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J'en sors.
Et ma première phrase est "pas terrible".
Une idée de base intéressante, et un début de film qui laisse présager un film plutôt sympa.
Mais au bout de 30mn on attend toujours que ça démarre vraiment...
Les acteurs sont bons, l'ambiance est glauque, c'est sombre, mais à part ça, on ne sursaute pas, on n'est pas surpris... On peut être un peu écoeuré par les cadavres, si on est vraiment sensible, mais c'est tout
Aucun sujet n'est traité jusqu'au bout. Ni l'histoire familiale de la prof, ni celle de son frère. Ni celle des gamins. Ni la légende indienne.
Bref, je suis restée un peu beaucoup sur ma faim.
Dommage
Et ma première phrase est "pas terrible".
Une idée de base intéressante, et un début de film qui laisse présager un film plutôt sympa.
Mais au bout de 30mn on attend toujours que ça démarre vraiment...
Les acteurs sont bons, l'ambiance est glauque, c'est sombre, mais à part ça, on ne sursaute pas, on n'est pas surpris... On peut être un peu écoeuré par les cadavres, si on est vraiment sensible, mais c'est tout
Aucun sujet n'est traité jusqu'au bout. Ni l'histoire familiale de la prof, ni celle de son frère. Ni celle des gamins. Ni la légende indienne.
Bref, je suis restée un peu beaucoup sur ma faim.
Dommage
Je me suis laissé trainer voir ce film par mon gendre qui m'a vendu ça comme un bon film d'horreur à l'ancienne.
Bof! Toujours la même histoire du Wendigo ( pas très connu , légende amérindienne) vue et revue et malgré les scènes gores et une ambiance de pauvreté pesante....Rien de bien nouveau dans le genre! La créature dans "Sombre était la nuit " était bien plus effrayante , d'ailleurs je conseille celui là de film plutôt qu'Affamés.
Je suis déçu ,c'est prévisible surtout la fin et j'ai jamais accroché à cette pseudo fable intelloécolobobo : l'homme se détruit et se cannibalise par ses vices (ici toxicomanie et la maltraitance infantile ) original en diable ...!
Bof! Toujours la même histoire du Wendigo ( pas très connu , légende amérindienne) vue et revue et malgré les scènes gores et une ambiance de pauvreté pesante....Rien de bien nouveau dans le genre! La créature dans "Sombre était la nuit " était bien plus effrayante , d'ailleurs je conseille celui là de film plutôt qu'Affamés.
Je suis déçu ,c'est prévisible surtout la fin et j'ai jamais accroché à cette pseudo fable intelloécolobobo : l'homme se détruit et se cannibalise par ses vices (ici toxicomanie et la maltraitance infantile ) original en diable ...!
Film extrêmement mauvais, potentiel gâché, ceux qui veulent avoir peur s’abstenir. Film long à mettre en place et impression qui ne démarre jamais. Trop de blabla pas assez d’actions, très ennuyant, et peu divertissant. Je ne comprends jamais les gens qui critiquent des bons films et les français qui notent mal des films la je comprend pas comment et pourquoi il est aussi bien noté.
Benito G
Le réalisateur tente le genre de l'horreur... sous la main de Guillaume d'El T., qui est un maître du genre fantastique, a tendance un peu imaginaire (maîtrisant tout de même plus ce genre que les contes horrifique). On sent par moment, quelques inspis... mais ne pas s attendre a des jumpscares a gogo comme c est la tendance du genre... Et qui d ailleurs n est pas ce qui a fait fonctionner les profs de Guillaume d'El T. La touche sanglante arrive a faire tenir le film, se basant sur une légende et d un fameux monstre... Tout en explorant la pauvreté, la crise des opiacés etc... côté méridien. Mais une légère impression que parfois cela ne va pas jusqu'au bout de certaines choses... On aurait donc pu attendre plus, même si pour le coup. On ne nous pas asséné de promo et coup de comm vantant le film et son genre... Bref, sa sent un peu le déjà vu mais narré différemment et que l on pouvait presque voir en sous genre de Stephen King (qui après coup, pourrait en partant de ce synopsis réaliser un film plus effrayant qu il en ait). Il se laisse voir comme un film de série B, en évitant la BA, pour éviter trop de attente... Mais on n en est pas a un navet, mais pas un chef d'œuvre non plus. Qui d ailleurs ne fera pas succès en salle avec la sortie Resident evil dés mercredi... Licence plus connus qui malgré les. DTV assez décevant tenterait de remonter tout cela (pour les amateurs du genre).
L'histoire est sympas, les acteurs sont cool
Le shérif a le même bide que mon voisin
Mais bon, je voulais plus d'action
Le shérif a le même bide que mon voisin
Mais bon, je voulais plus d'action
Pas mal mais il manque ce petit truc qui rendra ce film très bien.
Intrigue correcte mais l'épilogue semble avoir été bâclé.
Les actrices et acteurs sont convaincants.
Intrigue correcte mais l'épilogue semble avoir été bâclé.
Les actrices et acteurs sont convaincants.
Magnifique visuellement, beaux cadrages, beaux éclairages, beaux décors, direction artistique au poil, super maquillages, ambiances sonores aux petits oignons, violence graphique généreuse, bien rythmé, haletant, bon jeu d’acteurs, violences physiques et violences psychologiques très bien transcrites, personnages attachants, histoire intéressante et peu commune,
Belle surprise
Recommandé
Belle surprise
Recommandé
Dans une petite ville minière de l’Oregon, une institutrice et son frère policier enquêtent sur un jeune écolier. Les secrets de ce dernier vont entraîner d’effrayantes conséquences.
C’est le premier film d’horreur de Scott Cooper dont l'oeuvre majeure est Hostiles en 2018. Pour cela, l’Américain a adapté la nouvelle "The Quiet Boy" écrite par Nick Antosca. L’auteur a écrit le scénario avec Henry Chaisson et le réalisateur Scott Cooper. Dans les producteurs de Affamés nous retrouvons Guillermo del Toro.
Un peu déçu de ce film que j’ai trouvé moyen
Pourtant, l’ambiance s’installe vraiment bien. La première scène dans la mine est assez prometteuse avec un effet visuel sur le fumigène. Cette introduction me faisait espérer le meilleur grâce à la tension dans l’air. Surtout qu’ensuite on arrive dans une petite ville de l’Oregon. L’ambiance est très froide dans cet État du Nord des États-Unis connu pour ses grandes forêts et la réserve indienne de Warm Springs.
Cependant, cela ne va pas suffit pour garder un contenu prenant. Le coup de mou subit vers le milieu est assez terrible. À ce moment-là, on est habitué aux décors et on attend donc autre chose qui n’arrive malheureusement pas. Forcément, on n’a qu’une hâte, c’est de voir l’explosion finale comme souvent dans le style horrifique. Malheureusement, à part cinq minutes intenses, le reste va être assez mou. C’est dommage ce problème de gestion du rythme car j’étais vraiment bien dans l’histoire mais l’ennuie n’était pas loin.
Par contre, j’ai bien aimé la présence de Jesse Plemons m’a fait plaisir. Encore une fois, après Barry Seal : American Traffic (2017) et Game Night (2018), il fera de nouveau un shérif. Ce rôle lui va bien. C’est la seule satisfaction du casting, ce qui n’est déjà pas si mal. Pour le reste, que ce soit Keri Russell ou Jeremy T. Thomas, ils sont assez insignifiants. C’est un peu à l’image des personnages qui n’ont pas de relief à par le père qu’on ne verra presque qu’au début.
Le pire reste tout de même le scénario. Attention, je vais légèrement spoil. Il n’y a aucun recul sur les notions présentées pour savoir si une ne va pas en contradiction avec la seconde montré dix minutes plus tard. C’était assez hallucinant de nous donner des éléments concrets du développement horrifique pour finalement donner une explication venant mettre en doute tout ce qui est présenté avant. D’un côté, on nous parle d’un phénomène se rapprochant d’une maladie qui peut se transmettre à un proche, puis on nous balance le Wendigo assez rapidement. En toute transparence, utiliser cette créature surnaturelle issue de la mythologie des premières Nations algonquiennes, est une super idée. Mais pourquoi avoir mis ce délire de propagation à un autre que le principal. À aucun moment dans les explications de l’Amérindien, il n’évoque le fait qu’un proche du Wendigo peut être touché aussi. Une incohérence gigantesque qui m’a épuisé.
C’est le premier film d’horreur de Scott Cooper dont l'oeuvre majeure est Hostiles en 2018. Pour cela, l’Américain a adapté la nouvelle "The Quiet Boy" écrite par Nick Antosca. L’auteur a écrit le scénario avec Henry Chaisson et le réalisateur Scott Cooper. Dans les producteurs de Affamés nous retrouvons Guillermo del Toro.
Un peu déçu de ce film que j’ai trouvé moyen
Pourtant, l’ambiance s’installe vraiment bien. La première scène dans la mine est assez prometteuse avec un effet visuel sur le fumigène. Cette introduction me faisait espérer le meilleur grâce à la tension dans l’air. Surtout qu’ensuite on arrive dans une petite ville de l’Oregon. L’ambiance est très froide dans cet État du Nord des États-Unis connu pour ses grandes forêts et la réserve indienne de Warm Springs.
Cependant, cela ne va pas suffit pour garder un contenu prenant. Le coup de mou subit vers le milieu est assez terrible. À ce moment-là, on est habitué aux décors et on attend donc autre chose qui n’arrive malheureusement pas. Forcément, on n’a qu’une hâte, c’est de voir l’explosion finale comme souvent dans le style horrifique. Malheureusement, à part cinq minutes intenses, le reste va être assez mou. C’est dommage ce problème de gestion du rythme car j’étais vraiment bien dans l’histoire mais l’ennuie n’était pas loin.
Par contre, j’ai bien aimé la présence de Jesse Plemons m’a fait plaisir. Encore une fois, après Barry Seal : American Traffic (2017) et Game Night (2018), il fera de nouveau un shérif. Ce rôle lui va bien. C’est la seule satisfaction du casting, ce qui n’est déjà pas si mal. Pour le reste, que ce soit Keri Russell ou Jeremy T. Thomas, ils sont assez insignifiants. C’est un peu à l’image des personnages qui n’ont pas de relief à par le père qu’on ne verra presque qu’au début.
Le pire reste tout de même le scénario. Attention, je vais légèrement spoil. Il n’y a aucun recul sur les notions présentées pour savoir si une ne va pas en contradiction avec la seconde montré dix minutes plus tard. C’était assez hallucinant de nous donner des éléments concrets du développement horrifique pour finalement donner une explication venant mettre en doute tout ce qui est présenté avant. D’un côté, on nous parle d’un phénomène se rapprochant d’une maladie qui peut se transmettre à un proche, puis on nous balance le Wendigo assez rapidement. En toute transparence, utiliser cette créature surnaturelle issue de la mythologie des premières Nations algonquiennes, est une super idée. Mais pourquoi avoir mis ce délire de propagation à un autre que le principal. À aucun moment dans les explications de l’Amérindien, il n’évoque le fait qu’un proche du Wendigo peut être touché aussi. Une incohérence gigantesque qui m’a épuisé.
Dans les paysages pluvieux et désolés de l'Oregon un cerf sorti de l'enfer des mythes amérindiens sème la pagaille. Fable horrifique plan plan et sans grande surprise qui décrit un monde glauque où règne violence parentale et opiacés. L'idée que la terre ancestrale en appelle aux monstres d'antan pour punir les hommes de la destruction écologique est bonne mais ne suffit pas à rendre le film inoubliable.
Napoléon
Encore un film d'horreur qui ne se démarque en rien. Tous les codes sont respectés et rien du tout ne surprend. Navrant.
Histoire pas très originale, les acteurs sont plutôt bon. Quelques lourdeurs, mais ça reste un bon film d'horreur sans plus
Une catastrophe!Ni fait,ni à faire.Scénario inexistant,aucune intrigue,les acteurs ne savent pas jouer.Lamentable de produire des films pareils alors que des films bien meilleurs passent inaperçus,faute de couverture promotionnelle suffisante
ConFucAmuS
Changement de registre pour Scott Cooper, après un très joli quatuor avec Crazy Heart, Les Brasiers de la colère, Strictly Criminal et Hostiles. Première association avec Guillermo del Toro (producteur ici), première incursion dans le cinéma horrifique et pourtant un sentiment de familiarité en regardant Affamés. Ça n'a pas grand chose à voir avec del Toro. En réalité cette réminiscence, il faut la chercher ailleurs...comme la vérité. Oui, avant d'officier derrière la caméra, Cooper avait passé pas mal de temps devant. Et l'un de ses premiers rôles, il l'obtint dans X-Files.
Des liens avec la série de Chris Carter, on peut en établir plein. L'action du film est située en Oregon, mais on retrouve facilement ses repères dans les paysages canadiens où il fut réellement tourné, ceux-là mêmes qui servirent de décors aux 5 premières saisons d'Aux Frontières du réel. Sans parler de quelques seconds-rôles déjà croisés lors d'enquêtes avec Mulder et Scully. Dernière chose, en fait la plus flagrante : le déroulé du film. Scott Cooper se distingue d'un Mike Flanagan par exemple, dans la mesure où Affamés assume frontalement le paranormal. Comme dans une bonne vieille affaire non classée, la recette se compose de deux couches. La première offre une plongée dans l'inconnu avec un mystère, des morts et pas mal de tension. La deuxième reconnecte son environnement et ses personnages à une certaine réalité, transformant le film en fable sinistre à la Edgar Allan Poe.
À bien des égards, le long-métrage est parfaitement raccords avec les précédents travaux de Cooper peuplés de personnages délaissés ou hantés, en prise avec le passé. Ce qui est rigoureusement le cœur du film, le retour à l'industrie du charbon marquant la résurgence d'un mal qui remonte des entrailles. Une germe qui contamine, altère et se propage, en ramenant ses victimes à un stade inférieur...et terrifiant. La métaphore est claire comme de l'eau de roche, sa traduction cinématographique est d'une noirceur absolue. La structure est connue, Affamés radote légèrement dans certains passages obligés (?) mais la conclusion rachète presque à elle-seule ces errements. Et puis, il serait cruel d'oublier l'éclatante maîtrise de Cooper à la caméra pour créer une atmosphère, en seulement quelques plans, souvent de simples travellings. Sans parler de la photographie, exceptionnelle dans les séquences nocturnes. Terminons avec les comédiens, au diapason : Keri Russell, Jesse Plemmons et surtout l'incroyable Jeremy T. Thomas.
Dans un mélange de nostalgie salvatrice et de pure gestion de l'épouvante, Scott Cooper trouve le ton juste entre ambiance, suggestion et déflagration (elles sont très violentes, soyez-prévenus). L'exploration dans l'horreur n'a rien d'une commande livrée sans passion, loin de là. En plus d'être une jolie révérence à l'une des plus grandes séries US, Cooper poursuit son chemin dans l'Amérique des sacrifiés.
Des liens avec la série de Chris Carter, on peut en établir plein. L'action du film est située en Oregon, mais on retrouve facilement ses repères dans les paysages canadiens où il fut réellement tourné, ceux-là mêmes qui servirent de décors aux 5 premières saisons d'Aux Frontières du réel. Sans parler de quelques seconds-rôles déjà croisés lors d'enquêtes avec Mulder et Scully. Dernière chose, en fait la plus flagrante : le déroulé du film. Scott Cooper se distingue d'un Mike Flanagan par exemple, dans la mesure où Affamés assume frontalement le paranormal. Comme dans une bonne vieille affaire non classée, la recette se compose de deux couches. La première offre une plongée dans l'inconnu avec un mystère, des morts et pas mal de tension. La deuxième reconnecte son environnement et ses personnages à une certaine réalité, transformant le film en fable sinistre à la Edgar Allan Poe.
À bien des égards, le long-métrage est parfaitement raccords avec les précédents travaux de Cooper peuplés de personnages délaissés ou hantés, en prise avec le passé. Ce qui est rigoureusement le cœur du film, le retour à l'industrie du charbon marquant la résurgence d'un mal qui remonte des entrailles. Une germe qui contamine, altère et se propage, en ramenant ses victimes à un stade inférieur...et terrifiant. La métaphore est claire comme de l'eau de roche, sa traduction cinématographique est d'une noirceur absolue. La structure est connue, Affamés radote légèrement dans certains passages obligés (?) mais la conclusion rachète presque à elle-seule ces errements. Et puis, il serait cruel d'oublier l'éclatante maîtrise de Cooper à la caméra pour créer une atmosphère, en seulement quelques plans, souvent de simples travellings. Sans parler de la photographie, exceptionnelle dans les séquences nocturnes. Terminons avec les comédiens, au diapason : Keri Russell, Jesse Plemmons et surtout l'incroyable Jeremy T. Thomas.
Dans un mélange de nostalgie salvatrice et de pure gestion de l'épouvante, Scott Cooper trouve le ton juste entre ambiance, suggestion et déflagration (elles sont très violentes, soyez-prévenus). L'exploration dans l'horreur n'a rien d'une commande livrée sans passion, loin de là. En plus d'être une jolie révérence à l'une des plus grandes séries US, Cooper poursuit son chemin dans l'Amérique des sacrifiés.
Ufuk K
"Affamés" est un drame horrifique qui sort des sentiers battus . En effet j'ai beaucoup aimé la première partie du film qui se veut psychologique et émouvante décrivant le quotidien âpre d'un jeune adolescent dans une petite ville des Etats Unis frappé par la misère, la toxicomanie et décrivant les conséquences des abus sur l'enfant , la seconde partie se veut plus horrifique avec quelques scènes gores que j'ai moins aimé , parfois sans intérêt dommage car ce film à des qualités évidentes.
Moyen mais uns superbe bonne son. Et actrice principale sublime. Avec senes bien choques !a voir qd meme
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