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    La Lutte des Classes
    Note moyenne
    2,9
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    301 critiques spectateurs

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    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    139 abonnés 2 418 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 septembre 2019
    Une charge poussive contre le système, scolaire en particulier. Le film n'apporte aucun point de vue qui ne soit pas caricatural.
    benitoberlon
    benitoberlon

    56 abonnés 971 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 septembre 2019
    Pas inoubliable, mais le film vaut par sa fraîcheur, et un trio Bekhti/Baer/Bedia parfait. L'histoire me parle grandement (ayant mes enfants dans une école dite populaire et constatant chaque année le départ de certaines élèves vers le privé), et même si le film n'est pas sans (beaucoup de) défauts, c'est un film sans prétention plutôt agréable à regarder. Par contre, faudra dire à Edouard Baer de prendre 2-3 cours de batteries, qu'il soit un minimum crédible en batteur de punk rock.
    Vinz1
    Vinz1

    180 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 septembre 2019
    « La lutte des classes » brocarde avec tendresse les gens de gauche. Ici, le réalisateur se donne en plus l’objectif d’illustrer un problème de société actuel : la mixité sociale vue à travers le prisme de l’école, mais il ne fait que le brosser sans vraiment développer son sujet. Peu importe puisque les acteurs sont bons (mention spéciale à Ramzy, excellent en directeur d’école à poigne), certaines scènes sont drôles ou mettent mal à l’aise (cf. l’entretien avec le directeur de l’école privée ou le dîner avec des parents musulmans) et que l’on a notre séquence poésie (voir la scène avec les parents sur le banc). La fin, en revanche, part un peu dans le grand n’importe quoi, mais l’essentiel, finalement, c’est que l’on se soit amusé !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 septembre 2019
    Une comédie sans prétention mais très intelligente. Les croyances, préjugés, peurs, valeurs et contradictions de chacun se confrontent et nous ramènent à nos propres interrogations. Les acteurs sont très bons. La musique de fin est pompée consciemment ou non sur while my guitar gently weeps des beatles.
    jon B.
    jon B.

    5 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 mai 2020
    A le mérite d'exposer des problématiques françaises actuelles, avec un humour féroce. A voir absolument !
    Jiminou76
    Jiminou76

    6 abonnés 129 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 août 2019
    Un film généreux dans son humour qui sait bien où viser dans ses sujets... ( Conflit d'apprentissage, banlieue, idéaux gauchistes dans un monde a droite, religions ... ) Avec nouveautés. Malheureusement cet humour tombe parfois dans un excès, sans finesse faisant vriller son discours. Même constat niveau acteurs, avec un duo excellent, mais des enfants / demi sœur adolescente servant ce manque de finesse par surjeu... Mais peut être un peu court, empêchant de creuser le couple musulman si intéressant ou a la situation difficile de fin de se débloquer de manière moins artificiel / spectaculaire...
    RealFooD
    RealFooD

    36 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 août 2019
    Que le sujet est délicat et que les raccourcis sont faciles... Que la pente était savonneuse et que les écueils étaient nombreux... Et pourtant, le film ne fait pas semblant de les mettre sur la table ! Où se cache la lutte des classes ? Même lorsqu’on ne veut pas l’entretenir, il est des situations où nos comportements nous font dévier. C'est drôle, ça bouscule, ça questionne... Sans jamais verser dans la dramaturgie, le réalisateur vous place face à vos propres contradictions, à la complexité de la vie qui avance et vous contraint parfois à certains (non)choix. Et surtout, il ne conclut rien à votre place ! Il vous laisse ressentir les absurdités des situations que nous sommes tous amenés à rencontrer. Pour ce faire, Leïla Bekhti et Edouard Baer étaient le casting idéal : tous les deux jouent juste de bout en bout. On croit dur comme fer qu’ils jouent leurs propres rôles. Un film qui traite un sujet lourd de manière simple et non simpliste, c’est à voir !
    Alain D.
    Alain D.

    588 abonnés 3 282 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 août 2019
    Leïla Bekhti et Edouard Baer assurent parfaitement les rôles principaux de "La Lutte Des Classes", une comédie traitant de la discrimination positive et de la mixité sociale à l'école publique et laïque.
    Après un démarrage délicat bourré de clichés, l'histoire prend un virage social très intéressant.
    Une bonne réalisation de Michel Leclerc ; son scénario, coécrit avec Baya Kasmi, nous offre des scènes intenses sur la morale ou la religion.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 363 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 août 2019
    “La Lutte des Classes” avec Leïla Bekhti et Edouard Baer au casting aurait pu raisonner comme un film social hors des clichés. En effet, le couple aisé emménage dans une petite maison de banlieue et rêve d’égalité et de fraternité en prônant le mélange de classes sociales. Malgré les difficultés d’intégration de leur enfant à l’école primaire du quartier, les parents persévèrent à rester fidèle à l’école de la République. Et pourtant, le film se contente d’amasser des situations risibles et faussement idéologiques. L’humour prend trop le pas sur les intentions de départ et finit inévitablement par prendre l’apparence d’un divertissement pour bobos de gauche.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    156 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 août 2019
    La lutte des classes, comédie sociale et politique est un film assez difficile à critiquer, voilà pourquoi il aura la note moyenne.
    Quel est le message sous-jacent ? Désir de caricaturer les bobos de gauche ? De répandre de nouveaux clichés sur les habitants des banlieue, ou de poser un regard tendre sur ces quartiers ? De se moquer de l'école publique, ou bien de la défendre, de dénoncer son écroulement, d'encourager son achèvement ? S'agissait-il de la critique de la bien-pensance, ou bien d'une énième façon de nous l'imposer ?
    Le propos du film manque terriblement de clarté, sans savoir d'où ça parle, il est assez difficile de savoir comment se positionner, ce que toute expression d'un avis oblige à faire.
    Après le magnifique film "J'invente rien", le très bon "Le nom des gens", le moins bon "Télé-gaucho", La lutte des classes confirme que son réalisateur Michel Leclerc semble politiquement de plus en plus perdu. C'est peut-être cela que raconte le film ? Il reste à voir "La Vie très privée de Monsieur Sim" de 2015 pour, peut-être, éclaircir le propos du réalisateur.
    Au delà de ce positionnement flou qui sème le trouble sur la façon dont il faut interpréter ce déferlement de clichés dont les comédies françaises nous abreuvent jusqu'à saturation. Le film est techniquement bon, agréable à regarder et Ramzy Bédia y apporte un bol d'air frais qui permet de tenir. Son personnage, simple, léger, sincère, à l'aise, sainement naïf et sans aucune posture vient contre-balancer celui interprété par Edouard Baer, qui devient assez vite lourd dans cette caricature malaisante d'ado attardé, démissionnaire, abstentionniste, rebelle par posture et totalement ringard.
    J'aurais préféré voir le brillant François Bégaudeau dans le rôle de cet ancien punk. Peut-être aurait-il fallu faire appel à son grand talent de penseur et de scénariste-dialoguiste, pour construire un personnage principal plus solide.
    C'est peut-être là que se situe le défaut du film, Edouard Baer aurait été bon pour interpréter un vrai bobo parisien, qui ne met pas les pieds à Bagnolet et qui ne se revendique plus de gauche depuis longtemps, mais ici, il est utilisé à contre-emploi, et le personnage n'est pas solidement construit, il est difficile à identifier, à détourer, trop atypique, un profil trop rare pour créer un archétype lisible qui fonctionne dans un film. Ce personnage illisible, rend le reste du film trés flou.
    Ce personnage perdu nous perd avec lui. Pourtant tous les autres rôles, sont bien incarnés, bien ancrés, résistent aux clichés qui en sont fait, peut-être ne manquait-il qu'un peu plus de travail sur le personnage de Paul Clément pour positionner le film et en rendre le propos plus lisible.
    Michel Leclerc traite régulièrement le thème des contradictions de la gauche française dans ses film, il traite ici, à partir d'un expérience personnelle, de ces propres contradictions, mais ce thème est-il la préoccupation du grand public ? Les présupposés biographiques du réalisateur sont-ils connus ? De toute évidence, non, trop de clés manquent à la bonne compréhension du film qui ne concerne au fond qu'un microcosme concerné par la question. Cela explique certainement les nombreuses 3 étoiles données au film et les critiques mitigées.
    Si certain auront compris que la lutte des classes dont parle le film est une lutte intérieure, intime et très personnelle, beaucoup de spectateurs n'auront légitimement pas compris le sens de cette introspection quelque peu nombriliste.
    La solitude, le décalage et l'isolement de Paul Clément illustre assez bien, ce rejet de préoccupations, certes écoutables comme toute forme de souffrance intime, mais qui ne sont pas celles de la majorité des Français qui voient ce film.
    SansCrierArt
    SansCrierArt

    54 abonnés 420 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 août 2019
    Sofia et Paul vivent à Bagnolet dans un quartier à forte mixité sociale. Par idéologie, ils inscrivent leur fils à l'école publique contre l'avis de leur entourage.

    Un film qui se veut à la fois drôle et militant et qui échoue des deux côtés. Le film enchaine les scènes comme un catalogue du vivre en mixité et tombe sans cesse dans la caricature. Le scénario du plus haut ridicule en devient gênant.

    sanscrierart.com
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 17 août 2019
    La 1ère partie est prometteuse, les sujets traités bien amenés, les acteurs Leïla Bekthi, Édouard Baer et Ramzi sont bons... mais malheureusement la seconde partie tourne en rond et est super brouillon.
    C'est une suite de clichés, mais qui ne font pas progresser la situation ce qui fait que ça devient limite gênant à la longue.
    Certains personnages ne sont pas utiles comme la soeur et l'amour de jeunesse de Sofia. On a l'impression qu'on a mélangé 2 films, un sur la lutte des classes et un sur la vie d'une famille avec ses hauts et ses bas.
    La fin m'a achevé, spoiler: [spoiler], tout le monde s'entend (jusqu'à quand ?) dans les 5 dernières minutes, davantage parce qu'il faut sauver le directeur de l'école que parce que la vision des gens a réellement évoluée. Le directeur qui est donc, blessé, et bloqué sur le toit de l'école qui vient de s'effondrer en partie.
    Heureusement une ninja voilée vient à son secours... wtf ???)[/spoiler]
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 août 2019
    Souvent drôle, assez bien ficelé même si elles sont souvent grosses...
    Se laisse gentiment regarder comme un " feel good movie" à la française.
    Les acteurs sont plutôt bons dans cet exercice, surtout Leïla Bekthi qui livre une belle performance. Même Ramzi est moins outrancier que dans ses rôles habituels. A regarder avec ses jeunes.
    Steeve F.
    Steeve F.

    16 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 août 2019
    Le film partait bien, on sait tout de suite le sujet traité et en voyant les acteurs on pouvait espérer qu'il le soit bien fait.
    Mais le sujet est traité de manière superficiel, il y a beaucoup de scènes où on ne comprend pas le dialogue, où les phrases qui devraient se dire ne le sont pas et cela crée un manque de réalisme, dans l'unique but de montrer le sujet comme le réalisateur l'entend.
    La mise en place sur la première heure est vraiment agréable à regarder, calme mais agréable mais une fois les bases posées la deuxième moitié du film devient désagréable de part l'illogisme des situations.
    Au-delà de ça on peut trouver un mauvais traitement de la personnalité des personnages, présentés comme unis et de gauche, communistes à la limite de l'anarchisme mais d'un coup la personnalité d'un des personnages se modifie pour coller à l'histoire mais ne colle plus au personnage d'où un détachement.
    Bref une déception de plus pour ma part.
    tixou0
    tixou0

    700 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 août 2019
    Avoir un jardinet à soi dans Paris intra muros est de l'ordre du quasi-impossible. Aussi le couple de concubins bourgeois/bohèmes (Paul/Sofia) que l'on va suivre dans "La Lutte des Classes" ne peut-il que passer le périph', pour aller remployer l'argent tiré de leur petit appartement parisien (une belle affaire à la revente) dans une ancienne maison ouvrière du "9-3", à Bagnolet. La ville se partage entre les bobos façon Paul Clément, et de nombreuses communautés allochtones (dont celle dont est issue Sofia, Maghrébine affranchie et montée en graine, devenue avocate dans un cabinet parisien prospère). Nos héros béats ont cependant un souci : Corentin, leur rejeton commun (Paul élève aussi un enfant d'un autre lit, une ado), se retrouvant seul "Blanc" dans sa classe de l'école (primaire) publique de secteur, est ostracisé, puis carrément persécuté par ses condisciples.... Qui se ressemble, s'assemble...Devrait-il rejoindre ses anciens camarades autochtones dans un établissement privé voisin ? Ses parents sont bloqués par l'idéologie vivre-ensembliste, mais sont, aussi, désireux du bien-être du gamin...
    Le très gauchisant Michel Leclerc, et sa compagne et co-scénariste habituelle, Baya Kasmi (de père musulman), réussissent quelques passages amusants, mais noyés dans un bouillon propagandiste plutôt indigeste (avec une scène grotesque, en conclusion). Edouard Baer déçoit en anar mal embouché, pseudo musicien crachant sans risques sur l'Eglise avec quelques petits camarades du même tonneau, et sa partenaire, Leila Bekhti, compose un personnage plutôt falot. Attendu, et globalement pauvre, sur le plan des idées - et de leur traduction cinématographique.
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