Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Film raté, mais feuilleton ambitieux et chamarré, l'exercice s'avère plutôt divertissant. Bigas Luna en espérait certainement davantage ; quant à nous, nous n'en demandions pas tant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) un long métrage dont le rythme s'essoufle et dont la force dramatique faiblit à plusieurs reprises. (...) Il reste cependant un film touchant par endroit et véridique à défaut d'être captivant.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Le film finit par s'effilocher, ne laissant derrière lui que le sentiment d'avoir assisté à une longue démonstration nous prouvant l'importance du corps féminin dans l'histoire de la peinture. Cela ne suffit pas. Et le charme alors ?
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
Parfois artificielle, une série de rebondissements préserve le suspence de ce polar en clair-obscur, même si c'est surtout le soin apporté aux éclairages qui (...) démasque les monstres sous le clinquant des décors, costumes et autres bijoux indiscrets.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
(...) Volaverunt ne cache hélas qu'une étincelle derrière son titre énigmatique : Penélope Cruz, en superbe gitane. Pour le reste, on en vient presque à regretter la truculence et la vulagrité de Jambon, jambon, du même Bigas Luna...
La critique complète est disponible sur le site Aden
Rien, ni les costumes, ni les décors, ni la lumière, ni les acteurs (parmi les plus connus d'Espagne) ou encore l'intrigue historico-polardeuse de ce 18e siècle, ne masquent une réalisation paralysée, voire absente.
La critique complète est disponible sur le site Première
(...) Bigas Luna s'amuse - et nous lasse finalement - à mener l'enquête, étirant sans justifications de fausses pistes : doit-on croire ce que l'on voit à l'image ? La narration est-elle un jouet pour le réalisateur, promenant à son gré le spectateur ?
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Chronic'art.com
Film raté, mais feuilleton ambitieux et chamarré, l'exercice s'avère plutôt divertissant. Bigas Luna en espérait certainement davantage ; quant à nous, nous n'en demandions pas tant.
Cinopsis.com
(...) un long métrage dont le rythme s'essoufle et dont la force dramatique faiblit à plusieurs reprises. (...) Il reste cependant un film touchant par endroit et véridique à défaut d'être captivant.
Cplanet.com
Le film finit par s'effilocher, ne laissant derrière lui que le sentiment d'avoir assisté à une longue démonstration nous prouvant l'importance du corps féminin dans l'histoire de la peinture. Cela ne suffit pas. Et le charme alors ?
L'Obs
Parfois artificielle, une série de rebondissements préserve le suspence de ce polar en clair-obscur, même si c'est surtout le soin apporté aux éclairages qui (...) démasque les monstres sous le clinquant des décors, costumes et autres bijoux indiscrets.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
(...) Volaverunt ne cache hélas qu'une étincelle derrière son titre énigmatique : Penélope Cruz, en superbe gitane. Pour le reste, on en vient presque à regretter la truculence et la vulagrité de Jambon, jambon, du même Bigas Luna...
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Fallait-il, parce que l'époque ici traitée était tout en masques et en artifices, tomber dans autant de lourdeur et de tape-à-l'oeil ?
Première
Rien, ni les costumes, ni les décors, ni la lumière, ni les acteurs (parmi les plus connus d'Espagne) ou encore l'intrigue historico-polardeuse de ce 18e siècle, ne masquent une réalisation paralysée, voire absente.
Repérages
(...) Bigas Luna s'amuse - et nous lasse finalement - à mener l'enquête, étirant sans justifications de fausses pistes : doit-on croire ce que l'on voit à l'image ? La narration est-elle un jouet pour le réalisateur, promenant à son gré le spectateur ?
Télérama
(...) les vraies vedettes sont les longues robes, la belle vaisselle et les chandeliers. Le film est tout ce que détestait Goya : académique.