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Un visiteur
5,0
Publiée le 25 décembre 2007
poignant et marquant!j'ai vu ce film la 1ere fois depuis sa sortie soit il ya plus de six ans et à chaque fois que je m'en souviens j'ai carrément les larmes aux yeux!j'etais frappée par le réalisme des scenes les atrocités commises en guerre et le courage de ces reporters qui risquent leur vie pour faire voir au monde la vérité.bravo pour Mr chouraqui bravo pour les acteurs (magnifiques macdowel) et bravo pour cette lecon de courage et d'espoir mais s'il ya des scenes choquantes mais ce n'est que la réfelxion de la vérité!on ne peut qu'admirer ce chef d'oeuvre
Un film très dur sur les reporteurs de guerre et qui porte enfin à l'écran l'horreur de la guerre du kossovo. Pas de violence gratuite et injustifiée...un simple portrait de l'atrocité de ce génocide. De magnifiques sentiments en trame de fond font de ce film un petit bijou à ne manquer sous aucun prétexte...
Harrison's flowers: une phrase mémorable grace à un magnifique film qui est une totale immersion dans le milieu violent de la guerre. Il y a un jeu d'acteur sensible grâce à une Andie McDowell à bout de souffle, bref une vision réaliste des combats humains: tout simplement un chef d'oeuvre!! Merci au réalisateur et aux acteurs !!
Je vois ce film comme un hommage à la photographie et une vraie bombe à émotion. On souffre avec l'héroïne, malgré le côté un peu mélodramatique, cela reste réellement prenant. Cela a été une expérience formidable de découvrir tout un monde, celui des photographes de guerre, qui tels des touristes prennent tout en photo, ne semblant pas avoir leur place dans cet environnement terrible, au milieu des cadavres et qui risquent leur vie pour le devoir à l'information et la photo, toujours la photo.
J'ai apprécié personnellement les "flashforward" qui certes enlèvent tout suspense puisque les personnages laissent deviner ce qu'il va se passer et que si nous ne voyons pas l'un d'eux, nous pouvons deviner qu'il n'a pas survécu, ceci dit cela apporte une voix extérieure et détend un peu l'atmosphère.
Exceptionnel. Tout au long du film on respire la peur, on respire l'angoisse, et aussi on mesure ce qu'il y a dans l'homme d'inhumain, de bestial. Comme dit Schoendoerfer dans un de ses livres "Là bas" je crois, les circonstances exceptionnelles révèlent les deux natures fondamentales de l'homme : "L'homme est fou, l'homme est un tueur".