Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
FaRem
8 560 abonnés
9 461 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 22 février 2019
Après avoir tourné avec Nicolas Cage et Al Pacino dans "Vengeance" et "Hangman", Johnny Martin en profite pour ressortir son film d'horreur qu'il avait réalisé il y a 4/5 ans. "Delirium" n'est pas un remake ou réadaptation comme ça peut-être le cas parfois, mais bel et bien le même film "Case#13" sorti dans l'anonymat le plus complet en 2014. Hell Gang est comme une fraternité et pour y entrer il faut réussir un défi. Les membres du groupe défient Eddie de se rendre dans une maison où il y a eu un massacre pour prouver qu'il est digne d'être l'un des leurs. Bien sûr, l'expérience va mal se passer et en ne voyant pas leur camarade revenir, certains du groupe vont partir à sa recherche. L'histoire de "Delirium" est basique avec sa maison hantée, ses esprits vengeurs, etc. S'il n'y a rien d'original et que les procédés utilisés pour faire peur sont téléphonés, le film se laisse quand même regarder. L'ambiance est plutôt bonne tout au long du film et le cadre est bien utilisé. Ce qui fait défaut au film, c'est la dernière partie lorsque l'histoire se dévoile et que tout part en vrille. La maîtrise du début et surtout la sobriété de l'histoire laissent place à quelque chose de brouillon et de banal. J'ai toujours préféré les films d'horreur à ambiance plutôt que ceux dits "d'action" et ici, c'est ce qui finit par faire la différence. Au final, c'est un petit film d'horreur correct qui se laisse regarder sans plus.
Excellent film qui ne manquera pas de vous tenir en haleine du début à la fin. Ça fait longtemps que je n'ai pas vu un film d'une telle qualité scénariste. Les acteurs ont parfaitement intégré leur personnage. Au début, on s'attend à un grand classique avec le portrait d'un névrosé en convalescence qui va rechuté suite à la hantise des esprits dans le domaine de ses parents décédés. Mais en fait pas du tout, à chaque instant on s'interroge bien quant à la véracité ou non des hallucinations présupposées du protagonniste... A un moment on en vient même à se dire que tout est mensonge. Quelle est la part du vrai et du faux ?