Derniers Avis : Brightburn - L'enfant du mal - Page 16

Brighburn est une sympathique variation autour du mythe de superman. Ce mélange de film de super héros et d'épouvante type Damien, la malédiction manque d'originalité dans le traitement des situations mais est dynamisé par des scènes gores assez réjouissantes et de plutôt mauvais goût. Si on sent, par intermittences, la patte de James Gunn, son producteur, le film reste un peu propret notamment dans son traitement de la cellule familial. Néanmoins l'ensemble est divertissant, parfois drôle, et la fin assez nihiliste. Bref, pas mal du tout pour une soirée ciné entre amis.

Idée de départ plutôt intéressante mais qui finalement ne sais pas trop ou il vas remake de superman version dark ou film à part à la fin on sais plus trop quoi penser
Le film est également trop court ...
Ma review : https://youtu.be/Z67mrCeNWp0

Film très original. Certes l'histoire n'est pas forcément réaliste mais très original ! Très bon film

Une catastrophe... Étant une grande amatrice de film d'horreur j'ai été vraiment déçu de ce film. Aucun intérêt vraiment on ne comprend pas l'histoire du début à la fin.

Brightburn – L’enfant du mal est un film produit par James Gunn et c’est un peu tout si l’on en croit le démarrage de la promotion du film. Heureusement que les bandes-annonces en montraient un peu plus de ce côté permettant de confirmer que ce film était une espèce de Superman en version maléfique (même si comme d’habitude, Sony en montre un peu trop et trop facilement). D’ailleurs, la première partie du film ressemble vraiment à ce que l’on retrouve dans un origin movie de Superman et la seconde partie tombe un peu trop dans ce que l’on pourrait retrouver dans une production Blumhouse. La seconde partie permet de constater que même si le film a une idée intéressante, le développement du film reste assez superficiel et que l’on ne va pas assez loin. D’ailleurs, les passages dans le générique de fin auraient pu faire une troisième partie bienvenue même s’il avait fallu réduire les deux autres parties. Ce n’est qu’au moment où le personnage n’a plus d’entrave que le film se termine. À croire qu’une suite est possible alors que ce serait une erreur. Derrière la caméra, on retrouve David Yarovesky, après le méconnu, mais surprenant The Hive, démontre qu’il a un talent réel pour mettre en scène aussi bien les scènes plus dans la lignée d’un Man of Steel, que les scènes d’horreur et de gore apportant une réelle attention aux détails surtout du côté de la lumière. Jackson A. Dunn fait le travail dans le rôle de ce méchant Superman, on regrette que les adultes en font un peu trop pour combler le manque d’écriture de leurs personnages trop insipides. Brightburn est un film plutôt sympathique et qui offre une idée intéressante, mais pas assez développée.

ce film avait tout pour plaire un scénario original
et finalement une vrai déception
des scènes prévisibles. une fin d'une nullité affligeante
dommage

➖ Avis bref :
Un film produit seulement par James Gunn (Les Gardiens de la galaxie) avec la présence d’Elizabeth Banks que j’adore, pour une histoire vendue comme étant le superman de l’horreur. Un bébé venu d’ailleurs, l’enfant en question se découvre des pouvoirs et une propre identité, ce qui va le pousser à sombrer. Tout semble faussement démarrer au bout de dix minutes de métrage, en démontrant déjà la découverte et l’entendu des pouvoirs du garçon. Entre, le coup de la tondeuse et celui de la fourchette, cela devient tout aussi intriguant que plat. Plat dû à un manque de développement, même si une ambiance sombre et quasi-satanique s’y ressent souvent. Le film n’est au final bien que trop simple, ça parait même un peu vide... Jusqu’à trouver cela trop mal exploité pour obtenir une histoire complète. Les personnages, comme leurs histoires sont scénaristiquement survolées, ce qui ne pourra qu’offrir un banal film d’horreur avec de faux airs de found footage au passage (pourtant loin de l’être). Sous ses faux airs de Superman, ce film n’en rien et très loin de se retrouver dans une catégorie du style super-héros, « Brightburn » c’est clairement un genre à mettre dans la catégorie « enfant tueur ». Après, les meurtres ne sont quant à eux, pas si nombreux, et même si les deux premiers font une forte impression par leur originalité et son gore, les meurtres qui suivent sont eux par contre, totalement raté et exagéré, dû à sa masse d’effets spéciaux.
Enfin bref, un film d’horreur aux multiples jump scares, sans grande surprise qui souffre surtout d’un vrai développement. Après, une suite peu toujours être proposée, mais n’apportera sûrement pas grand chose.

bien bonne surprise, horreur teintée de fantastique, montant en puissance plus le film se déroule, légérement gore et flippant par moment, un bon film, original.

Histoire toute faite, ce superman méchant n'a pas réussi à me convaincre, tout le long du film mes émotions allaient plus vers le rire que vers la peur.. Dommage. Seul point fort, le jeu d'acteur de Jackson A. Dunn, rien à redire, ce qui sauve le film de la catastrophe pour ma part!

Même si le spitch était sur la bonne voie il n’en reste tout de même pas décevant, on se doute dès le début de ce qui adviendra à la fin du film

bon film d'horreur des scenes bien gore mais pas trop... le gamin a une bonne tronche de mec zarb!! une suite dans la meme veine ca peut le faire

Et si superman etait devenu mechant voila le point de vu de ce film d horreur assez bien mener un bon moment de cinema

Ce détournement horrifique du mythe de Superman est très affriolant pour ceux qui aiment lorsque les codes sont chamboulés. Le producteur James Gunn connait son sujet ! En effet, le réalisateur des "Gardiens de la Galaxie" transforme la figure de super-héros en psychopathe prépubère qui étripe des adultes. Les super-pouvoirs, tels que voler, la vision laser ou encore la force surhumaine, n'ont jamais été aussi effrayants ! Mais "Brightburn", en dehors de son invention originale et inédite, revêt un développement on ne peut plus classique. On repense alors à des films comme "Carrie au bal du diable" ou "La malédiction" où le Mal s'empare de la plus innocente apparence. Soudain, cette revisite du super-héros devient très prévisible... D'un côté, on se délecte des scènes cruelles à la pelle, où le gore est parfois poussif mais où l'amour maternel jusqu'au-boutiste constitue l'un des rares enjeux du film. Mais de l'autre, le scénario, en plus d'un long démarrage, n'approfondit pas les origines obscures de son personnage, quitte à laisser le spectateur dans le flou horrifique le plus total. C'est regrettable car l'originalité se résume essentiellement à son point de départ, confondu dans la forme traditionnelle du pur slasher.
Mais le mélange des genres et la confusion des codes fonctionnent et c'est l'essentiel. Côté frisson, "Brightburn" est efficace, servi par le jeu froid et malaisant de Jackson A. Dunn et la détresse de Elizabeth Banks. Le final, sans doute le passage le plus prégnant du long-métrage, se transforme en survival explosif, brillamment mis en scène !

Partant sur des prémisses simples , mais auxquelles personne n a pourtant jamais pensé ,Brightburn avait tout du film a concept fort.L histoire de depart pourtant basique , et prenant a contre pied totalement ce qui se fait en matière de super héros.
L idée est la suivante. Et si un etre supérieur ( on pense tout de suite a Superman dés les premiers plans) , utilisait ses pouvoirs , non pas pour sauver la veuve et l orphelin , mais au contraire , avait un dessin maléfique .
A partir de cette idée , il est dommage que le scénario ce limite au final a ce debut de concept pour ne pas le developper plus. Le potentiel et les possibilités d amener son histoire dans plusieurs directions interessantes étaient possibles pour le réalisateur.
On effleure un potentiel certains ( on ressort frustré comme pour American Nightmare dans une moindre mesure ) , mais il n est jamais exploiter correctement.
Bien heureusement , après la frustration passée , le metrage a bien des atouts pour lui pour faire vendre son histoire de super héros maléfique.
On s attache très vite aux personnages , tant leurs relations sont plutôt bien développées , et que le jeu d acteurs esr tout a fait convaincant.
Le jeune acteur jouant le rôle principal a d ailleurs beaucoup de charisme. Il se trouve tout aussi convaincant lors des scénes dramatiques ( quoique son manque d empathie fait froid dans le dos ) que dans les scenes plus horrifique où on sent qu il peut devenir une véritable menace.
Le rapport a l eveil est important dans ce film . Cela est souligné par le début de puberté imminente pour le personnage de Brandon , mais aussi a ses premiers questionnement, sur sa véritable nature et ses liens familiaux. Interrogations qui vas eveiller ses pulsions destructrices , car persuadé d etre un etre supérieur.
Cet aspect du scénario est plutôt bien gerer pour le coup.
Si l idée de depart est peu développée , quelques thématiques comme celle ci ( l eveil a de nouveaux pouvoirs , le rapport avec la mére , le sentiment de Brandon d etre un etre supérieur ) prouve que l on a pas a faire a un film qui accumule vainement les scenes gores.
spoiler: Si la réalisation est terriblement impersonnel mais esthétique , on retrouve tout de même quelques beaux plans nocturne de ci de la et même un soucis du detail pour rendre le personnage de Brandon menaçant ( les symboles qu il laissent sur ses lieux du crimes par exemple
. Des scénes arrivent a se démarquer parfois , par leurs excés de gore qui tache ( au passage les maquillages et effets spéciaux sont excellents pour un budget modeste ) ou tout simplement par la beauté des plans qui arrivent a insuffler au métrage un peu d émotion.
Le film traine parfois des pieds dans sa première partie avec des scènes d expositions parfois un peu longue , mais une fois que le film prend son rythme , les scénes horrifique s enchainent et nous livre la marchandises généreusement , tout en gardant un esprit tres premiers degré ( etrange quand on sais que James Gunn etait derrière le déjanté horribilis) .
Le final quoique assez attendu , a l intelligence de ne pas tomber dans le happy ending , et , ouvert a de potentiel suites , qui pourraient pour le coup développer un peu plus l univers..
Je pense que le film est d ors et deja reflechi comme une franchise.

Prenez Brightburn pour ce qu il est. Une alternative horrifique interessante a l univers de super héros , bien que superficiel dés qu il s agit de développer son concept.
Le potentiel et le talent sont pourtant la.
Puis il faut avouer , ça fait un moment qu on avait pas en salle , une série B gore et premier degré qui s assume comme tel !
Rien que pour ses détails Brightburn mérite le visionnage.

Intéressant , c’est pour moi la première fois que je voyais un film de super héros qui casses les codes !

De bonne idées de mise en scène , mais un psychologue des personnages inexistante et un rythme bien trop rapide !
J’ai trouver quand le film jouissif avec des morts plutôt gore et sympa pas révolutionnaire mais j’ai tout de même passer un bon moment.