Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Le démarrage est un peu mou, et les ficelles attendues, mais dès qu'il commence à lâcher la bête, "Brightburn : L'Enfant du mal" devient un pur petit plaisir diabolique. Et il y a suffisamment de scènes réussies, d'idées amusantes et de cruauté pour ne pas avoir envie d'y résister.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Filmsactu
par La Rédaction
Des scènes gores comme on n’en avait plus vu depuis longtemps sur grand écran, un superman psychopathe incontrôlable en pleine crise d’ado meurtrière… un spectacle jouissif, un vrai film de super vilain dont on espère voir la suite bientôt. Rendez ça possible : foncez le voir !
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Figaro
par La Rédaction
Produit par James Gunn, le film s’installe dans un registre inédit et convaincant, mêlant super-héros et horreur. Attention aux sursauts et à l’hémoglobine.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Michel Valentin
Le film met un moment à se mettre en route mais, une fois que le super-méchant bascule pour de bon du mauvais côté de la force, les scènes chocs, gore et de mauvais goût se multiplient. Clairement la patte de James Gunn, réalisateur des deux « Gardiens de la galaxie » et ici co-producteur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
[...] une série B aussi originale qu'efficace [...].
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un scénario original, qui renverse les habituelles situations du film d’épouvante et qui met en scène un enfant carrément épouvantable. Et de fait, l’épouvante est au rendez-vous…
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On salue le nihilisme absolu de ce récit d’émancipation insolite, angoissant et cruel, avec un préado psychopathe en pleine puberté qui étripe les adultes.
Libération
par Camille Nevers
Un œil distrait suffit à suivre les mises à mort en bris d’os et en jets de sang entre deux séquences de désespoir familial et d’amour maternel jusqu’au-boutiste qui ne peut se résoudre à l’infanticide.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Point
par Philippe Guedj
Malgré un formidable concept, ce détournement malin de Superman ne décolle jamais à cause d'un script et d'une réalisation sans éclat.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Cette variation roublarde sur la genèse de Superman échoue, malgré des intentions sincères et quelques frissons très gore, à terrifier.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Si les meurtres sont efficaces, les jump scares répétitifs de David Yarovesky et la dilatation artificielle du récit donnent l'impression que l'équipe est un peu passée à côté de son sujet [...].
Télérama
par Nicolas Didier
David Yarovesky détourne l’argument de Superman : un couple de fermiers américains recueille un enfant (maléfique) venu de l’espace. Pour le reste, son histoire se différencie peu du tout-venant des films de possession démoniaque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
Le démarrage est un peu mou, et les ficelles attendues, mais dès qu'il commence à lâcher la bête, "Brightburn : L'Enfant du mal" devient un pur petit plaisir diabolique. Et il y a suffisamment de scènes réussies, d'idées amusantes et de cruauté pour ne pas avoir envie d'y résister.
Filmsactu
Des scènes gores comme on n’en avait plus vu depuis longtemps sur grand écran, un superman psychopathe incontrôlable en pleine crise d’ado meurtrière… un spectacle jouissif, un vrai film de super vilain dont on espère voir la suite bientôt. Rendez ça possible : foncez le voir !
Le Figaro
Produit par James Gunn, le film s’installe dans un registre inédit et convaincant, mêlant super-héros et horreur. Attention aux sursauts et à l’hémoglobine.
Le Parisien
Le film met un moment à se mettre en route mais, une fois que le super-méchant bascule pour de bon du mauvais côté de la force, les scènes chocs, gore et de mauvais goût se multiplient. Clairement la patte de James Gunn, réalisateur des deux « Gardiens de la galaxie » et ici co-producteur.
L'Ecran Fantastique
[...] une série B aussi originale qu'efficace [...].
Le Dauphiné Libéré
Un scénario original, qui renverse les habituelles situations du film d’épouvante et qui met en scène un enfant carrément épouvantable. Et de fait, l’épouvante est au rendez-vous…
Le Journal du Dimanche
On salue le nihilisme absolu de ce récit d’émancipation insolite, angoissant et cruel, avec un préado psychopathe en pleine puberté qui étripe les adultes.
Libération
Un œil distrait suffit à suivre les mises à mort en bris d’os et en jets de sang entre deux séquences de désespoir familial et d’amour maternel jusqu’au-boutiste qui ne peut se résoudre à l’infanticide.
Le Point
Malgré un formidable concept, ce détournement malin de Superman ne décolle jamais à cause d'un script et d'une réalisation sans éclat.
Les Fiches du Cinéma
Cette variation roublarde sur la genèse de Superman échoue, malgré des intentions sincères et quelques frissons très gore, à terrifier.
Mad Movies
Si les meurtres sont efficaces, les jump scares répétitifs de David Yarovesky et la dilatation artificielle du récit donnent l'impression que l'équipe est un peu passée à côté de son sujet [...].
Télérama
David Yarovesky détourne l’argument de Superman : un couple de fermiers américains recueille un enfant (maléfique) venu de l’espace. Pour le reste, son histoire se différencie peu du tout-venant des films de possession démoniaque.