire se répète et est trop longue. D'autre part elle hésite entre l'histoire romancée du Colonel Charles Elwood Yeager (personnage réel héro de la Seconde Guerre Mondiale comme pilote d'avion devenu pilote-instructeur puis pilote d'essai), et l'histoire du début de la conquête spatiale qui est quand même tout autre chose (en parculier beaucoup plus politique).
Ce très long métrage fait passer la soirée d'une manière convenable. Je déplore 20 minutes de film en trop au début et encore 20 minutes en trop à la fin.
Le début du film est fastidieux et long. La conquête spatiale est un sujet intéressant et on ne peut qu'apprécier les moments où ils volent mais c'est à terre que ça se gâte: les sélections, les préparations, des dialogues insipides dans des bars ou des discussions inintéressantes ternissent le propos pourtant passionnant.
Même en trois heures, l'ambition de raconter à la fois les difficultés techniques, relationnelles et politiques de l'opération Mercury entraîne des simplifications et surtout des silences quant aux côtés sombres des héros et aux coulisses des avancées ou échecs technologiques. En outre, malgré un excellent casting, le film souffre de son âge, tant dans la mise en scène que dans les effets spéciaux. Si le sujet intéresse, il faut visionner la géniale série Disney +!
Basé sur l’exploit américain du déplacement aérien à la vitesse du son, en gros le mur du son, je ne resterais pas longtemps car à en juger l’ennuie ressenti, tout est dit. Une quantité pharaonique de script qui m’a laisser bouche bé en l’espace de 30 min pour une durée totale sur les vols aériens et des passages dans l’espace ainsi que d'autres petites scènes d’action par ci par là ne dépassant guère les 30 min ou les 15 j'en suis trop généreux. Une durée de 3h07 amplement trop longue pour ce qui nous est montrer. Un échec puissant qui m’aura pousser à accélérer tellement je m’ennuyais.
Une fresque passionnante, au casting dantesque, pour raconter une histoire de pionniers héros et relativiser quelque peu les expériences touristico-mégalomano-spatiales récentes. Trois heures très bien occupées!
Il faut je crois s'intéresser un peu à l'histoire de l'astronautique pour apprécier cette épopée, Si Kaufman montre l'héroïsme de ces hommes qui n'ont pas eu peur d'affronter la mort, (une belle part d'inconscience peut-être) il est intéressant de découvrir la côté caché des choses, spoiler: Alan Shepard et son envie de pisser, John Glenn envoyant bouler le vice-président Johnson, la femme de Grissom faisant une crise car elle ne pourra pas papoter avec la femme de Kennedy, les journalistes faisant n'importe quoi… Côté distribution c'est presque un sans-faute, malheureusement Denis Quaid qui cabotine en nous la jouant kéké est une erreur de casting. La réalisation est soignée avec un effort de reconstitution étonnant. On regrettera aussi la séance australienne que j'ai renoncé à comprendre. La musique est un peu pompier mais ça va bien avec le film. Du bon cinoche !
L'histoire américaine de la conquête spatiale avec les premières capsules, l'entraînement des pilotes et quelques touches d'humour de situations non pensées par les techniciens comme les problèmes d'ordre urinaires... Un peu long mais pas mal. Encore que j'aurai aimé que le film aille plus loin dans le temps. Il s'arrête aux premiers américains dans l'espace parmi 7 heureux élus. Bon divertissement avec la propagande habituelle, les clappements de mains et la musique d'ambiance dramatique pendant le suspens.
Un must de des films sur la conquête spatiale qui aborde très clairement l'aspect psychologique et les sentiments des héros. On ressent la tension, le stress, la joie, le courage de ces hommes. Il fait toujours plaisir à voir et à revoir!!!