Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Péripéties, déboires et heurs d'un orphelin et d'une nourrice à travers l'Europe du XVIIIe siècle : il y a des traîtres patibulaires, des hommes d'Eglise douteux, des marquis élégants, des duels, des grands chemins, des amours furtives… Bref, tout ce qu'il faut pour être dans la tradition de l'aventure pittoresque.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Nicolas Bauche
Comme toujours chez Castelo Branco, l'identité sociale est une métamorphose permanente. Elle hisse la souillon au rang de princesse et vice-versa. C'est une traversée des apparences, une matrice qui infléchit le récit à l'envi et fluidifie la rigidité d'une société encore divisée en ordres.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Pour ces marivaudages et ses secrets de famille empreints de trahisons, la réalisatrice Valeria Sarmiento brosse le portrait subtil et passionnant d’une Europe de fin de siècle, le XVIIIème siècle, avec la grâce et la délicatesse de Philippe Watteau ou Jean-Honoré Fragonard.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par La Rédaction
Il manque malheureusement un rythme pouvant nous emporter dans les complications de l'intrigue et le mouvement de l'époque même si Valeria Sarmiento cisèle finement les scènes intimistes, les sentiments, les élans du coeur et les déceptions.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Tout ici est mis en scène avec une économie judicieuse qui, à force de litotes visuelles et narratives, parvient à suggérer une scène historique agitée d’obscurs mouvements, passant allègrement de Rome à Londres, de Parme à Paris, glissant de salons en chambres et de couloirs en catacombes.
Libération
par Marcos Uzal
Projet du défunt Raoul Ruiz repris par Valeria Sarmiento, ce prequel des "Mystères de Lisbonne" est plombé par la légèreté de ses moyens mais ne manque pas de charme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
Malgré une direction d’acteurs parfois un peu flottante, ce film dépayse et parvient à saisir avec peu de moyens ce qu’est une destinée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le contexte historique, assez discret, sert de toile de fond à cette geste romanesque de bon aloi qui, malgré la variété des lieux, la beauté des décors et l’impeccabilité des acteurs (dont Stanislas Merhar), manque un peu de folie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Corentin Lê
Au-delà de son parti pris littéraire élaboré, un film d’apparat raté, confondant polissage et politesse. La pudibonderie excessive n’y dissimule aucun trouble hormis celui - expédié et inexploité - amené par l’objet de son titre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
"Le Cahier noir" pâtit d’un réel manque de vigueur face auquel une excellente Lou de Laâge ne peut rien.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Frédéric Foubert
Le rythme anémique du récit, les interprétations monolithiques des comédiens et l’atmosphère de production SFP naphtalinée risquent de refroidir les autres.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
Péripéties, déboires et heurs d'un orphelin et d'une nourrice à travers l'Europe du XVIIIe siècle : il y a des traîtres patibulaires, des hommes d'Eglise douteux, des marquis élégants, des duels, des grands chemins, des amours furtives… Bref, tout ce qu'il faut pour être dans la tradition de l'aventure pittoresque.
Positif
Comme toujours chez Castelo Branco, l'identité sociale est une métamorphose permanente. Elle hisse la souillon au rang de princesse et vice-versa. C'est une traversée des apparences, une matrice qui infléchit le récit à l'envi et fluidifie la rigidité d'une société encore divisée en ordres.
aVoir-aLire.com
Pour ces marivaudages et ses secrets de famille empreints de trahisons, la réalisatrice Valeria Sarmiento brosse le portrait subtil et passionnant d’une Europe de fin de siècle, le XVIIIème siècle, avec la grâce et la délicatesse de Philippe Watteau ou Jean-Honoré Fragonard.
Le Figaro
Il manque malheureusement un rythme pouvant nous emporter dans les complications de l'intrigue et le mouvement de l'époque même si Valeria Sarmiento cisèle finement les scènes intimistes, les sentiments, les élans du coeur et les déceptions.
Le Monde
Tout ici est mis en scène avec une économie judicieuse qui, à force de litotes visuelles et narratives, parvient à suggérer une scène historique agitée d’obscurs mouvements, passant allègrement de Rome à Londres, de Parme à Paris, glissant de salons en chambres et de couloirs en catacombes.
Libération
Projet du défunt Raoul Ruiz repris par Valeria Sarmiento, ce prequel des "Mystères de Lisbonne" est plombé par la légèreté de ses moyens mais ne manque pas de charme.
Télérama
Malgré une direction d’acteurs parfois un peu flottante, ce film dépayse et parvient à saisir avec peu de moyens ce qu’est une destinée.
L'Humanité
Le contexte historique, assez discret, sert de toile de fond à cette geste romanesque de bon aloi qui, malgré la variété des lieux, la beauté des décors et l’impeccabilité des acteurs (dont Stanislas Merhar), manque un peu de folie.
Les Fiches du Cinéma
Au-delà de son parti pris littéraire élaboré, un film d’apparat raté, confondant polissage et politesse. La pudibonderie excessive n’y dissimule aucun trouble hormis celui - expédié et inexploité - amené par l’objet de son titre.
Les Inrockuptibles
"Le Cahier noir" pâtit d’un réel manque de vigueur face auquel une excellente Lou de Laâge ne peut rien.
Première
Le rythme anémique du récit, les interprétations monolithiques des comédiens et l’atmosphère de production SFP naphtalinée risquent de refroidir les autres.