Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Le Journal du Geek
par Julie Hay
Une fable de monstres aboutie, qui rend hommage aux films noirs et au fantastique, porté par un casting monstrueux. Bradley Cooper s'impose comme un caméléon du grand-écran devant la caméra du réalisateur et signe sans doute ici sa performance la plus remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Ouest France
par Thierry Chèze
Un film noir prenant de bout en bout grâce à la mise en scène et l'interprétation enlevée de Bradley Cooper.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
On plonge dans un thriller somptueux, sinueux et vénéneux à souhait, avec ses bonimenteurs interlopes, ses fausses magiciennes et sa blonde fatale, incarnée par une Cate Blanchett spectaculaire.
Télé Loisirs
par Émilie Leoni
Explorant un récit plus ancré dans une forme de réalité, le génial réalisateur de La Forme de l'eau n'en laisse pas moins exploser son imaginaire visuel et son attrait pour le fabuleux dans un brillant hommage au film noir, où le rêve américain se transforme en réel cauchemar.
20 Minutes
par Caroline Vié
Après « La forme de l’eau », Guillermo Del Toro signe un hommage au film noir dans la sombre « Nightmare Alley ».
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par Chloé Ronchin
Magnifiquement tourné et porté par des personnages hauts en couleur, le film bénéficie en outre de décors extravagants.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Closer
par O.C.
Avec ce freak show aux décors et à la lumière sublimes, le réalisateur mexicain laisse libre court à son sens du spectacle et de la tragédie humaine.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Guillermo del Toro explore l'horreur qui se tapît dans le (film) noir et la monstruosité qui empoisonne ses personnages avec une sensibilité suffisante pour rendre leurs destinées déchirantes.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Filmsactu
par Olivier Portnoi
Un délice de créativité et de trouvailles visuelles pour un film qui vous hantera encore bien après le générique de fin.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Nightmare Alley enchantera les amateurs de mystère, dans une intrigue menée de main de maître. Fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par Etienne Sorin
Avec Cate Blanchett et Bradley Cooper, le réalisateur mexicain s’essaie au film noir. Avec élégance et talent.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un somptueux film noir en couleur, à la photographie et à la direction artistique éblouissantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Pour finaliser ce film-fleuve, Guillermo del Toro, brillant réalisateur de « La Forme de l’eau », n’a pas lésiné pour ancrer son récit dans une obscurité extrême et jouer avec toute l’imagerie classique du film noir.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Sandra Onana
Au fond, Nightmare Alley révèle peut-être ce qu’on avait toujours rêvé de voir del Toro faire, avec la vitalité créatrice qui est la sienne, pour atteindre l’osmose entre la grosse machinerie et le fétichisme formel, au-delà du standard «Disney pour adultes».
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Christian Viviani
Moins libre dans son imaginaire que La Forme de l’eau, Nightmare Alley n’en reste pas moins le saisissant témoignage d’un talent visionnaire et stimulant. Ce qui est particulièrement réconfortant, c’est que cette imagination, à la fois débridée et cohérente, choisit de s’affirmer dans un cinéma adulte, sans faire de concession facile aux spectateurs adolescents qui paraissent de plus en plus être les seuls à pouvoir assurer la viabilité des projections en salle.
Première
par Guillaume Bonnet
L’échec fracassant du film au box-office US en est la conséquence directe, et la suprême ironie. Confronté à l’écran-miroir, il est sans doute plus facile pour le grand public d’aller se promener de l’autre côté que de faire face à la nature humaine dans ce qu’elle a de plus vertigineux. Dans Nightmare Alley, on la retrouve telle que l’a toujours révélée le film Noir.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par Sarah Lévy-Laithier
L'univers de Guillermo Del Toro se trouve un décor parfait : celui des foires aux monstres des années 1940 qui rappellent le film Freaks.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Le risque d’un tel… référencement pour pareil dingue de cinéma était de s’y perdre, voire de s’y laisser enfermer, à plus forte raison pour un style dont les codes figurent parmi les plus balisés. Réglons l’affaire illico : del Toro évite le piège avec brio (...).
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Samuel Douhaire
Avec ses couleurs profondes, ses décors luxueux et ses soudaines explosions de violence gore, Nightmare Alley ne joue pas la carte du polar rétro, mais du thriller contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une fable noire mâtinée de tarot et de psychanalyse, visuellement superbe, sur laquelle plane le Freaks de Tod Browning.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
S’il fallait écrire sur un écran de cinéma le syndrome de l’imposture et de la manipulation psychique, Guillermo del Toro l’a fait à travers cet éblouissant Nightmare Alley.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Le film semble alors faire le commentaire de son propre excès : l’escroquerie doit être de plus en plus grande et lourde de conséquences. Le risque, pour le magicien comme pour le cinéaste, est de devenir à son tour un pantin de l’industrie qu’il voulait conquérir.
Critikat.com
par Josué Morel
Sans être tout à fait accompli, Nightmare Alley s'affirme comme le plus convaincant des films de del Toro. Une bonne surprise.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
C’est ambitieux, léché. Trop, tant les enjeux ont du mal à maintenir la tension et les aspérités à percer la surface de ce long film dont le style ripoliné flirte avec le pastiche.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Malgré sa sincère dimension personnelle, cette fable âpre sur le poids des déterminismes sociaux est alourdie par un dénouement inutilement long et grandiloquent qui aurait mérité un coup de baguette magique au montage.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Film ambitieux (...) Nightmare Alley s'appréciera comme une belle horlogerie baroque, à laquelle manque sans doute l'intime nécessité et l'intime palpitation d'un coeur vivant.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
L'auteur de « La Forme de l'eau » revient avec un hommage au film noir, une histoire d'arnaque et de mentalisme porté par une distribution de stars. Un spectacle splendide mais étouffant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
En racontant l’histoire d’un faux devin cupide dans l’Amérique des années 1940, del Toro délaisse les monstres touchants pour livrer un film noir pas toujours subtil, mais d’une noirceur, d’un pessimisme étonnant, témoignant d’un renouvellement inattendu.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
En dehors des moments où le film cherche trop à se théoriser, à endosser de façon excessivement littérale son rôle de commentateur des arcanes du spectacle, del Toro parvient à donner à son film un certain souffle, à déployer sans trembler un ambitieux rise and fall néo-baroque qui tient la durée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Gilles Esposito
Le styliste del Toro s'en donne à coeur joie avec ce décor forain, qu'il peut sillonner avec des travellings courant au ras du sol et peindre de couleurs carnavalesques. Cependant, sa virtuosité semble parfois tourner à vide.
Le Journal du Geek
Une fable de monstres aboutie, qui rend hommage aux films noirs et au fantastique, porté par un casting monstrueux. Bradley Cooper s'impose comme un caméléon du grand-écran devant la caméra du réalisateur et signe sans doute ici sa performance la plus remarquable.
Ouest France
Un film noir prenant de bout en bout grâce à la mise en scène et l'interprétation enlevée de Bradley Cooper.
Télé 7 Jours
On plonge dans un thriller somptueux, sinueux et vénéneux à souhait, avec ses bonimenteurs interlopes, ses fausses magiciennes et sa blonde fatale, incarnée par une Cate Blanchett spectaculaire.
Télé Loisirs
Explorant un récit plus ancré dans une forme de réalité, le génial réalisateur de La Forme de l'eau n'en laisse pas moins exploser son imaginaire visuel et son attrait pour le fabuleux dans un brillant hommage au film noir, où le rêve américain se transforme en réel cauchemar.
20 Minutes
Après « La forme de l’eau », Guillermo Del Toro signe un hommage au film noir dans la sombre « Nightmare Alley ».
CNews
Magnifiquement tourné et porté par des personnages hauts en couleur, le film bénéficie en outre de décors extravagants.
Closer
Avec ce freak show aux décors et à la lumière sublimes, le réalisateur mexicain laisse libre court à son sens du spectacle et de la tragédie humaine.
Ecran Large
Guillermo del Toro explore l'horreur qui se tapît dans le (film) noir et la monstruosité qui empoisonne ses personnages avec une sensibilité suffisante pour rendre leurs destinées déchirantes.
Filmsactu
Un délice de créativité et de trouvailles visuelles pour un film qui vous hantera encore bien après le générique de fin.
Franceinfo Culture
Nightmare Alley enchantera les amateurs de mystère, dans une intrigue menée de main de maître. Fascinant.
Le Figaro
Avec Cate Blanchett et Bradley Cooper, le réalisateur mexicain s’essaie au film noir. Avec élégance et talent.
Le Journal du Dimanche
Un somptueux film noir en couleur, à la photographie et à la direction artistique éblouissantes.
Le Parisien
Pour finaliser ce film-fleuve, Guillermo del Toro, brillant réalisateur de « La Forme de l’eau », n’a pas lésiné pour ancrer son récit dans une obscurité extrême et jouer avec toute l’imagerie classique du film noir.
Libération
Au fond, Nightmare Alley révèle peut-être ce qu’on avait toujours rêvé de voir del Toro faire, avec la vitalité créatrice qui est la sienne, pour atteindre l’osmose entre la grosse machinerie et le fétichisme formel, au-delà du standard «Disney pour adultes».
Positif
Moins libre dans son imaginaire que La Forme de l’eau, Nightmare Alley n’en reste pas moins le saisissant témoignage d’un talent visionnaire et stimulant. Ce qui est particulièrement réconfortant, c’est que cette imagination, à la fois débridée et cohérente, choisit de s’affirmer dans un cinéma adulte, sans faire de concession facile aux spectateurs adolescents qui paraissent de plus en plus être les seuls à pouvoir assurer la viabilité des projections en salle.
Première
L’échec fracassant du film au box-office US en est la conséquence directe, et la suprême ironie. Confronté à l’écran-miroir, il est sans doute plus facile pour le grand public d’aller se promener de l’autre côté que de faire face à la nature humaine dans ce qu’elle a de plus vertigineux. Dans Nightmare Alley, on la retrouve telle que l’a toujours révélée le film Noir.
Public
L'univers de Guillermo Del Toro se trouve un décor parfait : celui des foires aux monstres des années 1940 qui rappellent le film Freaks.
Rolling Stone
Le risque d’un tel… référencement pour pareil dingue de cinéma était de s’y perdre, voire de s’y laisser enfermer, à plus forte raison pour un style dont les codes figurent parmi les plus balisés. Réglons l’affaire illico : del Toro évite le piège avec brio (...).
Télérama
Avec ses couleurs profondes, ses décors luxueux et ses soudaines explosions de violence gore, Nightmare Alley ne joue pas la carte du polar rétro, mais du thriller contemporain.
Voici
Une fable noire mâtinée de tarot et de psychanalyse, visuellement superbe, sur laquelle plane le Freaks de Tod Browning.
aVoir-aLire.com
S’il fallait écrire sur un écran de cinéma le syndrome de l’imposture et de la manipulation psychique, Guillermo del Toro l’a fait à travers cet éblouissant Nightmare Alley.
Cahiers du Cinéma
Le film semble alors faire le commentaire de son propre excès : l’escroquerie doit être de plus en plus grande et lourde de conséquences. Le risque, pour le magicien comme pour le cinéaste, est de devenir à son tour un pantin de l’industrie qu’il voulait conquérir.
Critikat.com
Sans être tout à fait accompli, Nightmare Alley s'affirme comme le plus convaincant des films de del Toro. Une bonne surprise.
L'Obs
C’est ambitieux, léché. Trop, tant les enjeux ont du mal à maintenir la tension et les aspérités à percer la surface de ce long film dont le style ripoliné flirte avec le pastiche.
La Croix
Malgré sa sincère dimension personnelle, cette fable âpre sur le poids des déterminismes sociaux est alourdie par un dénouement inutilement long et grandiloquent qui aurait mérité un coup de baguette magique au montage.
Le Monde
Film ambitieux (...) Nightmare Alley s'appréciera comme une belle horlogerie baroque, à laquelle manque sans doute l'intime nécessité et l'intime palpitation d'un coeur vivant.
Les Echos
L'auteur de « La Forme de l'eau » revient avec un hommage au film noir, une histoire d'arnaque et de mentalisme porté par une distribution de stars. Un spectacle splendide mais étouffant.
Les Fiches du Cinéma
En racontant l’histoire d’un faux devin cupide dans l’Amérique des années 1940, del Toro délaisse les monstres touchants pour livrer un film noir pas toujours subtil, mais d’une noirceur, d’un pessimisme étonnant, témoignant d’un renouvellement inattendu.
Les Inrockuptibles
En dehors des moments où le film cherche trop à se théoriser, à endosser de façon excessivement littérale son rôle de commentateur des arcanes du spectacle, del Toro parvient à donner à son film un certain souffle, à déployer sans trembler un ambitieux rise and fall néo-baroque qui tient la durée.
Mad Movies
Le styliste del Toro s'en donne à coeur joie avec ce décor forain, qu'il peut sillonner avec des travellings courant au ras du sol et peindre de couleurs carnavalesques. Cependant, sa virtuosité semble parfois tourner à vide.