Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
France Soir
par Robert Chazal
Steve McQueen (…) colle au rôle de Papillon avec une vérite stupéfiante. (…) Il est vraiment l'interprète idéal de ce rôle écrasant et c'est désormais à travers lui que revivra pour nous ce Papillon déjà entré dans la légende. France-Soir, 23 janvier 74
La Croix
par Jean Rochereau
Les deux protagonistes : Steve McQueen et Dustin Hoffman sont, mieux que bien, prodigieux. (…) "Papillon" est un film à voir absolument. La Croix, 3 février 74
Positif
par Alain Garsault
Schaffner magnifie la volonté de résistance, il en exalte la nécessité. Une fois encore, la tradition hollywoodienne nous donne la plus utile et la plus actuelle des leçons. Positif 158, avril 74
Télérama
par Michel Lengliney
(…) dans l'ensemble, le film ménage un suspense solide. Télérama, 2 février 74
L'Humanité
par Albert Cervoni
(…) la mise en scène cinématographique est d'une telle platitude, dans son petit côté fignolé, tellement réduit à une interminable anecdote, que le spectateur prévoit tout les effets sans que jamais la réalisation ne prenne du nerf. L'Humanité, 9 février 74
France Soir
Steve McQueen (…) colle au rôle de Papillon avec une vérite stupéfiante. (…) Il est vraiment l'interprète idéal de ce rôle écrasant et c'est désormais à travers lui que revivra pour nous ce Papillon déjà entré dans la légende. France-Soir, 23 janvier 74
La Croix
Les deux protagonistes : Steve McQueen et Dustin Hoffman sont, mieux que bien, prodigieux. (…) "Papillon" est un film à voir absolument. La Croix, 3 février 74
Positif
Schaffner magnifie la volonté de résistance, il en exalte la nécessité. Une fois encore, la tradition hollywoodienne nous donne la plus utile et la plus actuelle des leçons. Positif 158, avril 74
Télérama
(…) dans l'ensemble, le film ménage un suspense solide. Télérama, 2 février 74
L'Humanité
(…) la mise en scène cinématographique est d'une telle platitude, dans son petit côté fignolé, tellement réduit à une interminable anecdote, que le spectateur prévoit tout les effets sans que jamais la réalisation ne prenne du nerf. L'Humanité, 9 février 74