Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Les héros sont hilarants.
BIBA
par Lili Yubari
Un feel-good movie généreux sur la mixité, qui donne envie de se mélanger.
Bande à part
par Jo Fishley
À gauche, on descend ! Michel Leclerc passe en comique supérieur et balance avec insolence sur les bobos de l'école. Les rires redoublent, on en redemande.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Pour son cinquième long-métrage, le réalisateur s’interroge sur la mixité sociale dans l’école publique et laïque, en adoptant un ton drôle et léger, sans jamais devenir cynique ou moralisateur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
De l'école à la maison, en passant par le jardin partagé, Michel Leclerc fait de chaque scène, ou presque, une situation de comédie irrésistible.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Cette gentille chronique sur la mixité sociale, les banlieues et l'éducation a le mérite de poser de bonnes questions, en évitant les réponses trop simplistes.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Un peu brouillon dans le rythme, un peu "Fais pas ci, fais pas ça" à l’image, ce film de Michel Leclerc vaut pour son scénario futé, cosigné par Baya Kasmi, son humour canaille, ses décapsulages de clichés et son interprétation jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans la veine du "Nom des gens", Michel Leclerc revient avec une nouvelle comédie aux accents politiques, qui défend les écoles publiques et le vivre-ensemble dans les banlieues.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
En désamorçant les situations sensibles avant qu’elles ne deviennent gênantes, le film déroule une première heure à mourir de rire (l’exercice intrusion, le désarroi du directeur, l’entretien dans l’école privée) avant de grattouiller où ça fait un peu plus mal.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sous forme de fantaisie satirique, une vision gentiment décapante de la France mêlée, où l’école sert de révélateur pour une version remise au goût du jour de la lutte des classes.
Le Parisien
par Olivier De Bruyn
Très drôle et percutant, porté par des personnages ultra-attachants, "La lutte des classes" manie la caricature pour faire rire. Tout en interrogeant avec subtilité l’écart entre les valeurs, les peurs et les actes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Bien interprétée et sincère, la comédie n’évite pas quelques clichés.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film cocasse et, hélas, pertinent.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
"La lutte des classes" aborde une ribambelle de sujets d'actualité - l'état de l'école républicaine, l'abandon de certains quartiers, la mixité... - en évitant, bel exploit, les discours angéliques ou encore les travers d'une prise de position néo-réac qui vannerait les rêveurs ou les idéalistes.
Ouest France
par Cédric Page
Michel Leclerc signe une chronique sociale souvent très drôle et jamais angélique.
Positif
par Olivier De Bruyn
[...] cette comédie décapante et contemporaine [...] rappelle que le duo Leclerc/Kasmi, quand il est en forme, excelle à traiter de grands sujets avec humour et pertinence.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Sur ce thème plus que délicat, Michel Leclerc ("Le nom des gens") brode une comédie réjouissante, se moquant gentiment de la gauche bien pensante mais aussi des communautarismes et des préjugés en général.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
Michel Leclerc signe une hilarante comédie sociale, qui questionne avec finesse la mixité scolaire en banlieue.
Télérama
par Anne Dessuant
Sans moralisme, [Michel Leclerc] va guider Paul et Sofia vers le chemin de la réconciliation. A l’aide d’un scénario à l’humour malin qui s’amuse à retourner les clichés ou à les confronter à une réalité devenue absurde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Michel Leclerc désigne l’école comme symbole de la fracture nationale et signe une comédie politique où gravité et dérision cohabitent en bonne intelligence.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Cette lutte des classes dédoublée dans le titre est diluée dans une potion sympathique (…). Celle-ci mène à une fable œcuménique qui n’est pas sans ambiguïté, préférant l’utopie à l’aveu d’impuissance, mais laissant voir l’artifice de cette résolution, au moment d’élargir le tableau.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Cette question de l’école publique face au privé, Michel Leclerc la pose avec un humour qui fait mouche. Il y réussit grâce à un Edouard Baer lunaire et une Leïla Bekhti tempérante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Marie-José Sirach
Il reste une comédie alerte qui aborde un sujet d’actualité brûlante sans tabou ni complexe et révèle un Édouard Baer particulièrement émouvant, tiraillé par tous les bouts, qui donne à son personnage de père un brin looser une étoffe particulière.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Dans cette comédie sociale gentiment osée, pertinente et plutôt bien écrite, on sourit souvent face aux tâtonnements éthiques du couple formé par Édouard Baer, formidable en anar ébouriffé [...] et Leïla Bekhti, très juste en mère inquiète [...].
Le Monde
par Murielle Joudet
Nul doute pourtant que "La Lutte des classes" traite de sujets graves, passionnants et néanmoins potentiellement comiques mais, faute de prendre le temps de la subtilité, le film ne se montre pas à la hauteur des enjeux qu’il soulève.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Par certains aspects, le scénario semble un peu daté, surfant sur un clivage de pensées bobo/réac en décalage avec les angoisses contemporaines […]. Mais Leclerc réussit aussi à s’affranchir de cette dialectique pour camper le tableau bien vivant d’une sociologie de quartier […], avec une tendresse énorme pour ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Gael Golhen
Mais comme dans "Le Nom des gens", il faut reconnaître que, à force de se moquer à la fois de notre société, de notre époque et de nous, il se dégage du film quelque chose de sympathique, une noirceur aussi, qui finit par toucher.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par Nathalie Simon
À force de vouloir être exhaustif, il tombe dans les clichés et la caricature (même la fin de ce long-métrage désole et/ou agace).
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Mais, plein de bonnes intentions, "la Lutte des classes" se contorsionne aussi pour ménager la chèvre et le chou, si bien qu’il finit par aligner un nombre impressionnant de clichés gênants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Les héros sont hilarants.
BIBA
Un feel-good movie généreux sur la mixité, qui donne envie de se mélanger.
Bande à part
À gauche, on descend ! Michel Leclerc passe en comique supérieur et balance avec insolence sur les bobos de l'école. Les rires redoublent, on en redemande.
CNews
Pour son cinquième long-métrage, le réalisateur s’interroge sur la mixité sociale dans l’école publique et laïque, en adoptant un ton drôle et léger, sans jamais devenir cynique ou moralisateur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
De l'école à la maison, en passant par le jardin partagé, Michel Leclerc fait de chaque scène, ou presque, une situation de comédie irrésistible.
Femme Actuelle
Cette gentille chronique sur la mixité sociale, les banlieues et l'éducation a le mérite de poser de bonnes questions, en évitant les réponses trop simplistes.
L'Obs
Un peu brouillon dans le rythme, un peu "Fais pas ci, fais pas ça" à l’image, ce film de Michel Leclerc vaut pour son scénario futé, cosigné par Baya Kasmi, son humour canaille, ses décapsulages de clichés et son interprétation jubilatoire.
La Croix
Dans la veine du "Nom des gens", Michel Leclerc revient avec une nouvelle comédie aux accents politiques, qui défend les écoles publiques et le vivre-ensemble dans les banlieues.
La Voix du Nord
En désamorçant les situations sensibles avant qu’elles ne deviennent gênantes, le film déroule une première heure à mourir de rire (l’exercice intrusion, le désarroi du directeur, l’entretien dans l’école privée) avant de grattouiller où ça fait un peu plus mal.
Le Dauphiné Libéré
Sous forme de fantaisie satirique, une vision gentiment décapante de la France mêlée, où l’école sert de révélateur pour une version remise au goût du jour de la lutte des classes.
Le Parisien
Très drôle et percutant, porté par des personnages ultra-attachants, "La lutte des classes" manie la caricature pour faire rire. Tout en interrogeant avec subtilité l’écart entre les valeurs, les peurs et les actes.
Les Fiches du Cinéma
Bien interprétée et sincère, la comédie n’évite pas quelques clichés.
Marianne
Un film cocasse et, hélas, pertinent.
Marie Claire
"La lutte des classes" aborde une ribambelle de sujets d'actualité - l'état de l'école républicaine, l'abandon de certains quartiers, la mixité... - en évitant, bel exploit, les discours angéliques ou encore les travers d'une prise de position néo-réac qui vannerait les rêveurs ou les idéalistes.
Ouest France
Michel Leclerc signe une chronique sociale souvent très drôle et jamais angélique.
Positif
[...] cette comédie décapante et contemporaine [...] rappelle que le duo Leclerc/Kasmi, quand il est en forme, excelle à traiter de grands sujets avec humour et pertinence.
Sud Ouest
Sur ce thème plus que délicat, Michel Leclerc ("Le nom des gens") brode une comédie réjouissante, se moquant gentiment de la gauche bien pensante mais aussi des communautarismes et des préjugés en général.
Télé Loisirs
Michel Leclerc signe une hilarante comédie sociale, qui questionne avec finesse la mixité scolaire en banlieue.
Télérama
Sans moralisme, [Michel Leclerc] va guider Paul et Sofia vers le chemin de la réconciliation. A l’aide d’un scénario à l’humour malin qui s’amuse à retourner les clichés ou à les confronter à une réalité devenue absurde.
aVoir-aLire.com
Michel Leclerc désigne l’école comme symbole de la fracture nationale et signe une comédie politique où gravité et dérision cohabitent en bonne intelligence.
Cahiers du Cinéma
Cette lutte des classes dédoublée dans le titre est diluée dans une potion sympathique (…). Celle-ci mène à une fable œcuménique qui n’est pas sans ambiguïté, préférant l’utopie à l’aveu d’impuissance, mais laissant voir l’artifice de cette résolution, au moment d’élargir le tableau.
Franceinfo Culture
Cette question de l’école publique face au privé, Michel Leclerc la pose avec un humour qui fait mouche. Il y réussit grâce à un Edouard Baer lunaire et une Leïla Bekhti tempérante.
L'Humanité
Il reste une comédie alerte qui aborde un sujet d’actualité brûlante sans tabou ni complexe et révèle un Édouard Baer particulièrement émouvant, tiraillé par tous les bouts, qui donne à son personnage de père un brin looser une étoffe particulière.
Le Journal du Dimanche
Dans cette comédie sociale gentiment osée, pertinente et plutôt bien écrite, on sourit souvent face aux tâtonnements éthiques du couple formé par Édouard Baer, formidable en anar ébouriffé [...] et Leïla Bekhti, très juste en mère inquiète [...].
Le Monde
Nul doute pourtant que "La Lutte des classes" traite de sujets graves, passionnants et néanmoins potentiellement comiques mais, faute de prendre le temps de la subtilité, le film ne se montre pas à la hauteur des enjeux qu’il soulève.
Les Inrockuptibles
Par certains aspects, le scénario semble un peu daté, surfant sur un clivage de pensées bobo/réac en décalage avec les angoisses contemporaines […]. Mais Leclerc réussit aussi à s’affranchir de cette dialectique pour camper le tableau bien vivant d’une sociologie de quartier […], avec une tendresse énorme pour ses personnages.
Première
Mais comme dans "Le Nom des gens", il faut reconnaître que, à force de se moquer à la fois de notre société, de notre époque et de nous, il se dégage du film quelque chose de sympathique, une noirceur aussi, qui finit par toucher.
Le Figaro
À force de vouloir être exhaustif, il tombe dans les clichés et la caricature (même la fin de ce long-métrage désole et/ou agace).
Libération
Mais, plein de bonnes intentions, "la Lutte des classes" se contorsionne aussi pour ménager la chèvre et le chou, si bien qu’il finit par aligner un nombre impressionnant de clichés gênants.