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Le choc des cultures est bénéfique pour tout le monde dans cette comédie vitaminée, prix du public au Festival de l’Alpe d’Huez et coproduit par Jamel Debbouze.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Au cœur d’une cité de La Courneuve (Seine-Saint-Denis), le duo formé par Malik Bentalha et Gilles Lellouche, dans le film de Mohamed Hamidi, nous offre de pures séquences comiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mohamed Hamidi se joue des clichés et signe un film énergique - prix du public au Festival de l'Alpe d'Huez - qui fait du bien, avec un Gilles Lellouche attachant en PDG stressé.
Le feel good movie est porté par la tchatche sympa de Malik Bentalha, encore dans un rôle de gauche maladroit, façon grand brun avec une chaussure noire. Il est impayable face à Gilles Lellouche, impeccable.
Excepté quelques saillies drolatiques assénées par Malik Bentalha, exceptionnel en maître-chien peu vaillant, le film empile avec une certaine complaisance un grand nombre de poncifs sur Paris et sa périphérie.
C’est Gilles Lellouche, décidément incontournable ces temps-ci et qu’on se réjouit une fois encore de retrouver, qui donne à Fred Barthel, cynique sur la voie d’une métamorphose, un dynamisme bonhomme et une faconde chaleureuse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le cinéaste se joue habilement des caricatures pour mieux déconstruire les préjugés de tous bords, sans jugement ni propos moralisateurs. Seul petit bémol, la recherche d’efficacité comique se fait parfois au détriment de l’émotion, avec un happy end trop convenu.
Si l'ironiquement titré "Jusqu'ici tout va bien" n'échappe pas à la caricature avec ses personnages monochromes empêtrés dans les problématiques de l'époque, le film a le mérite, dans le registre de la fiction estampillée populaire, de faire preuve d'une habileté scénaristique supérieure à la moyenne.
S’il y a un peu d’esprit Bisounours dans l’air – c’est une pure comédie –, Mohamed Hamidi s’amuse des clichés et des préjugés réciproques pour mieux les tacler et signer une savoureuse fable sociale bourrée de bonnes ondes et de punchlines.
A condition de ne pas y chercher du cinéma, cette comédie bon enfant du réalisateur de "la Vache", produite par Jamel Debbouze, se regarde avec la sympathie qu'on a pour Gilles Lellouche et Malik Bentalha, en jeune de banlieue volontaire et gaffeur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ouest France
Une comédie sociale portée par deux acteurs au top.
20 Minutes
Le choc des cultures est bénéfique pour tout le monde dans cette comédie vitaminée, prix du public au Festival de l’Alpe d’Huez et coproduit par Jamel Debbouze.
Closer
Naïvement charmante, cette comédie sociale sur l'ouverture aux autres se joue des clichés qu'on aurait pu attendre sur la banlieue.
Femme Actuelle
La situation est bien exploitée, avec du rythme, et une galerie de personnages secondaires très réussie.
LCI
Mohamed Hamidi balaye les préjugés des banlieues avec finesse et intelligence.
Le Parisien
Au cœur d’une cité de La Courneuve (Seine-Saint-Denis), le duo formé par Malik Bentalha et Gilles Lellouche, dans le film de Mohamed Hamidi, nous offre de pures séquences comiques.
Télé Loisirs
Mohamed Hamidi se joue des clichés et signe un film énergique - prix du public au Festival de l'Alpe d'Huez - qui fait du bien, avec un Gilles Lellouche attachant en PDG stressé.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le feel good movie est porté par la tchatche sympa de Malik Bentalha, encore dans un rôle de gauche maladroit, façon grand brun avec une chaussure noire. Il est impayable face à Gilles Lellouche, impeccable.
L'Express
Excepté quelques saillies drolatiques assénées par Malik Bentalha, exceptionnel en maître-chien peu vaillant, le film empile avec une certaine complaisance un grand nombre de poncifs sur Paris et sa périphérie.
La Croix
C’est Gilles Lellouche, décidément incontournable ces temps-ci et qu’on se réjouit une fois encore de retrouver, qui donne à Fred Barthel, cynique sur la voie d’une métamorphose, un dynamisme bonhomme et une faconde chaleureuse.
La Voix du Nord
Une comédie qui ne révolutionne ni le genre ni le propos mais qui est intelligente et sensible.
Le Journal du Dimanche
Le cinéaste se joue habilement des caricatures pour mieux déconstruire les préjugés de tous bords, sans jugement ni propos moralisateurs. Seul petit bémol, la recherche d’efficacité comique se fait parfois au détriment de l’émotion, avec un happy end trop convenu.
Positif
Si l'ironiquement titré "Jusqu'ici tout va bien" n'échappe pas à la caricature avec ses personnages monochromes empêtrés dans les problématiques de l'époque, le film a le mérite, dans le registre de la fiction estampillée populaire, de faire preuve d'une habileté scénaristique supérieure à la moyenne.
Première
Une vraie comédie feel good imparable.
Télé 7 Jours
S’il y a un peu d’esprit Bisounours dans l’air – c’est une pure comédie –, Mohamed Hamidi s’amuse des clichés et des préjugés réciproques pour mieux les tacler et signer une savoureuse fable sociale bourrée de bonnes ondes et de punchlines.
Voici
Même très improbable, le film est sacrément drôle.
L'Obs
A condition de ne pas y chercher du cinéma, cette comédie bon enfant du réalisateur de "la Vache", produite par Jamel Debbouze, se regarde avec la sympathie qu'on a pour Gilles Lellouche et Malik Bentalha, en jeune de banlieue volontaire et gaffeur.
Les Fiches du Cinéma
Mohamed Hamidi déçoit avec ce film anodin, ni original, ni vraiment drôle. Les acteurs pourtant ne déméritent pas.
Cahiers du Cinéma
Le point de vue est celui des opulents et de fait, tout se résout par l’argent.
Le Figaro
Après La vache, Mohamed Hamidi déçoit en offrant un conte sans fées et avec de gentils dealers.