Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
CNews
par Chloé Ronchin
Même si le film contient des longueurs parfois pesantes, le scénario est original et tient en haleine.
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Ne pas s’attendre à de l’efficacité de grand huit ou à du jumpscare : bien que parfois très sanglant, "Affamés" n’est pas tant immédiatement effrayant que d’une tristesse sans nom.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Parisien
par Michel Valentin
Une atmosphère grise qui sied à merveille à ce film d’horreur sociale qui prend à mi-parcours un virage nettement fantastique, convoquant quelques légendes amérindiennes bien gratinées qui justifieront plus tard des scènes gores et violentes à souhait.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Laurent Duroche
En un sens, Affamés est aussi mort à l'intérieur que ses personnages et le bout d'Amérique qu'il met en scène, et c'est justement ce qui en fait une oeuvre digne et humaine, dont les imperfections flagrantes résultent d'un admirable acharnement à raconter son histoire de la façon la plus pure possible.
Télé Loisirs
par Gwenola Trouillard
Inspiré des mythes amérindiens, ce thriller d'atmosphère est vraiment flippant.
Ecran Large
par La rédaction
Scott Cooper se réapproprie les codes du film de monstre sans pour autant les chambouler.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Atmosphère particulièrement malsaine et oppressante et mise en scène élégante et audacieuse pour un conte macabre singulier, produit par Guillermo del Toro.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
L’auteur des Brasiers de la colère et d’Hostiles s’est associé à Guillermo del Toro pour réaliser ce film d’horreur très classique dans sa construction, mais qui, en abordant des thèmes plus profonds, réussit in fine à surprendre en brisant quelques tabous.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Si le film, ambitieux, brasse trop de thèmes (inceste, famille...), ses monstres, voraces, tapis dans l’obscurité, fichent vraiment la pétoche.
Télérama
par La rédaction
En faisant rimer blessures intimes et morsures mortelles d’un monstre tout-puissant qu’il faudrait pouvoir éliminer, Affamés déroule un univers audacieux, à la fois social, psychanalytique et imaginaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Clément Rauger
Peu de choses à se mettre sous la dent face à une œuvre suivant paresseusement les trajectoires déjà balisées d’un cinéma d’horreur contemporain trop souvent plombé par la lourdeur de ses descriptions psychologiques.
Le Monde
par Mathieu Macheret
L'atmosphère postindustrielle et son désarroi sont bien dépeints, mais le film est miné par une pesanteur psychologique.
Positif
par Pierre Eisenreich
Si on reconnaît bien l’inspiration protéiforme de Guillermo del Toro qui est producteur du film, la comparaison avec le maître actuel du fantastique horrifique s’arrête là, en raison d’une mise en scène qui ne parvient pas à ménager ses effets.
L'Ecran Fantastique
par Théodore Anglio-Longre
Plutôt que de jouer avec l'épouvante, Scott Cooper se borne à en employer les codes comme un ennuyeux cahier des charges.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Scott Cooper avait su redonner du souffle au western avec Hostile. Il est moins doué pour faire peur avec cette histoire de monstre légendaire dans une ville minière de l'Oregon. Du sous-Stephen King.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Camille Nevers
Mélangeant folklore amérindien et enfants possédés, la tambouille d’horreur arty de Scott Cooper n’a aucun intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Sylvestre Picard
Franchement, on aimerait beaucoup adorer ça inconditionnellement (le fan-club de True Detective est toujours actif à la rédac, et toujours autant en état de manque), mais à l'exception de quelques visions gores bien troussées, Affamés se révèle bien trop fade pour nous satisfaire.
La critique complète est disponible sur le site Première
CNews
Même si le film contient des longueurs parfois pesantes, le scénario est original et tient en haleine.
CinemaTeaser
Ne pas s’attendre à de l’efficacité de grand huit ou à du jumpscare : bien que parfois très sanglant, "Affamés" n’est pas tant immédiatement effrayant que d’une tristesse sans nom.
Le Parisien
Une atmosphère grise qui sied à merveille à ce film d’horreur sociale qui prend à mi-parcours un virage nettement fantastique, convoquant quelques légendes amérindiennes bien gratinées qui justifieront plus tard des scènes gores et violentes à souhait.
Mad Movies
En un sens, Affamés est aussi mort à l'intérieur que ses personnages et le bout d'Amérique qu'il met en scène, et c'est justement ce qui en fait une oeuvre digne et humaine, dont les imperfections flagrantes résultent d'un admirable acharnement à raconter son histoire de la façon la plus pure possible.
Télé Loisirs
Inspiré des mythes amérindiens, ce thriller d'atmosphère est vraiment flippant.
Ecran Large
Scott Cooper se réapproprie les codes du film de monstre sans pour autant les chambouler.
Le Journal du Dimanche
Atmosphère particulièrement malsaine et oppressante et mise en scène élégante et audacieuse pour un conte macabre singulier, produit par Guillermo del Toro.
Les Fiches du Cinéma
L’auteur des Brasiers de la colère et d’Hostiles s’est associé à Guillermo del Toro pour réaliser ce film d’horreur très classique dans sa construction, mais qui, en abordant des thèmes plus profonds, réussit in fine à surprendre en brisant quelques tabous.
Télé 7 Jours
Si le film, ambitieux, brasse trop de thèmes (inceste, famille...), ses monstres, voraces, tapis dans l’obscurité, fichent vraiment la pétoche.
Télérama
En faisant rimer blessures intimes et morsures mortelles d’un monstre tout-puissant qu’il faudrait pouvoir éliminer, Affamés déroule un univers audacieux, à la fois social, psychanalytique et imaginaire.
Cahiers du Cinéma
Peu de choses à se mettre sous la dent face à une œuvre suivant paresseusement les trajectoires déjà balisées d’un cinéma d’horreur contemporain trop souvent plombé par la lourdeur de ses descriptions psychologiques.
Le Monde
L'atmosphère postindustrielle et son désarroi sont bien dépeints, mais le film est miné par une pesanteur psychologique.
Positif
Si on reconnaît bien l’inspiration protéiforme de Guillermo del Toro qui est producteur du film, la comparaison avec le maître actuel du fantastique horrifique s’arrête là, en raison d’une mise en scène qui ne parvient pas à ménager ses effets.
L'Ecran Fantastique
Plutôt que de jouer avec l'épouvante, Scott Cooper se borne à en employer les codes comme un ennuyeux cahier des charges.
Le Figaro
Scott Cooper avait su redonner du souffle au western avec Hostile. Il est moins doué pour faire peur avec cette histoire de monstre légendaire dans une ville minière de l'Oregon. Du sous-Stephen King.
Libération
Mélangeant folklore amérindien et enfants possédés, la tambouille d’horreur arty de Scott Cooper n’a aucun intérêt.
Première
Franchement, on aimerait beaucoup adorer ça inconditionnellement (le fan-club de True Detective est toujours actif à la rédac, et toujours autant en état de manque), mais à l'exception de quelques visions gores bien troussées, Affamés se révèle bien trop fade pour nous satisfaire.