Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Positif
par Eithne O'Neill
Le film réussit l'équilibre entre ces tristes destinées et une dignité innée que ce travail d'expression contribue à renforcer. (...) À voir absolument.
Critikat.com
par Benoît Smith
Pour l'invitée Mercurio comme pour l'hôte Ruiz, il s'agit d'aménager un réceptacle pour une parole libérée ; mais plutôt que d'aligner sagement son dispositif filmique sur le théâtral, la cinéaste l'y superpose et y implante le point de vue cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
La cinéaste poursuit son travail sur les questions de l’enfermement à partir du théâtre de Didier Ruiz. Intense, et salutaire alors que les conditions d’incarcération ne cessent de se dégrader.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Quand le théâtre retrouve ses lettres de noblesse politique...
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Pierre Murat
Le film ne milite que pour la dignité que l’on doit à tout être, même coupable, qui se retrouve en prison. Il est simple, sobre et beau.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un bouleversant documentaire sur le traumatisme carcéral, autant qu’un dispositif subtil sur les rapports entre l’art dramatique et le réel.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
En filmant les répétitions d’une pièce mettant en scène d’anciens détenus, Stéphane Mercurio saisit avec subtilité les stigmates de l’enfermement sur le corps et l’esprit.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Le réalisateur a suivi le travail de patience et de confiance réciproque de l'homme de théâtre Didier Ruiz auprès d'un groupe d'anciens détenus ayant purgé de longues peines. Quatre hommes, une femme. De fortes personnalités qui expriment leur vérité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Murielle Joudet
Très émouvant, Après l’ombre est un document nécessaire et d’une évidente portée politique.
Le Parisien
par La Rédaction
Un film où s’enchaînent des récits poignants et où surgit enfin une petite lumière… après l’ombre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Christophe Narbonne
Cette libération d'une parole longtemps muselée offre de beaux moments d'émotion que la caméra, empathique, enregistre à bonne distance.
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Le dispositif de répétition théâtrale qui permet la libération de la parole est aussi celui qui la bride – mais il suffit de quelques mots pour qu’on plonge dans une souffrance à long terme rarement montrée et vertigineuse.
Positif
Le film réussit l'équilibre entre ces tristes destinées et une dignité innée que ce travail d'expression contribue à renforcer. (...) À voir absolument.
Critikat.com
Pour l'invitée Mercurio comme pour l'hôte Ruiz, il s'agit d'aménager un réceptacle pour une parole libérée ; mais plutôt que d'aligner sagement son dispositif filmique sur le théâtral, la cinéaste l'y superpose et y implante le point de vue cinématographique.
L'Humanité
La cinéaste poursuit son travail sur les questions de l’enfermement à partir du théâtre de Didier Ruiz. Intense, et salutaire alors que les conditions d’incarcération ne cessent de se dégrader.
Les Fiches du Cinéma
Quand le théâtre retrouve ses lettres de noblesse politique...
Télérama
Le film ne milite que pour la dignité que l’on doit à tout être, même coupable, qui se retrouve en prison. Il est simple, sobre et beau.
aVoir-aLire.com
Un bouleversant documentaire sur le traumatisme carcéral, autant qu’un dispositif subtil sur les rapports entre l’art dramatique et le réel.
La Croix
En filmant les répétitions d’une pièce mettant en scène d’anciens détenus, Stéphane Mercurio saisit avec subtilité les stigmates de l’enfermement sur le corps et l’esprit.
Le Figaro
Le réalisateur a suivi le travail de patience et de confiance réciproque de l'homme de théâtre Didier Ruiz auprès d'un groupe d'anciens détenus ayant purgé de longues peines. Quatre hommes, une femme. De fortes personnalités qui expriment leur vérité.
Le Monde
Très émouvant, Après l’ombre est un document nécessaire et d’une évidente portée politique.
Le Parisien
Un film où s’enchaînent des récits poignants et où surgit enfin une petite lumière… après l’ombre.
Première
Cette libération d'une parole longtemps muselée offre de beaux moments d'émotion que la caméra, empathique, enregistre à bonne distance.
Cahiers du Cinéma
Le dispositif de répétition théâtrale qui permet la libération de la parole est aussi celui qui la bride – mais il suffit de quelques mots pour qu’on plonge dans une souffrance à long terme rarement montrée et vertigineuse.