Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Libération
par Camille Nevers
Ce premier long métrage de João Paulo Miranda Maria est parmi les plus forts de cette bizarre, inconstante, année 2022. Eprouvant, persistant, magnifique, il avance sans relâche dans l’hallucination qu’il donne à contempler, plan après plan, surprise après splendeur, un tremblement lent succède à la froide fureur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film envoûtant à haute intensité politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Yannick Lemarié
Derrière la beauté somptueuse des images – parfois énigmatiques – Memory House raconte le parcours d’un homme qui, soutenu par les esprits, œuvre à sa libération complète.
Télérama
par Samuel Douhaire
Le naturalisme et le fantastique se mêlent avec bonheur, dans la grande tradition de la littérature latino-américaine, grâce à un travail remarquable sur les couleurs et à une bande-son envoûtante. Avec aussi, dommage !, des effets de mise en scène qui virent au système et un usage trop appuyé de la métaphore bovine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Mais, au résultat, c’est répétitif et sans finalité. Comme si le cinéaste était en quête de sensations, mais jamais de sens.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Ce drame social, quasiment dépourvu de dialogues, repose sur son atmosphère onirique et le regard magnétique de son acteur principal. Mais la mise en scène elliptique, le scénario décousu et nébuleux ainsi que le rythme lent, maintiennent le spectateur à distance, qui ne comprend pas ce que cherche à lui dire le réalisateur et finit par s’ennuyer.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Sylvestre Picard
Bon, c’est histoire de trouver une référence, parce que cette métaphore très appuyée du colonialisme brésilien a beau produire quelques belles visions nocturnes, le film utilise en fin de compte une symbolique ultra lourde et des moyens de cinéma trop « art et essai » pour provoquer autre chose qu’un ennui poli.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
Ce premier long métrage de João Paulo Miranda Maria est parmi les plus forts de cette bizarre, inconstante, année 2022. Eprouvant, persistant, magnifique, il avance sans relâche dans l’hallucination qu’il donne à contempler, plan après plan, surprise après splendeur, un tremblement lent succède à la froide fureur.
Les Fiches du Cinéma
Un film envoûtant à haute intensité politique.
Positif
Derrière la beauté somptueuse des images – parfois énigmatiques – Memory House raconte le parcours d’un homme qui, soutenu par les esprits, œuvre à sa libération complète.
Télérama
Le naturalisme et le fantastique se mêlent avec bonheur, dans la grande tradition de la littérature latino-américaine, grâce à un travail remarquable sur les couleurs et à une bande-son envoûtante. Avec aussi, dommage !, des effets de mise en scène qui virent au système et un usage trop appuyé de la métaphore bovine.
L'Obs
Mais, au résultat, c’est répétitif et sans finalité. Comme si le cinéaste était en quête de sensations, mais jamais de sens.
Le Journal du Dimanche
Ce drame social, quasiment dépourvu de dialogues, repose sur son atmosphère onirique et le regard magnétique de son acteur principal. Mais la mise en scène elliptique, le scénario décousu et nébuleux ainsi que le rythme lent, maintiennent le spectateur à distance, qui ne comprend pas ce que cherche à lui dire le réalisateur et finit par s’ennuyer.
Première
Bon, c’est histoire de trouver une référence, parce que cette métaphore très appuyée du colonialisme brésilien a beau produire quelques belles visions nocturnes, le film utilise en fin de compte une symbolique ultra lourde et des moyens de cinéma trop « art et essai » pour provoquer autre chose qu’un ennui poli.