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Un visiteur
3,5
Publiée le 7 novembre 2019
C'est la version "méchant" de superman. Le film tient la route, par une œuvre d'anthologie certes, mais ça se laisse regarder et certaines scènes sont quand même "hard". C'est pourquoi je le déconseille aux moins de 14 ans.
Vraiment très très sympa avec de très bon effet spéciaux et des rebondissements sur l'histoire constant j'ai vraiment adoré à vous glacé le sang ce film
J'ai trouvé ce film un vrai navet. Je ne m'attendais pas du tout à ça, j'ai réellement trouvé le film long et ennuyant. Autant dans le scénario que dans le jeu d'acteur se fut une réelle déception.
"Et si Super-Man avait été méchant ?" est le concept de ce projet. Rien qu'avec cette accroche, on peut facilement résumer ce long-métrage et se donner une bonne raison de vouloir le voir. Et c'est effectivement comme cela que l'on m'a présenté ce projet en premier lieu. Par conséquent, étant un grand fan de l'histoire du Kryptonien et ayant toujours eu envie de voir ce genre d'histoires, je me suis décidé à tenter le coup. "BrightBurn - L'enfant du mal" est donc ce film d'horreur qui, malgré quelques problèmes d'écritures, réussi à être intéressant et à captiver. L'idée de base fait forcément rêver, et d'un point de vue horrifique, cela fonctionne vraiment bien. La violence avec laquelle il agit durant ces séquences fait froid dans le dos, on est vraiment en constante angoisse face à un être qui paraît comme invisible. Et c'est là qu'est la force de ce long-métrage. En dehors de cela, il se présente comme un film d'horreur bien banal, au niveau de son histoire ou de ses personnages, cela ne vole pas bien haut. On n'a vraiment pas grand-chose à se mettre sous la dent. Mais ces séquences offrent un immense plus à ce film, le final en particulier ! Il est très surprenant, car il prend à contre-pied toutes nos attentes et livre une conclusion logique, mais totalement dans l'ADN de sa proposition. Il est dommage que l'interprète de ce personnage soit aussi rigide, car il avait tout pour vraiment marquer les esprits. Malheureusement, le film n'a pas vraiment trouvé son public, certainement la faute à son ensemble très classique si on enlève les scènes horrifiques. Et pour le coup, il faut le prendre comme cela pour vraiment l'apprécier. Je voulais des séquences d'horreurs avec un être surpuissant et violent, je les ai eues. Forcément, j'aurais aimé qu'on en fasse plus au niveau de l'histoire, il y avait totalement moyen. Mais, personnellement, je sais me contenter de cela pour le coup. Pour conclure, un bon petit film d'horreur bien sympathique malgré tout.
Malgré des moyens limités, une alternative convaincante aux films de "supers". Malaise assuré qd il vire au quasi film d'horreur. Psychologie des protagonistes intéressante et maitrisée. Un prequel flippant.
Non mais ca marche encore le coup de la météorite qui s'écrase dans un jardin pour déclencher des catastrophes à côté desquelles les 7 plaies d'Egypte ressemblent à "la croisière s'amuse" ??? En fait ça n'a pas la moindre importance car "brightburn l'enfant du mal" est dans la fourchette très haute des fils flippants. Plus sympathique et angélique que le jeune Brandon, héros du film, je ne vois que Damien dans "la malédiction" et encore, sauf que là pas de 666, pentagramme et autre "il a de jolies cornes mon papa", c'est de la SF mais dont seul l'aspect effrayant a été extrait et mis en valeur. Un grand cru de l'angoisse...4.5 / 5
Je l'ai regardé le soir d'halloween et je ne l'ai pas aimé je l'ai trouvé plat et pas de suspence ont se douter de ce qui allait se passer il y a qu'une scène qui est bien sinon rien du tout. Pour moi perso nul.
Le mythe de Superman revisité dans une version "maléfique" du héros dans un film semi-horrifique plus ou moins réussi.
Même début que Clark Kent pour l'anti-heros de ce film, atterrissage dans le champ d'un couple de fermier n'arrivant pas à enfanter. Adoption. Le petit grandit dans une famille aimante et devient un garçon modèle. Mais quelque-chose de Mal ressurgit transformant l'élève modèle en monstre assoiffé de vengeance, et des pouvoirs lui apparaissent...
La mise en scène oscille entre thriller horrifique et film de super-héros, plutôt façon Chronicle que MCU, avec assez de réussite. Ceci dit, le scénario, qui se veut plus malin qu'il ne l'est véritablement, se perd dans des scènes inutiles et longuettes (crise du couple, tergiversations, atermoiements...). Quelques effets gores bien fichus et un final réussi rehaussent l'ensemble général. Les acteurs font le job même si le gamin n'a pas une palette vraiment étendue.
Pour conclure, ce méchant Superman est une petite curiosité, mais pas indispensable non plus. Tout juste la moyenne.
L'histoire de Superman, les pouvoirs de Superman mais pas sa morale. Petit verseau spacial qui tombe près d'un ferme. Il est adopté. Il grandit. Une personnalité psychopatique... Voilà ce que aurait donné. Drôle plus que terrifiant et parfois assez gore. Dommage, ça aurait pu être culte. Partir sur l'horreur a été un erreur. La fin est néanmoins très sympa.
Le concept est simple, mais a le mérite d’être attrayant si l’on est adepte de super-héros ou de super-vilains. Pour ce qui est de l’horreur, on passe un peu à côté du sujet, avec une maladresse qui rend le film produit par James Gunn fade et sans audace. Il met donc son collègue David Yarovesky à la réalisation d’un ovni, partagé entre dépeindre la face cachée de la puberté ou bien régresser dans le gore, sans valeur ajoutée. Malheureusement, ni l’un ni l’autre ne sera traité avec efficacité, laissant traîner plus d’incohérences scénaristiques que de cadavre derrière le pseudo-superman machiavélique.
C’est un jeune Brandon (Jackson A. Dunn) troublé, qui se découvre des capacités surnaturelles, que l’on développe à travers un idéal du mal jamais justifié. Le dilemme des super-héros vis-à-vis de leur pouvoir, nous l’avons déjà exploré maintes fois dans les concepts les plus frontaux ou non, mais ici l’aspect horrifique de la chose sacrifie tout simplement l’évolution psychologique du personnage. Difficile de le voir joyeux et plein de vie, car il nous est présenté comme un introverti. Et même aux côtés de ses parents d’adoption, Tori (Elizabeth Banks) et Kyle (David Denman), il ne parvient pas, ou très peu, à s’épanouir. On évoque trop rapidement cette violence, sorte de métaphore d’une Amérique armée et qui banalise cette folie de façon grossière. Tout comme pour l’approche de la puberté, un discours maladroit, bien que malaisant, manque de convaincre un spectateur qui n’apprend rien de plus sur ce mécanisme.
L’œuvre manque de nuance, alors que des comics l’on bien fait avec plus d’enjeux. Difficile de ne pas penser à « Superman : Red Son », qui a été élevé sous l’étendard soviétique, la suite est à découvrir. Mais dans la ville de campagne qu’est Brightburn, l’angoisse fonctionne rarement. Peut-être aurait-il fallu articuler l’intrigue autour des parents, au lieu d’un adolescent n’a rien à raconter. Le mal qui s’éveille en lui n’a pas d’antagoniste pertinent et les drames de cette ville, ce sont bien évidemment les défauts de l’humanité, les sentiments négatifs et la solitude. Brandon n’a donc jamais vraiment quitté cette zone grise. Et ce n’est pas un dénouement, sensiblement prévisible, qui viendra réparer les maladresses et les paresses d’écriture. Pourtant, il y avait de quoi d’élever ce drame familial à un niveau plus réfléchi et moins extrême.
Finalement, « Brightburn : l’Enfant du Mal » est victime de son concept minimaliste, faute de budget et l’ambition. Le film se préserve et temporise jusqu’aux dernières secondes qui suscitent un plus grand intérêt, car la chasse aux secrets est devenue ennuyeuse et dépourvue de sens, si on laisse Brandon entouré de personnages naïfs. Toujours à l’état de chantier, on souhaite ouvrir de nouveaux horizons, à tort, car les bases ne sont pas solidement plantées. Nous ne faisons que supposer ou bien espérer que le film finira par dépasser ses caprices et atteindre un stade plus mature.
J'ai plutôt apprécié cette production clairement inspirée de Superman, enfin d'un Superman inversé, et qui aurait 12 ans. Avec un côté "possession par un démon" en plus, même si j'ai quelques doutes sur la chose vu comment l'enfant est arrivé jusqu'à ses parents adoptifs. Ce n'est pas vraiment un film d'horreur à voir pour sursauter, mais plus pour la violence des scènes, un peu à la "Destination finale".
Moi, comme pitch du film, j'aurais plutôt écrit : "Et si Superman était méchant ?" Et voilà, tout est dit. Avouez qu'un pitch pareil, ça donne envie, non ?! En tout cas, moi, j'ai marché à fond. Le film est plutôt bon et bien réalisé, ça c'est clair. Il y a également de bonnes idées tout au long du film. Le problème principal que je vois dans ce film, c'est que tout va trop vite. Je sais que d'habitude, je dis plutôt le contraire, qu'il y a des longueurs, qu'il faudrait couper quelques scènes... Hé bien là, c'est tout le contraire! Il en aurait fallu un peu plus des longueurs! Moi, j'aurais pas été contre le fait de voir 30 minutes ou même 45 supplémentaires, si c'était pour ajouter en cohérence et en crédibilité. Parce que le shérif, il déduit le coupable en 2 minutes rien qu'en regardant un "symbole", je trouve ça un peu gros. Et puis notre Superman en herbe devient complètement cinglé quasiment dès le début du film : il aurait fallu laisser la tension monter, nous laisser voir son évolution. Vraiment tout s'enchaîne trop vite, on a pas le temps de respirer. Dans une scène, on voit un personnage se laver les dents ; durée : 10 secondes chrono. Je doute que ce brossage soit vraiment efficace. Et malheureusement, tout le film est à l'image de ce brossage de dents. Mais le film est bon, je le répète. Et cette fin! Elle est si bien trouvée! Ah ça m'énerve quand un film manque d'être vraiment excellent juste pour des défauts pareils qui auraient pû être facilement évitables...