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    La Lutte des Classes
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    Jmartine
    Jmartine

    167 abonnés 673 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mai 2019
    J’ai un peu tardé à voir Lutte des classes, sorti début avril…qui fait depuis un honnête parcours en salles, frisant les 450 000 spectateurs….J’y ai retrouvé presque dix années plus tard, le Michel Leclerc du « Nom des gens », alors que « La vie privée de monsieur Sim » m’avait déçu…un Michel Leclerc qui allie pertinence, intelligence, humour, tolérance et loufoquerie et qui s’interroge sur l’école qui ne remplit plus son rôle d’ascenseur social et sur les tensions communautaires qui en découlent mettant à mal les idéaux d’égalité et de mixité chers aux générations précédentes…Sofia et Paul, jeune couple bobo, ont quitté leur appartement parisien pour une jolie maisonnette située dans un quartier de Bagnolet où Sofia a passé son enfance…Comme tous les parents ils veulent le meilleur pour leur fils Corentin élève de CM2…nourris de leurs idéaux de mixité sociale, ils mettent leur fils à l’école publique voisine, Jean Jaurès…. mais quand les copains de Corentin désertent l’école publique pour Saint Benoit, l’institution catholique proche, ils s’interrogent et se retrouvent coincés entre leurs valeurs de gauche et leurs inquiétudes parentales…Sur cette trame que le réalisateur et sa compagne Baya Kasmi ont eux-mêmes vécue, et que beaucoup de parents ont partagée un jour ou l’autre, (qui n’a pas essayé de tricher avec la carte scolaire pour le « bien » de son enfant…) , terrain glissant s’il en est….Michel Leclerc a fait un film intelligent et sur un ton gentiment provocateur mais toujours bienveillant, il aborde nombre de sujets brûlants : la religion, le voile, le harcèlement scolaire, la formation des enseignants, le manque de budget de l’éducation nationale ….en s’appuyant sur un duo d’acteurs au mieux de leur forme, l’épatante Leila Bekhti ( Sofia) en jeune avocate bien calée dans l’ascenseur social, et bénéficiant à son corps défendant de la discrimination positive, et l’hilarant Edouard Baer ( Paul) musicien vieux punk, lunaire, rebelle sans ambition, qui découvre que le monde en changeant l’a fait changer de case…il n’est plus le gaucho qui faisant peur aux bourgeois..il est devenu lui-même le bourgeois et cela lui est insupportable….Ces deux acteurs sont entourés d’une flopée de rôles secondaires tout aussi désopilants…sa propre compagne Baya Kasmi, en mademoiselle Delamarre, institutrice stressée, débordée par sa classe et qui se montre incapable de s’exprimer simplement face à ses élèves….Ramzy Bedia, monsieur Bensallah, le directeur qui mène ses élèves comme une bande de quartier….et qui doit régler beaucoup de problèmes avec peu de moyens….devant faire passer la sécurisation de l’école , plan Vigipirate oblige, avant sa rénovation pourtant nécessaire…monsieur Toledano, le juif totalement parano qui truffe sa maison de systèmes de sécurité totalement inouïs, formidablement interprété par Laurent Capelluto…sans oublier l’humoriste Claudia Tagbo, en imperturbable directrice d’école de quartier qui a intégré la géolocalisation pour démasquer les parents tricheurs…Certes il y a quelques invraisemblances, notamment la fin… mais quel scénario futé, quel humour, quel décapage de clichés, quelle interprétation jubilatoire !!! Allez le voir avant qu’il ne quitte les écrans …
    AHEPBURN
    AHEPBURN

    101 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 avril 2019
    Une très bonne surprise ce film avec une véritable réflexion dira société et le vivre ensemble. Edouard Baer est formidable dans ce rôle mais Le reste du casting est bon aussi. Je recommande vivement ce film
    Sébastien D
    Sébastien D

    106 abonnés 544 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 mars 2020
    Très bonne surprise. J'ai trouvé ce film très juste, franc, parfois à la limite du brutal tout en étant tendre et drôle. Un film nécessaire, avec un casting 5 étoiles.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    79 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 avril 2019
    J’ai passé un bon moment et j’ai aimé voir le réalisateur, mettre ses personnages face à leurs contradictions, le tout avec bienveillance….même si je n’ai pas retrouvé la profondeur et la gravité appréciée à la fin du « nom des gens » .

    Dans les années 2000, c’était le stéréotype de la famille « bobo » (bourgeois-bohême).
    Sophia et Paul, parents de Corentin, sont des apôtres (si j’ose dire!) de l’école laïque et républicaine et sont prêts à ferrailler avec « l’obscurantisme » des familles, qu’elles soient catholiques, musulmanes ou du judaïsme.

    On perçoit la difficulté de rester cohérents et en accord avec ses convictions.
    Sous la légèreté de la comédie, la fraternité et l’espoir du « vivre ensemble » sont bien là!
    Des bons moments de bravoure: Ramzy obligé de traduire en langage clair, le « dialecte pédagogique » de Baya Kasmi
    Chez Michel Leclerc, toujours ici et là, ce grain de folie qui nous montre la vie avec des lunettes roses et un ton insolite; une signature....
    Michael R
    Michael R

    103 abonnés 1 255 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 décembre 2019
    J'aurais pu lui mettre 4 étoiles tellement je l'ai trouvé juste et bien senti, osant regarder les problèmes en face en y mettant des mots, avec un couple génial... et puis il y a les 10 dernières minutes. Elles sapent totalement le message et l'édifice s'écroule comme l'école. Dommage, vraiment dommage.
    floramon
    floramon

    80 abonnés 1 423 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2019
    J'ai bien aimé le film. Les acteurs sont bons et le film dénonce une réalité dans une très grande justesse, après cela reste un film peu ambitieux mais on passe tout de même un bon moment devant ce film.
    VOSTTL
    VOSTTL

    94 abonnés 1 935 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 mars 2020
    Je commence à connaître Michel Leclerc et sa sensibilité de gauche qui transpire dans son écriture. Rassurez-vous, ce n’est pas un reproche, au contraire. « La lutte des classes » vaut par la présence d’Edouard Baer. J’ai apprécié son personnage Paul. Pour exercer dans une école primaire REP+, je connais, si je puis dire, la couleur des difficultés. Je la retrouve un peu dans le film. Au portail, je peux vous assurer de la présence d’un grand nombre de mères voilées dont quelques unes avec la fameuse « boîte aux lettres ». Ce qui est déroutant, ce sont les enfants. Pour mes CE1, en discutant avec eux, en s’amusant avec eux, je ne peux pas m’empêcher d’y voir un décalage avec leurs parents dont la mère peut être partiellement ou complètement voilée. Car ne nous trompons pas : l’habit est connoté religieux. Je ne peux m’empêcher de l’interpréter comme austère. Une austérité qui ne semble pas exister dans le comportement des enfants. Pour autant sont-ils vraiment en décalage avec leurs parents ? Pas vraiment après quelques conversations glanées ici ou là dans la cour de récréation. En effet, on peut y percevoir l’austérité de l’habit des mamans concernées dans leurs interrogations et curiosité. Je ne suis pas marié et j’ai trois enfants. Inconcevable selon eux. « Comment peut-on avoir des enfants sans se marier ! » Je passerai presque pour un bonimenteur ! Les câlins se refroidissent quand j’avoue ne pas croire en Dieu. « Tout le monde croit en Dieu ! » Ils me parlent de Paradis, me promettent l’Enfer et certains m’invitent à devenir musulman ! Il y en a même une qui m’invite à saluer son père en arabe ! Je suis « le sang » ! Informations rapportées à quelques collègues de CE1 qui me disent abattues : « La laïcité, c’est pas gagné ! ». C’est ce que veut certainement nous dire Michel Leclerc avec « La lutte de classes » à travers le fils de Paul et de Sofia (Leila Bekhti) ; on le voit perturbé à l’idée de ne pas éventuellement aller au Paradis aux dires de ses copains. Il ne faut pas se voiler la face (sans mauvais jeu de mots) mais ces discours tenus par des bouts de chou de 7-8 ans sont une réalité. Après tout, ils ne font que reproduire les schémas de pensées de leurs parents. « La laïcité c’est pas gagnée » cela préoccupe Paul devant le portail de l’école quand il côtoie des mamans voilées. Le dîner organisé par Sofia aurait pu être un bon moment du film. Malheureusement, cette séquence est ratée, elle a été négligée ; une porte de secours qui mène nulle part. Paul marque son désaccord aux propos tenus de Dounia et de Nadir, des propos connotés morale religieuse. Il est seul à assumer ses convictions. Il est lâché par Sofia qui préfère être bienveillante. Ce qui est louable. Mais dans cette séquence, on comprend sans comprendre la trahison de Sofia. Je dis sans comprendre car jusqu’à cette scène, le couple Paul et Sofia paraissait parler le même langage, être sur la même longueur d’onde quant à leurs valeurs, à leur philosophie de vie. Tout comme Paul, je me suis senti lâché. Je n’ai pas compris la frilosité ou la diplomatie (voire l’hypocrisie) de Sofia. Et ce qui est déplaisant dans cette scène, Paul est éméché. Ce qui a pour conséquences d’affaiblir son discours pour renforcer celui de Sofia. Michel Leclerc sacrifie Paul et invite le spectateur dans le camp de Sofia, la bienveillante. Paul passe pour ce qu’il n’est pas, en plus d’en faire un convive ivre, il en fait un facho gaucho bobo avec le coup de la kalash ! D’accord, le réalisateur veut faire son petit twist à sa manière, ainsi on apprend subitement que Sofia étouffe, qu’elle est sous l’influence de Paul. Ce n’est pas elle qui est contre le mariage, c’est Paul et bien d’autres choses qu’elle ne semble plus partager. Et soudainement, elle nous dit que cela ne peut pas durer, la séparation est inévitable. Michel Leclerc, par la voix de Sofia, se défile. Le film est ainsi, il n’apporte pas de solution, il tangue entre le principe de laïcité et les valeurs religieuses exposées au grand jour. On peut admettre l’habit, on peut se réjouir que l’école de la République rassemble toutes les communautés, sans aucune distinction, l’école de toutes les chances ; par contre, on ne peut pas admettre un discours religieux sous-jacent dans ladite école de la République et dans une société laïque. Voilà pourquoi Paul semble bien plus préoccupé que Sofia, car l’habit n’est pas innocent. Ce qui ne préoccupe pas Sofia, préoccupe Maryam Touzani et Nabil Ayouch dans « Razzia » ; lors de la Première à travers la France, des jeunes femmes sont venues lui dire qu’elles s’approprient le film ; ce que vivent les femmes au Maroc est semblable à certaines de nos concitoyennes dans les quartiers. Maryam Touzani, militante engagée contre le conservatisme religieux dans son pays, s’étonnait de constater qu’il était aussi à combattre dans nos sociétés laïques ! Seulement, Michel Leclerc, sans nous faire de l’angélisme de gauche, opte pour un récit prudent. Il n’arrête pas de botter en touche dès qu’il s’agit de nos concitoyens musulmans. Ne pas vexer, ne pas ajouter de l’huile sur le feu. Et puis, comme nous sommes dans un pays laïc, on tolère ce qui se combat âprement dans d’autres pays où la femme est soumise par la morale religieuse. Par contre, il s’autorise à blasphémer sur le Pape. Rassurez-vous, rien ne me choque dans l’Art, je l’écrirai aussi souvent que l’occasion m’en sera donné, et j’ai toujours crié, revendiqué le droit à blasphémer, mais que ce droit ne concerne que la religion catholique me paraît malhonnête. Par la voix de Sofia, Michel Leclerc choisit des pincettes ; par contre, il préfère se défouler avec la chanson sur le Pape ! On peut rire de tout, de nous-mêmes mais surtout rester prudent avec l’autre ! Coluche disait : « Si on ne peut pas se moquer des Arabes, c’est qu’ils sont vraiment Arabes. A partir du moment où l’on pourra se moquer d’eux comme des c*** ordinaires, alors il n’y aura plus de racisme ». Un soufflé qui se dégonfle à partir de cette scène du dîner qui n’assume pas « sa laïcité » et qui finit par se ratatiner avec la dernière séquence où une femme voilée vole au secours du directeur de l’école ; une scène navrante qui achève de plomber tout le film. Toutefois, l’étoile supplémentaire est pour le personnage Paul. Libération : " …la Lutte des classes" se contorsionne aussi pour ménager la chèvre et le chou, si bien qu’il finit par aligner un nombre impressionnant de clichés gênants".
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    75 abonnés 829 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 avril 2020
    On ne sait pas trop sur quel pied danser avec La Lutte Des Classes. D'un côté le film est agréable car rythmé, avec des dialogues bien ficelés, pêchus, teintés d'un humour qui fait souvent mouche. De l'autre, il enfonce beaucoup de portes ouvertes ou tente d'assener certaines vérités avec hésitation, comme s'il n'assumait pas ce qu'il voulait dire. Bémol aussi sur le casting car si les adultes sont impeccables, les enfants sont très inégaux et notamment Tom Levy qui est franchement médiocre. L'ensemble reste tout de même plaisant de bout en bout ce qui est déjà une belle performance.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    86 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 septembre 2021
    Un film qui ne sombre jamais dans le bien pensant et pose de vrais questions sur la mixité et l'école publique. Édouard Baer campe un anar sur le tard dans un de ses meilleurs rôles et leila bekhti est toujours aussi parfaite en maman angoissée. Juste une petite faiblesse scenaristique sur la dernière partie du film où on sent bien que les scenaristes se demandaient bien comment ils allaient finir l'histoire.
    Nicolas S
    Nicolas S

    43 abonnés 543 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mars 2020
    Une comédie plaisante, et moins naïve qu'elle n'y paraît, sur le (bien) vivre ensemble et la difficulté d'appliquer ses idéaux politiques.
    benitoberlon
    benitoberlon

    55 abonnés 971 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 septembre 2019
    Pas inoubliable, mais le film vaut par sa fraîcheur, et un trio Bekhti/Baer/Bedia parfait. L'histoire me parle grandement (ayant mes enfants dans une école dite populaire et constatant chaque année le départ de certaines élèves vers le privé), et même si le film n'est pas sans (beaucoup de) défauts, c'est un film sans prétention plutôt agréable à regarder. Par contre, faudra dire à Edouard Baer de prendre 2-3 cours de batteries, qu'il soit un minimum crédible en batteur de punk rock.
    khesanh76
    khesanh76

    16 abonnés 199 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 avril 2019
    Edouard Baer est stupéfiant de réalité dans son rôle de "Bobo-de-gôche" enfermé dans ses certitudes, avec le monde qui change autour de lui, avec leurs "certitudes" ! Rien ne nous est épargné : le respect du shabbat à la lettre, le confrontation entre les enfants "blancs" ( en fait on dit "gaulois") et les "minorités" qui n'en sont plus. Notamment en RP. Le cinéaste a voulu montrer une "happy end" mais je suis loin d'y souscrire ! Le réalisateur montre au moins que l'on a un problème d'affrontements des cultures et que cela commence à l' Ecole Publique : Quelle est la solution ? J'en sais rien, car tous ces enfants issus de l'immigration seront la France de demain !!! On aura beau agiter le spectre de la "laïcité" ce spectre était valable dans les années 20. Or maintenant on a affaire à des fils de musulmans, pou qui être incroyant est "Harram" cad l'équivalent de forfaiture ! Je vous laisse méditer là dessus !
    Vinz1
    Vinz1

    177 abonnés 2 429 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 septembre 2019
    « La lutte des classes » brocarde avec tendresse les gens de gauche. Ici, le réalisateur se donne en plus l’objectif d’illustrer un problème de société actuel : la mixité sociale vue à travers le prisme de l’école, mais il ne fait que le brosser sans vraiment développer son sujet. Peu importe puisque les acteurs sont bons (mention spéciale à Ramzy, excellent en directeur d’école à poigne), certaines scènes sont drôles ou mettent mal à l’aise (cf. l’entretien avec le directeur de l’école privée ou le dîner avec des parents musulmans) et que l’on a notre séquence poésie (voir la scène avec les parents sur le banc). La fin, en revanche, part un peu dans le grand n’importe quoi, mais l’essentiel, finalement, c’est que l’on se soit amusé !
    CH1218
    CH1218

    198 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 décembre 2019
    Emmenée par le délicieux couple Leïla Berkhi - Édouard Baer, cette comédie sociale et politique, aborde sous couvert d’un humour fripouille, une ribambelle de sujets. En faisant abstraction aux clichés, cette « Lutte des Classes », est plutôt maline même si je m’attendais un peu plus d’acidité de la part de Michel Leclerc et de sa co-scénariste Baya Kasmi. Par contre, la fin, maladroite, tombe comme un cheveu sur la soupe et vient gâcher cette réjouissance.
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    137 abonnés 3 068 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 février 2023
    Trop de confusion tue la confusion: tout est confus dans ce film, le sujet, la façon de filmer, les personnages, comédie ou drame. Et cela est évident dans les inconséquences des uns et des autres, des scènes supposés réalistes qui sont juste fabriquées. Le "rôle" de l'enfant vue par les parents ou tenant compte de l'enfant ? Beaucoup de choses abordées et comédiés avec pas mal de consensus et d'acteurs dits humoristiques ce qui fait qu'il reste ludique ou non, dramatique ou non, où les intentions rejoignent la confusion générale de la réalité et des discours sociaux. Bien ou pas ? on dira moyen.
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