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chrischambers86
13 605 abonnés
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4,0
Publiée le 25 avril 2012
"Chère Roudoudou, sans vraiment te connaître, je peux t'affirmer que je t'aime car tu es très sensuelle et tu dègages une chaleur folle. Ton cul et ta chatte me plaisent. J'aimerais te brouter, te faire des fist-fuckings. Ma bite est à toi. Romain.". Voilà une lettre qui ne mâche pas ses mots et pourtant...A la fois drôle, sensible et impudique, ce film tonifiant explore avec brio le thème de la pubertè! Très loin des clichès habituels, les auteurs font preuve d'un sens de l'observation remarquable pour croquer les comportements des ados, enfants perdus du nouveau millènaire, entre tendresse et ironie! On apprèciera aussi la manière dont ils manient les dialogues crus et les situations lubriques sans jamais sombrer dans la vulgaritè! Quant à la rèalisation, elle dèborde d'inventivitè, à l'image des saynètes animèes qui ponctuent la narration! Avec "Du Poil sous les roses", Agnès Obadia et Jean-Julien Chervier ont signè un portrait crachè de ces ados saisis par le dèmon du sexe à l'aube de leur adolescence! Certes, les dialogues sont souvent obscènes et certaines situations sont scabreuses mais ce n'est pas là le plus important mais plutôt le côtè vif et sensible de l'histoire! N'oublions pas de parler des jeunes comèdiens (mention à la jeune actrice qui joue Roudoudou), tous èpoustouflants de vèritè et de naturel! Sans eux, cette observation sur la pubertè, souvent poilante et impertinente, ne serait pas ce qu'elle est...
un film ovni, où l'adolescence et ces questionnements est pour une fois traitée du coté féminin de la chose. Le caractère fantasque ainsi que son prénom ridicule ne nous permettent en aucun cas de rentrer dans l'histoire, c'est dommage car la manière filmer était réellement différente; PLV : un ovni et les débuts de Nicolas Duchauvelle
Un film sur l'adolescence des abrutis. Des jeunes qui ne connaissent rien au sexe, qui ont des tendances gay et incestueuses, je ne sais pas ce qui est passé par la tête des scénaristes mais le sujet est mal maitrisé. Si on ajoute à cela de mauvais acteurs...
Roudoudou (14ans) & Romain (15ans) sont deux adolescents qui se cherchent. La puberté qui les tiraille et les questionne. Elle, s’interroge sur son corps qui se métamorphe (les seins qui poussent sans réelle symétrie) et lui, obnubilé par la gent féminine, au langage cru et qui n’a qu’une envie "se taper la mère de son meilleur pote" ou faire "des fist-fuckings", quand il ne ramasse pas les poils de sa mère dans la salle de bain pour les coller dans un magazine de charme.
Agnès Obadia & Jean-Julien Chevrier réalisent ici une adorable chronique adolescente en abordant le thème de la sexualité à l’âge de la puberté. Entre humour et tendresse, dialogues choquants et situations comico/gênantes, Du poil sous les roses (2000) est typiquement le genre de film que vous ne voudrez pas voir en compagnie de vos ados, sous peine de créer un certain malaise.
Une comédie décomplexée et impudique (âmes sensibles et culs-bénits s'abstenir), 85 minutes durant lesquelles toutes les questions relatives à l'adolescence et à la sexualité sont abordées et ce, sans aucun tabou. C'est frais, (très) drôle, innocent et pourtant si réaliste. Rares sont les films qui traitent de l'adolescence avec autant d'aisance et de véracité.
Le film est découpé en deux parties, la première s'intéresse exclusivement à Roudoudou (mention spéciale à l'adorable et au combien hilarante Julie Durand, elle est d'un tel naturel pour un premier film !), tandis que la seconde se focalise essentiellement sur les garçons (qui s’imaginent leurs mères homosexuelles). A noter enfin, la présence au casting d’un certain Nicolas Duvauchelle (âgé de 20 ans lors du tournage).
On est clairement devant un teen-movie atypique et original, donnant l’occasion de voir des séquences aussi improbables que surprenantes (la scène de la salle de bain où Roudoudou filme toute sa famille, avec d’un côté la mère qui se douche sans la moindre gêne, de l’autre le père qui se rase à poil et au milieu de tout ce beau monde, le frère en train de couler un bronze). Entre les dialogues crus, les sous-entendus, le sans-gêne des personnages et les séquences oniriques & animées, ce film vaut assurément le coup d’œil mais ne plaira pas à tout le monde.
Rien que pour la dernière scène et réentendre "Vue de l'extérieur" de Gainsbourg, il faut voir ce film trash, fait avec 3 bouts de ficelle et beaucoup de culot. Oui il y a quelques longueurs et approximations (une demi étoile en moins) mais vraiment, cette comédie que j'avais vue en salle lorsqu'elle était sortie m'avait décoiffé ! Film culte ! Et une mention très spéciale pour Roudoudou, la belle Julie Durand, qu'on aimerait voir plus souvent à l'écran.
Qu'ils nous manquent ces films naïfs pleins de poésie qui montraient les premiers émois des ados , tel "à nous les petites anglaises" ou "menthe à l'eau". Ce film est cru , grossier et bourré de poils, quéquettes etc.. sans intérêt. L’actrice qui joue l'ado de 15 ans ne vaut rien , à peine crédible dans son rôle , elle finit par agacer quand elle en fait trop. Les autres acteurs ne valent pas grand chose non plus et tentent d’appâter le curieux avec des dialogues crus et idiots au possible. Passez votre chemin, voilà 1h 20 (heureusement) de perdue.
Inégal : après une première partie fraîche, portée par Julie Durand toute en énergie et mutinerie, la seconde partie consacrée aux garçons est plus faiblarde (plus crue également). Du poil sous les roses a néanmoins le mérite de lancer un caillou dans la mare. Rarement film aura été aussi terre-à-terre sur la sexualité des ados, le trait est malheureusement un peu trop forcé.
Film d'ados qui a mal vieilli il fait l'admettre. Alors certes ça ne vole pas haut, les personnages sont caricaturaux et sont de véritables tête à claques mais comme à chaque fois dès qu'il s'agit de l'adolescence et de sexualité on y voit un intérêt car c'est vraiment le fond !! Certaines scènes sont choquantes, d'autres amusantes, d'autres pitoyables à voir et au final ça ne laisse pas indifférent !!
Une jolie petite chronique sur la découverte de l'amour et de la sexualité à l'adolescence. Le temps des premiers émois, des premières sensations pour Roudoudou et Romain. Elle est rêveuse, amoureuse, et se pose beaucoup de questions sur le sexe. Lui, jeune mâle en rute, est obnubilé par cette première fois. L'image qu'il s'est forgé du sexe est celle entraperçue dans la pronographie que l'on découvre à son âge, au contraire d'une Roudoudou encore candide. On sent d'ailleur le marquage très stricte dans le film. Une première partie douce avec la jeune fille, une seconde plus axée sur Romain et son pote, qui devient alors plus directe, plus vulgaire, et insiste bien sur cette méconnaissance du sexe et cette maladresse affreuse et très masculine, issue d'une vision du sexe qui se forge dans la pornographie. Un film sans prétention, mais qui voit juste. On arrive à se reconnaitre à plusieurs reprises à travers les personnages (que l'on soit fille ou garçon je pense).
Ce film traite de la sexualité chez les ados aussi bien que les autres films qui nous ont été offerts jusqu'à aujourd'hui comme "Kids" de Larry Clark ou encore "Thirteen" de Catherine Hardwicke. "Du poil sous les roses" est honnête et très léger, loin de garder une certaine pudeur gnan-gnan. Le genre de film à montrer à l'école...
Il ne suffit pas de faire un film parodique sur les ados, encore faut-il qu'il soit autre chose qu'une petite comédie superficielle. Hélas, c'est le cas ici: même en prenant le film au 54è degré, difficile de faire plus mauvais. Le film suit donc plusieurs jeunes, âgés de 14-15 ans (on dirait qu'ils en ont 17-18). Bourré de clichés, d'un humour facile que les vrais ados n'apprécieraient même pas, la réalisatrice a mixé des gags à trois balles et un peu de vulgarité pour en faire ce long métrage indigeste. Ça se veut trash dans les dialogues mais c'est simplement pour masquer le manque d'inspiration. A force de mauvais goût, on finit bien par rigoler ici où là, mais c'est tellement rare. Si on suit le raisonnement de Agnes Obadia, les ados sont donc tous des obsédés, travaillés par leur libido et par rien d'autre. Ce n'est pas entièrement faux, mais derrière l'humour gras, on ne trouve qu'un vide sidéral. Voire cosmique.
J'ai bien aimé l'univers un peu déjanté du film. Deux personnages : un garçon, une fille, que l'on suit tour à tout. La pensée du protagoniste est décrite par une voix off. Et ça ça décrit bien les complexes de cet àge là, genre "j'ai un sein plus gros que l'autre". L'homosexualité y est également abordée. Un bon film !
Mention spéciale pour l'actrice principale qui est débordante de naturel sinon coté film, ces ados stéréotypés sont agaçants et le sexe omniprésent tombe dans l'excés et la stupidité.
Quelle nullité!! J'ai vu ce film à 17 ans (aujourd'hui j'en ai 21 ans), et je n'ais trouvé dans ce film rien d'intéressant a retenir... Et pourtant 4 ans après avoir vu ce film je m'en souvient encore, pourquoi?... Parce tt le monde se souvient du film qu'on a le plus détesté!! Ce film est bourré de mauvais stéréotype, c 'est navrant.Seul bon point un peu d'originalité dans la mise en scène... Mais bon ce film vaut pas un clou!! note: 2.5/20. Et encore je suis sympa!!
Ce film est léger tout en traitant avec délicatesse d'un sujet grave de nos jour l'adolescence. Des mots crus sortent de la bouche des acteurs qui se posent des vrais questions d'adolescents... Parfois tout dérive et l'on se retrouve dans des rêves en dessins animés qui donnent un autre souffle au film. Les réactions des acteurs semblent parfois abvérantes mais si drôles! Un film à voir!