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    Papillon
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    4,3
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    240 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 juillet 2009
    le film a vieilli ;et franchement le livre est bien meilleur ;d'ailleurs dans le film on se demande ;quand on a deja lu le livre ;que fait dustin hoffman en plus la violence carcerale est poussee aux limites bestiales ;c'est presque un paradigme
    Gabriel B
    Gabriel B

    5 abonnés 359 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 septembre 2012
    Surement la plus grande performance à l'écran pour Steve Mcqueen accompagné d'un Dustin Hoffman encore une fois génial... Film magnifique dépeignant à merveille l'univers du pénitencier de Cayenne : la liberté ou la mort, la liberté ou la folie, l'espoir ou le désespoir...
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 177 abonnés 4 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 août 2020
    « Papillon » réalisé par Franklin J. Schaffner en 1973 à partir de la biographie romancée d’Henri Charrière, (ancien bagnard de Guyane aux multiples tentatives d’évasion), offre à Steve Mac Queen alors seulement âgé de 42 ans, son dernier grand rôle. L’acteur enchaîne depuis une dizaine d’années les interprétations charismatiques (« La grande évasion », « Le kid de Cincinnati », « La canonnière du Yang-Tse », « Bullitt » ou encore « L’affaire Thomas Crown ») qui vont l’amener rang de star. A tel point, qu’il parviendra en 1974 à voler la tête d’affiche à Paul Newman pour ce qui sera son dernier grand succès populaire dans « La tour infernale » de John Guillermin. Miné par un cancer, celui qui incarnait la « cool attitude » disparaîtra en 1980 pour devenir un mythe. L’acteur est arrivé sur cette production franco-américaine une fois que l’idée de confier le rôle de Papillon à Jean-Paul Belmondo ou à Warren Beatty sous la direction de Roman Polanski n’a pas abouti. Même s’il doit accepter des transformations physiques qui ne sont pas très glamour, il est en terrain connu et n’a aucun mal à entrer dans la peau de cet homme épris de liberté comme l’indique le tatouage gravé sur sa poitrine qui lui vaut son surnom. A ses côtés, Dustin Hoffman alors en pleine ascension, interprète Louis Delga, personnage imaginaire qui serait l'émanation d'Emmanuel Delegato, petit truand marseillais condamné dans l'affaire des faux bons de la Défense Nationale. L’alchimie entre les deux acteurs qui ont en commun d’avoir tourné sous la direction de Sam Peckinpah, fonctionne parfaitement à l’écran. Donald Trumbo appelé à la rescousse pour remanier un scénario dont la rédaction traînait en longueur est parvenu à équilibrer les scènes pour éviter que les egos ne s’affrontent trop brutalement et à tirer le meilleur parti des décors exotiques afin de donner sa dimension épique au film. On reste donc dans la pure tradition du film d’aventures hollywoodien construit à partir du dosage savant des moments de bravoure et des retournements de situation propres à ne jamais faire retomber la tension tout au long des deux heures que dure le film. Franklin J. Schaffner habitué à diriger de grosses productions assure la livraison d’un « Papillon » répondant parfaitement mais sans génie à son cahier des charges. Malgré des procédés de mise en scène parfois un peu trop visibles sans être toutefois racoleurs, les conditions d’enfermement inhumaines du dernier bagne français en activité ne sont pas édulcorées (le bagne de Saint-Laurent-sur-Maroni fermera définitivement ses portes en 1946). Un remake de 2017 réalisé par Michael Noer avec Charlie Hunnan et Rami Malek propose une vision plus épurée et plus sombre de l’aventure d’Henri Charrière complémentaire du film de Schaffner.
    AMCHI
    AMCHI

    5 794 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mars 2017
    Avec Papillon Steve McQueen trouve le plus beau rôle de sa carrière magnifiquement secondé par Dustin Hoffman. Le réalisateur Schaffner est un habitué des histoires fortes et avec Papillon on est servi, les dures conditions des prisons guyanaises sont montrés dans toute leur horreur (bien que certains prisonniers ont sans doute mérité leur sort et qu'ils n'étaient pas tendres entre eux). On suit avec passion l'envie d'évasion et ses tentatives de Papillon. Une très belle oeuvre du 7ème Art.
    MC4815162342
    MC4815162342

    397 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 août 2014
    Un biopic vraiment impressionnant sur un homme surnommé Papillon, un surnom qui lui vient de son tatouage qui n'est autre qu'un papillon, un homme accusé à tort de meurtre et condamné à la prison à vie, sur le bateau qui emmène les prisonniers au bagne de Cayenne il fait la connaissance d'un certains Louis Dega, coupable de fraude et de contrefaçon, qui a pas mal d'argent, Papillon lui propose de le protéger durant toute la traversée en échange d'argent pour pouvoir à l'arrivée s'acheter un bateau et s'évader, malheureusement ses tentatives lui ont valu un exil sur Devil's Island, une prison sur une île dont personne n'a jamais réussi à s'enfuir.Mais Papillon n'a pas dit son dernier mot.Un drame extrêmement bien construit à l'histoire très dure, une histoire vraie en plus.Condamné à la prison à vie pour une chose qu'il n'a pas commise, ça c'est juste à mourir de rire, de tout temps la justice a fait des fautes d'une débilité affligeante, c'est dingue de pourrir la vie d'une personne pour rien, ça me révolte ce genre de chose mais je ne peux rien y faire malheureusement.Ce Papillon a vraiment eu un courage de fou et le très connu à l'époque Steve McQueen l'incarne à merveille, c'est un acteur qui ne m'a jamais vraiment bluffé, je le trouve pas incroyable mais là il faut avouer qu'il s'en sort parfaitement bien, il est accompagné tout du long de son aventure par le jeune et déjà monstrueusement talentueux Dustin Hoffman qui incarne le fraudeur Dega.Tout deux comme bien d'autres ont vécus une aventure affreuse et traumatisante.Je viens de m'apercevoir que le réalisateur n'est autre que celui de La Planète des singes premier du nom, et bien ça ne m'étonne vraiment pas, quand je vois les décors vraiment dingues du film Papillon, ça ne m'étonne vraiment pas, la mise en scène est également remarquable, d'habitude les vielles mises en scène je les trouve pas forcement géniales mais là c'est différent, c'est un travail très spécial et digne des grands metteurs en scène, Franklin J. Schaffner en est peut être un du coup, je n'ai pas vu assez de ses films pour le dire mais si je devais juger sur celui ci et La Planète des singes je n'hésiterais pas à le dire.En bref, Papillon est un film qui est très clairement à voir, il ne faut pas passer à côté, une histoire incroyable et prenante, un casting parfait, une mise en scène et des décors magistraux ainsi qu'une très bonne bande son.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 8 mai 2012
    Film culte à voir au moins une fois. Cayenne c'est fini... Mais ça a existé !!!
    pierrre s.
    pierrre s.

    426 abonnés 3 304 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 juin 2013
    Un vrai grand moment de cinéma! Voilà ce qu'est Papillon, drame qui par son histoire poignante et authentique nous tient en haleine tout le long du film. Papillon, c'est également une ambiance, celle du bagne et des horreurs qui ont pu y être commises, le tout porté par un casting sur mesure!
    Raphaël O
    Raphaël O

    145 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 août 2014
    Adapté du roman éponyme, ce biopic à la mise en scène superbe est pourvu d'un excellent scénario, de décors et costumes fidèles à l'époque coloniale et est interprété par deux acteurs époustouflants dont un magistral Steve McQueen.
    Un chef-d'œuvre.
    caro18
    caro18

    172 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 juin 2009
    Il ne se passe pas grand chose et le temps parait long.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 146 abonnés 5 130 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 décembre 2017
    Finalement j’ai préféré la partie sauvage où les hommes survivent en milieu hostile.
    La première est singulièrement longue et répétitive malgré les enfermements subis.
    L’aventure est au rendez-vous évidemment grâce à la jungle.
    Alasky
    Alasky

    348 abonnés 3 394 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 avril 2020
    Oeuvre magistrale du 7ème art, Papillon est un film éloquent, palpitant et marquant. Bouleversant dans son récit, sa mise en scène, et surtout le jeu de son acteur principal : un Steve McQueen charismatique à souhait, touchant de justesse, probablement son meilleur rôle.
    maxime ...
    maxime ...

    239 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 avril 2023
    Papillon est la définition même d'un terme, un de ceux que le cinéma aime tant à s'imprégner, dépeindre, afin de mieux nous le rendre encore plus intense ... Ce mot, sans faire de mystère est belle et bien, épique ! Ce film, signé par Franklin J.Schaffner ( qui si connais en adaptation ! ) est une aventure incroyable, ses 50 piges ( 1973 ) sont encore resplendissantes.

    De suite, on ne nous épargne pas la dureté de l'épreuve. La pitance à la louche sous le déluge de la traversée, la chaleur insoutenable qui s'ensuit, avant de mettre pied à terre sous les coups de pompes ou de fusils ! Le sang coule, de manière explicite, la guillotine est présentée et mis en service quasiment dans la même foulée. Le sommeil - loin d'être réparateur - perpétue les chaines, cette fois, à l'aide d'un gigantesque vérin. Le travail au bagne, quand à lui consiste à gigoter dans la gadoue, à tirer des troncs et à capturer des caïmans ! Rajouter à cela, une menace de Malaria, et la partie de plaisir est maximale.

    Ce n'est que le début. On partage la quinine et les autres tourments selon les vues de l'entraide, du point de vue des prisonniers, j'entend. Si l'on excepte les prémices de la collab, l'union fait ici à défaut de force aux moins un peu de réconfort. La pluie principale n'est d'ailleurs pas atmosphérique, elle est l'œuvre de la main de l'homme, la ribambelle de cadavre qui s'additionne sur ces deux heures trente est phénoménale.

    Si complicité il y'a, la solitude est néanmoins un épicentre dans l'effet de bascule orchestré dans le sac de nœud de l'organisation qui mise, là encore, dans le texte à réduire au silence toute divergence à cette dernière. La réclusion, en grosse lettre nous apprend d'ailleurs à découvrir comment les cafards peuvent nous êtres utiles face à l'adaptation devant une telle situation. La bouftance, si peu ragoutante, devient luxe dans cette geôle en sous-bassement. La surveillance passe par le contrôle, les trappes, devant et derrière, ont aussi pour but de sacraliser le coup de sifflet. La plongée dans l'obscurité totale marque encore un peu plus significativement le tournant, et la mine, déconfite, traumatisé de Charrière. Les yeux bleus de chez bleu de son interprète sont d'ailleurs ms à contribution devant le jour soudain, qui es brulent vivacement. Dans la perfidie du geste, en toute et pour tout. Comment réduire la volonté d'un homme et le rendre à sa condition primale, en haillon, dans la traque de sa graille, le brisé, sans bâtons, juste dans l'oubli et l'humiliation.

    La crasse, l'ignominie, fond ici le récit de la torture. La dent qui se déchausse, et les mots du voisin de cellule font vaciller même le plus à même à encaisser. Enfin, pas tout à fait. Il y'a dans ce bout de papier cacher, dans la voix qui scande - " I Try ", une lueur, auquel on se rattache, avec et pour lui. Son retour à la vie et à la mort, cette fois réelle et non plus rêvé, nous ramène à une violence plus " soutenable ". C'est à cet instant que le film virevolte et change la donne.

    La première tentative de fuite vite annihilé laisse place à une mise en place bien plus rigoureuse. L'adrénaline se niche dès sa planification, trouve son paroxysme évidemment lors de l'acte entamé. La mise en scène de Franklin J.Schnaffer est d'ailleurs, je le note ici, complètement immersive et traduit un sentiment fort pour chorégraphier une aussi jolie danse. Une fois encore, la douleur reste de mise. La résorbassions de la jambe cassé se fait dans une première tentative assez maligne et attenue sa peine, la suite en revanche ...

    Je dois dire, que la découverte du rafiot, de la rencontre " fortuite " qui en découle et la revue du plan à cet instant est peut être mon passage préféré du film ! Enfin non, ce moment, précède mon vrai cruch. L'arrivée dans la nuit sur ce camp, dont on nous dit quel mal le ronge, est mon véritable passage charnière. L'épreuve du cigare, mais surtout ce " - Goodbye " ont d'office d'intégré mon panthéon personnel.

    Une fois la traversé, on va dire plus que rustique reprise, acheminé une fois encore dans le sang, la découverte de la terre reprend sa course implacable. La fléchette, la chute, n'amène pour autant pas à la capture. L'interstice muet de la séquence fait preuve d'accalmie, d'une pause dans le déferlement de coups et d'abandon. Le réveil et le nouvel exil sonne la fin du bonheur. L'exode est une fois encore mis en échec par une institution, et continue son chemin à répendre une colère face à un sort qui s'acharne. Les funérailles du compagnon, bequeté par les requins à peine le corps à la flotte est une autre de ses visions d'horreurs que comportent un film qui devient plus cruel encore ... La faute à l'espoir entrevue ?

    Non, la suite nous le prouve. Pas résigné par un recasement expéditif, l'ultime tentative, quasi-suicidaire, répond à laisser aller. Cette cascade à beau être sublime, on comprend la bravade ! J'ai glissé un mot, plus haut, pour son réalisateur, j'en ajoute un pour son acteur principal, Steve McQueen, merveilleux. Cet acteur, incarne la révolte et l'évasion, la porte comme étendard, qu'il soit escroc, pompier, cow-boy, marin ou prisonnier !

    Dustin Hoffman, très grand acteur, lui par contre livre une copie un peu surfaite et dans l'abus par une exagération de toutes les prises ! Mon seul point noir, enfin la face visible.

    Papillon sera bien une de mes plus belles immersion dans un film. Je l'ai suivi avec une passion grandissante, dans un crescendo fantasque à souhait !
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 624 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mars 2023
    Henri Charrière dit « Papillon » du fait d’un tatouage sur le torse, envoyé au bagne pour un meurtre qu’il niera, n’aura de cesse que d’essayer de s’en évader. Tiré du roman auto biographique du héros, l’histoire est romancée et réécrite à son avantage, la réalité est bien plus complexe que cette version que le cinéma se charge de rendre encore plus romanesque. Passons, c’est surtout un grand film d’aventure comme le cinéma américain savait en faire et qui malgré tout aborde avec beaucoup de justesse la dureté du bagne ; et dans l’un des plus dur, Cayenne. La reconstitution selon les spécialistes est très fidèle, que ce soit des conditions de vie que des châtiments infligés.
    Pour jouer le rôle phare, qui mieux que Steve Mc Queen qui incarna déjà le roi de l’évasion quelques années plus tôt dans « La grande évasion ». Le binome amical qu’il constitue avec Dustin Hoffman fonctionne à merveille pour un grand moment de cinéma à partager en famille.
    Mon fils de 14 ans ½ a été capté par cette histoire, même s’il a trouvé ce film vieillot sur de nombreux aspects.
    Tout-un-cinema.blogspot.com
    noodles2
    noodles2

    90 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 octobre 2024
    Un des meilleurs films d'évasion si ce n'est le meilleur de l'histoire du cinéma. Le plus beau rôle de Steve McQueen et un des meilleurs de Dustin Hoffman qui nous a habitué à des rôles de composition tout au long de sa grande carrière.
    Frappé aujourd’hui 50ans plus tard par la modernité de la mise en scène, les scènes crus et réalistes pour l’Époque, la violence exposée et souvent très dures à regarder, la véracité de l'interprétation, ce film n'a pas prit une ride et reflète un certain type de cinéma disparu qui alliait le grand spectacle et le cinéma d'Auteur.
    On souffre avec les personnages, et, malgré quelques longueurs (quand McQueen est au cachot), on reste scotché par ce film Hollywoodien, à la fois épique et intimiste, Huit clos à ciel ouvert, qui tient en haleine jusqu'à la fin, émouvante et jouissive. Un grand film Américain de l'histoire du Cinéma. et il serait temps de réhabiliter Franklin J Shaffner completement oublié des critiques car il a fait quelques films qui comptent vraiment dans l'histoire du cinéma en dehors de celui ci 'les planete des singes", "Patton" et ces garçons qui venaient du Bresil"
    Charlotte28
    Charlotte28

    123 abonnés 2 000 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 novembre 2020
    Une reconstitution minutieuse de l'environnement guadeloupéen ainsi que de l'atmosphère bagnarde du début du XXe siècle dans de somptueux paysages et décors qui ne détournent pas des thématiques principales d'un film dénué de tout didactisme et manichéisme dans son portrait de deux prisonniers qui s'apprivoisent, se respectent et apprennent à s'apprécier au-delà d'une fraternité de circonstances. Parcourue de suspense, l'intrigue se révèle prenante grâce aux péripéties intelligemment menées, à ce duo si charismatique d'acteurs et à la peinture cruelle de l'impact psychologique de l'incarcération et de l'isolement sur l'Homme. Une belle illustration d'un cinéma de qualité.
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