L'Homme dauphin, sur les traces de Jacques Mayol : Critique presse
L'Homme dauphin, sur les traces de Jacques Mayol
Note moyenne
3,1
9 titres de presse
L'Express
La Croix
L'Obs
Le Figaro
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Télérama
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
L'Express
par Antoine Le Fur
Passionnant, "L'Homme dauphin" parvient à montrer la complexité d'un homme que le cinéma a érigé en héros des temps modernes.
La Croix
par Céline Rouden
Le documentaire très complet s’accompagne de magnifiques images sous-marines cherchant à restituer par les sens l’expérience des grandes profondeurs et la dimension spirituelle de la démarche du plongeur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un album souvenir assez classique dans sa facture, mais qui se feuillette avec plaisir, grâce à la beauté enivrante des prises de vues en immersion.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Qu'il soit «cynique» ou «charismatique», le portrait de «l'homme dauphin» est richement documenté par le réalisateur grec.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Affranchi des codes de la société, sans aucune attache et voyageant de continent en continent entre terre et mer… la vie de Jacques Mayol fut un véritable roman. Qui valait bien un documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
(...) un documentaire aussi sympathique que bancal.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Mis à part une vision assez mièvre de l’océan et de sa faune (...) et une imagerie qui fait par moments clip promotionnel de club d’apnée, le film vaut comme portrait réussi d’un homme doté du charisme de Clark Gable, de poumons surhumains, d’une philosophie du retour à la nature et d’une déchirante mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Jérémie Couston
Le grand mérite de ce documentaire, à la réalisation très sage, est de faire la lumière sur la vie très romanesque de Jacques Mayol, grand séducteur, chauffeur de Zsa Zsa Gabor à Hollywood, maître zen au Japon, et même réalisateur d’un film érotique sous-marin (Lure of the triangle, 1977).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Sophie Benamon
Entendre le véritable Enzo Molinari (interprété à l’écran par Jean Reno) raconter leur rivalité est captivant. Il y a aussi la vie d’un père racontée par une fille qui le voyait s’éloigner dans ses rêves et ses passions. Car Jacques Mayol reste aussi un mystère.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
Passionnant, "L'Homme dauphin" parvient à montrer la complexité d'un homme que le cinéma a érigé en héros des temps modernes.
La Croix
Le documentaire très complet s’accompagne de magnifiques images sous-marines cherchant à restituer par les sens l’expérience des grandes profondeurs et la dimension spirituelle de la démarche du plongeur.
L'Obs
Un album souvenir assez classique dans sa facture, mais qui se feuillette avec plaisir, grâce à la beauté enivrante des prises de vues en immersion.
Le Figaro
Qu'il soit «cynique» ou «charismatique», le portrait de «l'homme dauphin» est richement documenté par le réalisateur grec.
Le Parisien
Affranchi des codes de la société, sans aucune attache et voyageant de continent en continent entre terre et mer… la vie de Jacques Mayol fut un véritable roman. Qui valait bien un documentaire.
Les Fiches du Cinéma
(...) un documentaire aussi sympathique que bancal.
Les Inrockuptibles
Mis à part une vision assez mièvre de l’océan et de sa faune (...) et une imagerie qui fait par moments clip promotionnel de club d’apnée, le film vaut comme portrait réussi d’un homme doté du charisme de Clark Gable, de poumons surhumains, d’une philosophie du retour à la nature et d’une déchirante mélancolie.
Télérama
Le grand mérite de ce documentaire, à la réalisation très sage, est de faire la lumière sur la vie très romanesque de Jacques Mayol, grand séducteur, chauffeur de Zsa Zsa Gabor à Hollywood, maître zen au Japon, et même réalisateur d’un film érotique sous-marin (Lure of the triangle, 1977).
Première
Entendre le véritable Enzo Molinari (interprété à l’écran par Jean Reno) raconter leur rivalité est captivant. Il y a aussi la vie d’un père racontée par une fille qui le voyait s’éloigner dans ses rêves et ses passions. Car Jacques Mayol reste aussi un mystère.