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10 critiques presse
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un hommage vibrant qui invite à redécouvrir l'œuvre de ce poète maudit de l'ère soviétique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Marcos Uzal
Ces plans paraîtraient simplement poussiéreux s’ils n’étaient que des effets mimétiques mais, rythmés par les rencontres et errements de Dovlatov, ils parviennent à créer une durée envoûtante, un temps à la fois flottant et oppressant, où s’entremêlent l’ennui et la joie, des touches comiques et des éclairs tragiques, où pèsent constamment une angoisse sourde et un sentiment d’étouffement, d’absurdité générale.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
La beauté de Dovlatov tient à ses plans-séquences onduleux, où la caméra saisit l’animation des rues, se faufile entre des grappes de personnes, s’arrête sur une conversation, repart pour accompagner le protagoniste, qui marche dans la neige…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
Dovlatov, auteur inconnu en Europe (son "Livre invisible", publié en 1977, porte un titre prophétique), est une âme généreuse, souffrante, enveloppée ici dans des travellings élégants. C’est beau, c’est lent, c’est trrrès russe.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Autour de la figure de l’écrivain Dovlatov, Alexeï Guerman Jr livre une évocation glaciale de l’ère soviétique;
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
La mise en scène raffinée d’Alexey Guerman Jr. et le jeu tout en finesse de Milan Maric rendent un bel hommage aux artistes opprimés d’URSS. Un “biopic” singulier et plutôt réussi.
Positif
par Eithne O'Neill
[...] "Dovlatov" est pour tous un mini-biopic assez classique, louable pour une certaine justesse de ton.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
On attendra donc le passage des rockers de Leto (sortie prévue en décembre) pour un autre portrait de groupe de la contestation artistique, nettement moins figé et plus vivifiant.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Si ce récit intéresse, autant dans sa dimension historique que dans les évidents parallèles qu’il tisse avec la condition des artistes russes aujourd’hui, la réalisation d’Alexeï Guerman Jr – mélange de longs plans à l’ostentatoire orchestration, de poncifs sur la littérature et la figure de l’artiste maudit, de jazz feutré et d’une reconstitution poussiéreuse – est d’un ennui stérile.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Michaël Patin
Un idéal de cinéma littéraire comme plus personne n’ose en faire, et dont on doit bien reconnaître la virtuosité, à défaut d’y adhérer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
Un hommage vibrant qui invite à redécouvrir l'œuvre de ce poète maudit de l'ère soviétique.
Libération
Ces plans paraîtraient simplement poussiéreux s’ils n’étaient que des effets mimétiques mais, rythmés par les rencontres et errements de Dovlatov, ils parviennent à créer une durée envoûtante, un temps à la fois flottant et oppressant, où s’entremêlent l’ennui et la joie, des touches comiques et des éclairs tragiques, où pèsent constamment une angoisse sourde et un sentiment d’étouffement, d’absurdité générale.
Télérama
La beauté de Dovlatov tient à ses plans-séquences onduleux, où la caméra saisit l’animation des rues, se faufile entre des grappes de personnes, s’arrête sur une conversation, repart pour accompagner le protagoniste, qui marche dans la neige…
L'Obs
Dovlatov, auteur inconnu en Europe (son "Livre invisible", publié en 1977, porte un titre prophétique), est une âme généreuse, souffrante, enveloppée ici dans des travellings élégants. C’est beau, c’est lent, c’est trrrès russe.
Le Monde
Autour de la figure de l’écrivain Dovlatov, Alexeï Guerman Jr livre une évocation glaciale de l’ère soviétique;
Les Fiches du Cinéma
La mise en scène raffinée d’Alexey Guerman Jr. et le jeu tout en finesse de Milan Maric rendent un bel hommage aux artistes opprimés d’URSS. Un “biopic” singulier et plutôt réussi.
Positif
[...] "Dovlatov" est pour tous un mini-biopic assez classique, louable pour une certaine justesse de ton.
Cahiers du Cinéma
On attendra donc le passage des rockers de Leto (sortie prévue en décembre) pour un autre portrait de groupe de la contestation artistique, nettement moins figé et plus vivifiant.
Les Inrockuptibles
Si ce récit intéresse, autant dans sa dimension historique que dans les évidents parallèles qu’il tisse avec la condition des artistes russes aujourd’hui, la réalisation d’Alexeï Guerman Jr – mélange de longs plans à l’ostentatoire orchestration, de poncifs sur la littérature et la figure de l’artiste maudit, de jazz feutré et d’une reconstitution poussiéreuse – est d’un ennui stérile.
Première
Un idéal de cinéma littéraire comme plus personne n’ose en faire, et dont on doit bien reconnaître la virtuosité, à défaut d’y adhérer.